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LE CV DE JEAN-MARIE LEBRAUD CONSULTABLE SUR GOOGLE , SUR YAHOO ET SUR 123 PEOPLE Le site .est classé dans WIKIO TAPER SIMPLEMENT LE NOM : Jean-Marie LEBRAUD
[Pour] lʼarticle 10 de la Convention européenne des droits de lʼhomme…
Les restrictions à la liberté dʼexpression sont dʼinterprétation étroite… Toute personne a droit à la liberté dʼexpression… ce droit comprend la liberté dʼopinion et la liberté de communiquer des informations ou des idées, sans quʼil puisse y avoir ingérence dʼautorités publiques, sauf restrictions légitimes.
Sa délivrance n’est possible que si plusieurs critères sont remplis (employeur reconnu, rémunération…) et si le dossier de demande est complet et conforme.
Pour que cela soit le cas, « la photographie d’identité produite doit répondre aux normes applicables aux photographies figurant sur les cartes nationales d’identité et les passeports », comme indiqué dans le règlement intérieur de la commission.
Une règle que six associations dénoncent : l’Association des journalistes antiracistes et racisé·es (AJAR), l’Association des journalistes LGBTQIA+ (AJL), Prenons la Une (PLU), Profession : Pigiste, la Chance et l’association des Femmes journalistes de sport (FJS). Dans une tribune publiée sur le site Mediapart, elles affirment que cette mesure est « raciste » et « islamophobe ».
Des accusations absurdes
Pourquoi ? Parce que la CCIJP n’accorde des cartes de presse qu’aux personnes ayant fourni une photographie nette, au bon format, en couleur, sur fond uni et tête nue.
Ce dernier point pose problème aux associations et aux journalistes qu’elles représentent.
Elles voudraient que « la carte de presse soit accordée aux journalistes voilées sur leur photo ».
En d’autres termes, que le règlement de la commission soit revu pour la religion musulmane car « la violence symbolique qu’on impose aux journalistes voilées, obligées de présenter une carte où elles sont dévoilées, est sans borne ». Rien que ça !
Elles rappellent que « la carte de presse n’est pas un document officiel d’identité » et, par conséquent, que les normes photographiques pourraient ne pas être appliquées. Argument non valable pour la Commission.
Dans un communiqué daté du 31 mai, cette dernière précise que la carte de presse ouvrant « un grand nombre de droits en termes de circulation et d’accès à des personnes, des événements, des lieux potentiellement sensibles, sans autre justification de son identité », « la CCIJP a fait le choix d’adopter le format qui répond le mieux au besoin de sécurité, c’est-à-dire celui des photos des pièces officielles, tête nue, de face ».
En toute logique, la carte d’identité des journalistes se substituant parfois à la carte nationale d’identité, il doit y avoir concordance entre les deux documents.
Les six associations signataires de la tribune refusent de l’entendre s’agissant des photographies comme des informations inscrites au verso de la carte.
Elles s’offusquent que la CCIJP oblige « une personne transgenre n’ayant pas changé son prénom à l’état civil à faire figurer son prénom de naissance au dos de la carte ».
Autrement dit, elles ne comprennent pas que la Commission demande aux journalistes de faire leur demande sous leur véritable identité et non sous un nom qu’ils ont choisi et qui n’est pas officiel.
Elles affirment qu’il s’agit de discriminations « sexistes, transphobes » et demandent « que les journalistes trans puissent changer leur prénom sur simple déclaration, sans faire figurer leur prénom de naissance ».
Des revendications farfelues
Accusations et demandes totalement farfelues puisque, comme elle l’indique, « la Commission de la carte ouvre la possibilité à tous les journalistes de faire figurer au recto de leur carte d’identité professionnelle soit leurs prénom et nom de l’état civil, soit leur nom d’usage, soit leur pseudonyme, selon leur libre choix, et sans aucune mention qui le signale comme tel ».
Les informations d’état civil ne sont renseignées qu’au verso de la carte pour des raisons de « sécurité » et de « crédibilité ».
Un mot qui ne peut évidemment pas être appliqué à ces institutions woke.
Au nom d’une prétendue lutte contre les discriminations qui n’est, en réalité, que la promotion de la charia et de l'idéologie LGBTQIA+, elles font des raisonnements tirés par les cheveux et des requêtes insensées à la Commission de la carte de presse dont le règlement respecte le principe de laïcité et fait primer l’état civil sur les convenances personnelles.
N’en déplaise à une poignée de journalistes qui se victimisent, la Commission refuse d’être la nouvelle proie du wokisme.
Venant d’une institution nationale, une réaction de ce type est assez rare pour être soulignée et saluée.
Stupeur et tremblement dans l’univers télévisuel : comme le titre Le Figaro,
« CNews devient la première chaîne d’info de France ».
Selon les chiffres de Médiamétrie, CNews est passé pour la première fois en tête des chaînes d’info au mois de mai, avec 2,8 % de part d’audience, contre 2,7 % pour BFMTV, champion jusque-là.
C’est une vraie guerre de tranchée qui se livre depuis des mois : CNews est d’abord passé devant son principal concurrent plusieurs jours, puis plusieurs semaines, avant de se retrouver à égalité avec BMFTV au mois de décembre, puis au mois de mars.
Cette fois, c’est l’audience mensuelle - importante et symbolique - que CNews brandit comme un trophée, relayée avec enthousiasme par ses journalistes sur les réseaux sociaux : ceux-ci sont enfin vengés des attaques, nombreuses, dont ils font régulièrement l’objet, parfois à titre personnel.
Le public a tranché, le succès est là.
Contre-productif
Les chœurs de pleureuses professionnelles et les postures de Jean Moulin en carton, les dénigrements et les intimidations, les commissions parlementaires et les procès staliniens, les brimades et les sanctions arbitraires, les censures et les boycotts n’ont servi à rien…
Pire, il n’est pas interdit de penser que tout ce battage ridicule, ce mélange de fiel et de mauvaise foi monté en mayonnaise a aidé la chaîne à progresser.
Il est des boussoles qui montrent le sud et des anathèmes qui valent prescription.
Un peu comme lorsque Télérama ou Libération étrillent un film : une incitation à aller au cinéma.
Le débat dans les médias ne devait avoir lieu qu’entre cinquante nuances de gauche : CNews a rompu cet accord tacite de l’entre-soi dogmatique et de la pensée unique qui tournent en boucle.
Et son succès montre à quel point cette confiscation de l’information par un seul camp, omnipotent et se présentant comme omniscient - puisque prodiguant, pour chaque sujet, un prêt-à-penser - était devenu insupportable pour nombre de Français.
Certains ont reproché à CNews son manque de pluralisme tout en refusant ses invitations et en enjoignant leurs petits camarades à les imiter.
Un client peut-il accuser un commerce qu’il ne veut pas fréquenter de refus de vente ?
Un patient reprocher à un médecin de ne pas l’avoir soigné s’il ne veut pas le consulter ?
Les derniers en date, et les plus grotesques, sont bien sûr Marie Toussaint et Raphaël Glucksmann, absents au débat des têtes de liste aux Européennes.
Comme le petit lit blanc et l’assiette de soupe toujours chaude attendant l’enfant prodigue, le pupitre à leur nom avait été mis en place à côté de ceux des autres pour qu’ils puissent changer d’avis à tout instant.
Mais leurs places sont restées désespérément vides, pour le plus grand bonheur de leurs concurrents qui ont pu se partager ce temps de parole supplémentaire que ces deux nigauds venaient de leur offrir sur un plateau d’argent. Valérie Hayer, elle, a accepté l’invitation pour ensuite cracher dans la soupe : lors d’un meeting deux jours plus tard, à Aubervilliers, elle a qualifié le JDD, CNews et Europe 1 de « camp du mensonge ».
Trop de pluralisme
C'est désormais très clair : ce n’est pas un déficit de pluralité que l’on reproche à CNews, mais, au contraire, un excédent.
On ne lui pardonne pas certains invités infréquentables aux yeux de la gauche, qui parvenait jusque-là à les contenir dans la marginalité médiatique.
Ses contradictions sont infinies : la gauche raffole de la diversité, sauf la diversité d’opinion.
Elle prétend défendre les marginaux contre la bourgeoisie propre sur elle et refuse la porte de son salon médiatique à ceux qu’elle juge peu respectables, comme une douairière du XIXe.
Bien sûr, 2,8 % de part d’audience, à l'échelle du paysage audiovisuel français, ce n'est pas le Pérou.
Mais c’est une lucarne, une brèche, un pied dans la porte d’un monde que l’on croyait blindée, verrouillée à double tour.
Surtout, si la tendance se confirme, cette place de leader des chaînes d’information rendra très difficile une remise en cause en 2027.
La dernière de Mélenchon considérant qu’en France, l’antisémitisme est résiduel.
Bref, c’est un détail de l’histoire. Il parle de propagande de l’officialité.
Le même qui hurle à la montée de l’islamophobie, alors qu’aucun mahométan n’a été assassiné à ce jour encore, et que le nombre de juifs et de non-juifs tués par les islamiques se multiplient.
Les Macronistes ont le droit d’utiliser les réseaux officiels de pompiers pour faire leur propagande, mais si Bardella utilise un gendarme, c’est un scandale d’État. Le chef de la gendarmerie, un chamallow nommé Christian Rodriguez, en mission, fait son cinoche.
Le kebab est très mauvais à la “santé” : https://www.fdesouche.com/2024/06/03/une-fusillade-eclate-en-plein-centre-ville-de-saumur-un-homme-dans-un-etat-critique/
Scandale en Belgique : un ministre dit à un islamique que s’il n’est pas content, il n’a qu’à s’en aller. Un peu comme Odoul qui avait dit la même chose à une journaleuse mahométane raciste.
Dans cette magnifique revue scientifique, médicale et épidémiologique, Jean-Marc Sabatier et Estelle Fougères nous décortiquent avec brio les dessous de la crise Covid-19.
Quel plaisir de voir qu’il existe encore, comme Jean-Marc Sabatier, des chercheurs intègres qui font honneur à la science !
Dans ce livre, vous allez voyager dans tous les recoins de la pandémie, de l’impréparation des autorités à la prise de décisions totalement incompréhensibles non basées sur la science, au refus du débat contradictoire qui devrait être la norme pour faire avancer les connaissances.
Certains passages du livre, certes très techniques, expliquent beaucoup des mécanismes physiologiques complexes expliquant les conséquences de la maladie Covid-19 ou des pseudo-vaccins.
Vous allez pouvoir apprécier une excellente revue des options thérapeutiques et de la part majeure de la supplémentation en certaines vitamines et certains oligo-éléments pour prévenir beaucoup de phénomènes infectieux, inflammatoires, auto-immuns ou dégénératifs et contribuer à leur guérison.
On comprend pourquoi la vitamine D, qui est indispensable pour rester en bonne santé, est aujourd’hui diabolisée sous la pression de Big Pharma, qui y voit une perte importante de revenus par régression de certaines maladies chroniques devenues leurs « vaches à lait ».
Cette pandémie a révélé que des autorités, qui auraient dû être chargées de nous protéger, ont interdit la liberté de prescription des médecins, avec la recommandation « un Doliprane et au lit » et ont même encouragé l’euthanasie.
Ils ont même fait la promotion de médicaments inefficaces et, pour certains, dangereux.
Toutes les irrégularités sur les études cliniques des prétendus vaccins sont exposées. Non seulement les autorités ont dépensé des centaines de milliards pour la gestion calamiteuse de la crise mais en plus ils laissent d’innombrables personnes devoir affronter sans soutien d’énormes problèmes de santé.
À commencer par le Covid long des malades qui n’ont pas eu la chance de bénéficier d’un traitement précoce par l’hydroxychloroquine, l’azithromycine, l’Ivermectine, ainsi que de la supplémentation en vitamine D, en zinc et en sélénium.
Ensuite, ce sont toutes les victimes de l’inoculation expérimentale, développée à la va-vite, totalement inefficace et responsable d’une augmentation très importante de la mortalité, notamment par accidents cardiovasculaires et par turbo-cancers, ainsi que de la stérilité.
Malgré de nombreux passages rappelant les côtés très sombres de cette pandémie, les nombreuses pistes de solutions évoquées dans ce livre redonneront de l’espoir à beaucoup.
Avec cette crise sans précédent, la rigueur scientifique a été jetée aux orties, mais, grâce à des chercheurs comme Jean-Marc Sabatier, nous pouvons garder confiance dans la science, la vraie.
8 juin 1794, 20 Prairial, jour de la Pentecôte. On célèbre à Paris la première fête dédiée à l’Être suprême. Robespierre, alors au comble de la popularité, et qui vient d’être élu président de la Convention, inaugure lui-même le nouveau culte et tient le principal rôle.
Le programme de la fête a été dressé par le grand prêtre David. Tandis que les chœurs entonnent l’hymne de circonstance « Père de l’univers, suprême intelligence », Robespierre met de sa main le feu à une statue de l’Athéisme.
Puis il prend la tête de la Convention et d’une immense procession laïque, chaque membre portant un bouquet de fleurs et d’épis. Le cortège s’achemine des Tuileries au Champ de Mars, sous un ciel radieux, dans le bruit des musiques et des tambours.
Au Champ de Mars, sur l’emplacement de l’Autel de la Patrie de 1790, s’élève une montagne artificielle, agrémentée de rochers et d’arbres et surmontée d’un arbre de la liberté. À côté, une colonne d’où les trompettes scandent les principaux épisodes de la cérémonie.
Les Conventionnels, Robespierre en tête, gravissent les premières pentes de la montagne. Ils portent le chapeau rond officiel décoré d’un grand panache tricolore et tiennent à la main une branche de chêne.
Sur la montagne, différents chœurs de vieillards, d’adolescents, de mères de famille, de jeunes filles exécutent l’hymne à l’Etre suprême « Père de l’univers, suprême intelligence », composé par Desorgues et mis en musique par Gossec.
À gauche, au premier plan, un char drapé de rouge, traîné par huit bœufs, qui a figuré dans le cortège, arbore triomphalement « les objets nécessaires à la nourriture du corps et de l’esprit » : une charrue et une presse d’imprimerie. A côté du char, une Liberté ombragée par un chêne indique « que les arts ne fleurissent que sous son, empire ».
À droite, des citoyens et des citoyennes avec des bouquets assistent à la scène.
L’impression est profonde. Robespierre apparaît comme le souverain pontife de la religion républicaine qui doit rallier tous les Français. Un contre-révolutionnaire observe : « On crut véritablement que Robespierre allait fermer l’abîme de la Révolution » et mettre fin à la Terreur. Mais le surlendemain, Couthon fait voter la loi du 22 Prairial, la pire des lois terroristes.
Robespierre n’est pas reconnu franc-maçon.
Toutefois, le culte de l’Etre suprême est semblable au culte du Grand Architecte de l’Univers.
Tout indique que Robespierre est initié, il a tout d’un Rose-Croix.
Il n’y a pas de document pour aucun Rose-Croix, mais Robespierre est membre des « Rosati » d’Arras, dont les symboles sont Rose-Croix. Le Comité de Salut Public continue la guerre anticatholique des Rose-Croix.
Les maçons sont en principe déistes, mais certains deviennent athées, dérive inéluctable du naturalisme des Constitutions d’Anderson. Robespierre veut rappeler le principe déiste aux athées.
Par son origine kabbalistique, par son naturalisme, par son déisme, le culte de l’Etre suprême est maçonnique. Robespierre le promeut contre l’athéisme, agit comme un maçon « régulier ».
En effet, dans les Constitutions d’Anderson, il est écrit qu’un maçon ne devrait pas être un « athée stupide ». La « guerre sainte » de Robespierre, l’Incorruptible, contre les suspects de catholicisme, démontre que l’Etre suprême combat le Dieu chrétien, et non l’athéisme, non la Déesse Raison.
Jean de Viguerie, historien français (1935-2019), note : À la fête de l’Etre suprême, après avoir invoqué « le Père de l’univers », « l’Incorruptible met le feu à la statue de carton représentant l’Athéisme et contenant une statue de plâtre de la Sagesse. L’Athéisme brûle et la Sagesse apparaît barbouillée de suie ».
La Sagesse n’est qu’obscurcie par le feu. Le « Père de l’univers » est l’Adversaire du Dieu chrétien. Robespierre veut réintégrer la Déesse Raison au Grand Tout démocratique de Rousseau en la soumettant à l’Etre suprême. Robespierre veut donc réconcilier les deux voies philosophiques, l’une « rationaliste », l’autre irrationnelle, qui transitent par l’Islam et aboutissent à la philosophie moderne, comme avant lui le kabbaliste Maïmonide, puis Descartes, Leibnitz, Diderot et l’Encyclopédie maçonnique.
Sylvain Durain, philosophe français, né en 1983, écrit : « La Raison seule ne pouvait plus guider le peuple, il se mettra ainsi en place le culte de l’Etre suprême ».
C’est ce que fait Robespierre, émule de Rousseau, ennemi de la Raison et complice des Lumières, imposteur du cœur, la voie irrationnelle des Lumières.
À l’égal de Voltaire, imposteur de la Raison, ancêtre des Droits de l’Homme édictés au nom de l’Etre suprême.
L’Etre suprême est le Dieu des philosophes, le Grand Architecte maçonnique, le Diable déguisé en Dieu. L’Etre suprême fait croire à un retour du divin alors qu’il est le Diable. Son culte est une singerie du christianisme.
Robespierre s’auto proclame « Pontife de l’Etre suprême », en quelque sorte « pape » du Diable. Lefèvre d’étapes, théologien et humaniste français (1450-1536), avait été le « pape » des Mages de Meaux. Fénelon, Rousseau, Robespierre s’inscrivent dans la suite.
Le Vicaire savoyard de Rousseau ressemble au « Vieux de la Montagne » des sectes musulmanes.
Le Vicaire savoyard est « œcuménique » comme un Rose-Croix, c’est-à-dire excluant le catholicisme et incluant l’Islam.
Le faux vicaire ressemble à « un Vieux de la Montagne ». Il est un calviniste qui serait le chef d’une nouvelle secte des Assassins.
En effet, le « Vieux de la Montagne » se dit tolérant envers tous les cultes et invite chacun à garder sa religion particulière, mais en pratiquant une morale universelle naturaliste, ce qui exclut le catholicisme. C’est le diktat rosicrucien. C’est ce que veulent les Constitutions d’Anderson.
C’est ce que répètent à l’envi les littérateurs-philosophes initiés de l’Encyclopédie.
L’Etre suprême de Robespierre doit beaucoup à l’En Sof de la Kabbale.
Il a beaucoup de l’Etre suprême des philosophes judéo-musulmans. Au IXe siècle, Al Kindi, mort vers 860, identifie Dieu et « l’Etre en soi », « l’En Sof » en langage ésotérique. Al Kindi définit « l’En-soi » comme une cause première.
Le Dieu cause est un démiurge qui crée par une nécessité interne au Cosmos. Conséquence. L’homme prétend connaître tout l’Etre de Dieu à partir du Cosmos.
L’Etre suprême a transité par l’Islam. Robespierre ressemble à « un Vieux de la Montagne », comme celui du temps de la secte des Assassins.
Des Musulmans qui ont égorgé les chrétiens d’Orient par millions.
Leur nom vient de Haschich, la drogue qu’ils prenaient pour commettre leurs crimes. Aujourd’hui, le Haschich est en vente dans des banlieues occupées par de nombreux Musulmans.
Soit c’est un hasard.
Soit c’est pour qu’un jour, ils servent de main-d’œuvre à l’achèvement de la Révolution. Cela a été programmé par Marcuse.
Il y a un ésotérisme de la Montagne, connu des Musulmans, connu de Rousseau. Robespierre, héritier du Vicaire savoyard, est le « Vieux de la Montagne » de la Révolution maçonnique.
La Montagne révolutionnaire est l’extrême gauche de l’époque, déjà haineusement antichrétienne. Mélenchon représente l’extrême gauche d’aujourd’hui. Que de ressemblances !
Robespierre, vrai démon, met à exécution les principes diaboliques de la philosophie des Lumières.
Jean de Viguerie décrit la fête. Lors de la fête de l’Etre suprême, « au Champ de Mars, se dresse l’habituelle Montagne. La Convention l’escalade. Robespierre se tient au point culminant ».
Du haut de la Montagne sacrée, Robespierre fait un discours censé être une « prière » à l’Etre suprême. « Père de l’univers, suprême intelligence …
Ton peuple est sur les monts – la montagne – dans les airs – où sont les démons – … tu remplis tous les mondes – les sphères cosmiques – …
Tout émane de toi, grande et première cause ». De l’Etre suprême émane tout. Dieu et l’univers sont confondus. Tout découle de l’Un, du Grand Tout, comme dans la gnose, comme dans la philosophie arabe, comme dans la Kabbale. La conception d’un Etre Un s’accompagne d’un culte du Cosmos, et a pour conséquence le spiritualisme, la croyance en un Esprit cosmique, et le matérialisme.
Toi qui « fis jaillir dans les airs l’astre éclatant du jour » est une allusion au Soleil égyptien des héliocentriques, Giordano Bruno, Galilée …
Robespierre reprend l’ésotérisme judéo-égyptien, comme un gnostique, comme un kabbaliste, comme un Rose-Croix. Il a tout d’un Rose-Croix. La première règle des Rose-Croix est de se dissimuler.
Diderot, Rousseau, certains illuminés n’étaient pas officiellement Rose-Croix, mais tout laisse à penser qu’ils l’étaient. En tout cas, ils agissent comme des Rose-Croix en persécutant les catholiques en France, et aussi en exportant la Révolution des illuminés.
Au nom de l’Etre suprême, Robespierre continue le combat politico-religieux de ses prédécesseurs Rose-Croix et francs-maçons. Il est le bras armé de la Terreur maçonnique en France. Il sacrifie et immole des milliers d’innocents.
Il appelle à renouveler le meurtre fondateur de la Terreur maçonnique dans toute l’Europe. Il revendique le sacrifice du roi.
Il en prend exemple pour l’appliquer à tous les rois catholiques et orthodoxes d’Europe. Ainsi, le « Djihad » va s’étendre au-delà de la France.
Calvin l’avait fait. Les Rose-Croix du XVIIe siècle l’avaient fait lors de la guerre de Trente Ans (1618-1648).
La Terreur maçonnique va s’exporter par la guerre. Robespierre reprend le langage inversé pour justifier cette Terreur. Du haut de la Montagne sacrée, il crie : « De la haine des rois anime la patrie ». Haine du Roi parce que la monarchie est catholique. Les nouveaux « patriotes » haïssent le « Père » de la patrie.
La patrie de nos pères était sacrée, car unie par le Roi chrétien. C’était un patriarcat. Sylvain Durain évoque « la volonté des révolutionnaires de singer une forme de patriarcat avec « le Père de l’univers » qui est une injonction gnostique se rapportant au « Grand Architecte de l’univers ».
Le peuple, surtout en France et après la mort du roi, est en demande d’une figure paternelle forte pour faire corps avec lui ». Le peuple se jette dans les bras du Diable.
« Robespierre, imprégné des Lumières et de sa philosophie, va donc proposer un culte déiste, basé sur la Nature et la Raison ».
Son Etre suprême réintègre la Raison des illuminés de Bavière, celle des athées. Robespierre prépare à l’athéisme. Quand il brûle la statue de l’Athéisme, on découvre derrière elle la statue de la Sagesse. La Sagesse de Robespierre résiste au feu parce qu’elle vient du feu. C’est la Sagesse de la théosophie Rose-Croix.
Robespierre veut « remettre un dieu sacrificiel au sein de la nation ». C’est la nation révolutionnaire. Il y a deux nations, la nation traditionnelle et la nation révolutionnaire. Il y a deux patries, la patrie des pères et la patrie révolutionnaire.
La nation révolutionnaire et la patrie révolutionnaire font table rase de la France traditionnelle, elles font couler le sang du peuple français, elles sont antifrançaises. La plus grande victime de la Révolution est le peuple français, persécuté en France, envoyé à la guerre par la République.
Les masses vont aller à la boucherie des guerres modernes, « au nom de la patrie », en réalité pour détruire la patrie, la France de nos pères. Ces guerres s’incluent dans la logique sacrificielle.
Les forces occultes veulent diriger le monde entier, ce qui va provoquer guerre sur guerre, et de nos jours avec le mondialisme. C’est la guerre moderne… qui a commencé avec la Renaissance et l’Humanisme.
Les forces occultes diaboliques, les loges maçonniques, les sectes d’illuminés, les adeptes de Mammon, organisent un complot. Car la guerre permet de construire des fortunes.
La Révolution maçonnique se poursuit. Son instrument est toujours la République. La Terreur maçonnique reste d’actualité. Macron, obsédé par la guerre, par le sacrifice humain, vise la destruction de la nation française, de la patrie française.
La fascination de Mélenchon, franc-maçon du Grand Orient, pour Robespierre s’explique : haine viscérale du catholicisme, attrait pour l’Islam, maillon de la chaîne qui conduit au rosicrucisme et à la Franc-Maçonnerie. Tous deux initiés soutiennent la même fausse nation et la même fausse patrie.
Par Jean Saunier
ET AUSSI
Pour Mélenchon, l’antisémitisme en France, c’est un détail de l’Histoire
Imaginez que cela soit un député du Rassemblement national qui ait tenu ces propos. “Contrairement à ce que dit la propagande de l’officialité, l’antisémitisme reste résiduel en France”.
Et cela à une semaine des européennes ! Immédiatement, nous aurions eu droit aux sections d’assaut médiatiques, et pendant 48 heures on aurait eu droit aux heures les plus sombres…
Mais là, c’est Jean-Luc Mélenchon qui tient ces propos.
On a une pensée pour toutes les familles juives victimes d’agressions musulmanes, que cela soit les familles de victimes de l’école juive de Toulouse, les familles des victimes de l’hyper-casher, les familles de Mireille Knoll et Sarah Halimi, et combien d’autres ? Plus un Juif dans le 93 ? Du résiduel !
Mais Mélenchon et les Insoumis soutiennent la Palestine, un régime où dans tous les manuels scolaires on enseigne aux enfants la haine des Juifs.
Un régime où on donne de l’argent, payé par l’Union européenne, à toutes les familles de martyrs, c’est-à-dire des terroristes qui assassinent des Juifs.
On se souvient que Civitas a été dissous parce que Pierre Hillard, qui n’en fait même pas partie, avait expliqué que sous la monarchie, les juifs n’étaient pas des citoyens.
On se souvient que la Licra avait demandé, comme les Insoumis, la dissolution de Génération Identitaire, et que Darmanin la leur avait accordée.
Tous les jours, Mélenchon et sa clique mentent, parlent de crimes de guerre, de génocide (avec une population où il reste 99 % de survivants), d’apartheid, et insultent grossièrement l’État d’Israël.
On n’entend toujours pas la Licra, ni Darmanin…
Par Pierre CASSEN
Source et Publications : https://ripostelaique.com/
3 101,2 milliards d’euros, tel était le montant de la dette publique de la France à la fin de l’année 2023.
Elle n’a cessé de s’accroître depuis.
Et ce sera pire en ajoutant les dépenses prévisibles en Nouvelle-Calédonie.
Pour réparer la casse.
Et calmer, pour un temps, des émeutiers précédemment attisés par un provocateur compulsif.
Le temps n’est pas aux économies, bien au contraire
L’inénarrable Bulot Le Maire, célèbre auteur de romans pornos et sinistre des finances à ses moments perdus, annonce avoir sauvé la France.
Pourvu que Macronescu ne soit pas jaloux !
Le Bulot a promis de faire 20 milliards d’économies sur le budget de 2024 et autant sur celui de 2025.
Les promesses n’engagent que les idiots qui y croient.
Bulot se prend pour un magicien.
Depuis le début de l’année, l’État a raqué 650 millions d’euros pour les Ehpad, 400 millions pour les agriculteurs, 500 millions pour les hôpitaux, et a budgété des dizaines de millions d’euros de primes aux fonctionnaires mobilisés pour les jeux Olympiques…
Ce ne sont que des pourboires.
Les associations qui favorisent les flux d’immigration et d’asile ont perçu en 2023 plus d’un milliard d’euros de transferts publics en provenance du budget général de l’État.
Mais le plus gros morceau a été pour l’Ukraine : 3 milliards dilapidés dans les cinq premiers mois de cette année.
Empochés par le grand ami de Macrounette, le Zygomyr, virtuose du piano à queue.
On imagine ce que coûterait une vraie guerre, même conventionnelle au début, contre la Russie…
Euromaniaque uniquement quand ça l’arrange
Pustula la Hyène et sa commission exigent que la France passe de 5,5 % d’endettement à moins de 3 % d’ici quatre ans.
Cela nécessiterait au moins 80 milliards d’euros d’économies. Où les trouver ?
Et comment éviter la stagflation qui s’ensuivrait ?
10 milliards d’euros d’économies, cela fait 10 milliards de PIB en moins.
On irait plus vite dans le mur.
Avec un déficit de 5,5 % en 2023, la croissance a stagné autour de 1 % et les prix des produits de première nécessité ont augmenté de 5 %.
Version gouvernementale INSEE.
Qui oublie l’énergie et tout le reste.
Merci l’Ukraine !
Pustula peut toujours s’égosiller, l’endettement de la France ne pourra que s’aggraver en 2024 et dépasser les 6 % en 2025, selon une analyse du FMI datée du 23 mai.
Très loin de l’objectif fixé par Bercy à 2,9 %.
Quand le Mozart de Wall Street joue du banjo et de la cornemuse « en même temps », sa musique finit par casser les oreilles à tout le monde.
Le Bulot, astrologue du roi qui s’est toujours trompé sur tout jusqu’à présent, prédit qu’en 2025 et en 2026, il y aura une forte croissance.
Pour cet énarque qui ignore tout des rouages de l’économie réelle, ce qu’on dépense devrait se traduire en investissements durables.
Ça se défend peut-être en théorie. Mais il faudrait des capitalistes vertueux.
Pour l’économiste Marc Touati : « Ils font ça pour calmer les agences de notation mais il n’y a aucune mesure concrète derrière ».
Les agences américaines Fitch et Moody’s ont maintenu la note de la France, le 26 avril. Par contre, Standard & Poors, l’a dégradée le 31 mai.
On peut faire l’autruche et dire que ça n’a aucune importance.
Mais, même si on est allergique aux manigances du Nouvel Ordre Mondial, force est de constater que les investisseurs internationaux décident de leurs placements en fonction de ces notations.
« La gestion catastrophique des finances publiques par des gouvernements aussi incompétents qu’arrogants a mis notre pays dans de très graves difficultés, cumulant records d’impôts, de déficit et de dettes », a dénoncé Marine Le Pen.
Là, on est d’accord avec elle.
Les nouvelles technologies boudent la France
Après avoir reçu comme un chef d’État Zuckerberg, et lui avoir accordé toutes les dérogations qu’il demandait, Macronescu n’a obtenu en retour qu’une cenSSure accrue des patriotes français sur le réseau asocial.
Mais rien en matière d’emploi, ni de recettes fiscales.
Après avoir accueilli plusieurs fois à l’Élysée l’entrepreneur protéiforme Elon Musk, et lui avoir octroyé tous les avantages qu’il demandait, Macronescu n’a obtenu que l’ouverture d’une petite usine employant 170 salariés en Mayenne…
Et ouvert des sites de sous-traitance et de fabrication de batteries pour les Tesla en Espagne, Finlande, Hollande, Hongrie, Portugal.
Quant au multicarte malfaisant Bill Gates, notre dictateur cosmopolite lui a offert une technologie nucléaire en développement, évaluée à 1,6 milliard d’euros, qui aurait pu assurer l’indépendance énergétique de la France.
Entre ces deux canailles, le courant est bien passé.
Et Microsoft vaut aujourd’hui plus que tout le CAC 40 réuni !
Le cabotin Macronescu peut aller faire le beau et donner la patte chez STMicroelectronics pour encourager les investissements dans la fabrication des puces électroniques, il n’a obtenu des promesses que pour 2030.
Espérons que d’ici là il aura dégagé, s’il ne suspend pas la Constitution pour cause de guerre contre la Russie.
Dans le spatial, il n’y a eu que trois lancements européens en 2023 pour près d’une centaine effectués par SpaceX… Dans le « cloud », la part de l’Europe est tombée de 30 à 15 % en cinq ans.
Dans la fusion nucléaire, sur les 32 start-ups, 3 sont européennes et aucune n’est française.
Aux USA, la dette publique est plus élevée qu’en France : 125 % du PIB. Et le déficit américain était de 6,3 % l’an dernier.
Mais par la politique du dollar-roi, ils font supporter leurs dettes par leurs vassaux. Dont la France…
Et si Macronescu croit que le déficit est la martingale gagnante, il nous manque les champions technologiques qui vont avec. Comme Amazon, Meta, Google, Microsoft ou Space X qui entraînent l’économie.
Des rapaces certes. Mais dynamiques et capables d’innovations.
Bureaucratie pesante et dépenses inconsidérées scandent la politique du tyran
Chaque fois qu’il y a un gros problème, au lieu de le définir correctement et de l’attaquer à la source, il crée des normes supplémentaires et engage de nouvelles dépenses.
Non couvertes par de nouvelles recettes, faute de croissance suffisante.
On gagne juste un peu de temps.
Technique classique des escrocs pour faire patienter leurs dupes.
En attendant, le Francistan est champion de la gabegie.
Avec des entreprises plombées par la fiscalité et les charges, et 57,3 % du PIB affecté au financement des dépenses publiques, très au-dessus de la moyenne européenne, à 49,4 % en 2023.
Dépenses de santé, retraite, chômage, enseignement, culture, défense…
Dans tous ces secteurs, la France dépense plus, en pourcentage du PIB, que l’Allemagne, l’Espagne, l’Italie ou les Pays-Bas.
Pourtant, loin de s’améliorer, les services publics ne cessent de se dégrader et l’armée est exsangue.
Avis partagé par 61 % des Français, selon un sondage IFOP réalisé en 2022.
Entre pénuries de médecins généralistes et saturation des services hospitaliers, quand ils ne sont pas saccagés par des vandales importés, la sécurité sanitaire n’est plus assurée, y compris pour les urgences vitales…
Et la paralysie du secteur de la santé, comme celui des secours (pompiers, ambulances) s’est aggravée pendant la dictature sanitaire.
Quand le capricieux despote interdisait de travailler aux personnes lucides qui refusaient les mixtures à ARNm nocives, vendues par ses potes de Big Pharma.
Avec des salaires insuffisants et des conditions de travail non sécurisées, parfois dangereuses ou mortelles, l’enseignement public est confronté à des difficultés de recrutement, l’obligeant à abaisser le niveau, déjà pas fameux, des futurs profs.
Même la justice, instrumentalisée pour museler les opposants au Grand Remplacement, souffre du manque de moyens.
Les présidents des tribunaux judiciaires considèrent qu’il manque 35 % des effectifs nécessaires pour fonctionner normalement.
Il est vrai qu’ils sont embouteillés par les multirécidivistes de la délinquance vermiculaire.
Qu’ils reverraient moins souvent s’ils les sanctionnaient réellement.
Pour le secteur privé, la situation n’est guère plus brillante. On a donné de l’argent à tout-va, « quoi qu’il en coûte », surtout pendant la dictature sanitaire, afin de retarder les échéances et les banqueroutes.
Résultat : 57 700 procédures de faillite ont été ouvertes en 2023, soit 35,8 % de plus qu’en 2022…
Avec forcément un manque à gagner sur les recettes fiscales. Compensé par les particuliers qui seront pressurés davantage.
Trois grandes catastrophes ont frappé notre pays : la peste noire, la déroute de 1940, et la perte des colonies.
La quatrième, le changement de population, est en cours. Bon retour au Moyen Âge !
Des milliards pour les Jeux olympiques, des cacahuètes pour les soins palliatif
Pour Paris 2024 rien n’est trop beau tandis que pour le citoyen il n’y a plus rien !
Par Marie Delarue
Des milliards pour les Jeux olympiques, des cacahuètes pour les soins palliatifs
C’est vrai, c’est un tantinet vulgaire. C’est même carrément scatologique, mais qu’est-ce que c’est drôle !
Depuis qu’elle a annoncé aux « peine-à-jouir » sa baignade dans la Seine et sa démonstration de « petit crawl » (Hidalgo dixit) pour le 23 juin prochain, le maire de Paris a déchaîné la Toile.
Un hashtag fort explicite a aussitôt surgi (#JeChieDansLaSeineLe23Juin), alimenté par des posts tous plus drolatiques et inventifs les uns que les autres.
Y compris, d’ailleurs, des parodies d’événements parisiens, comme ce « Crotte en Seine » avec les têtes d’affiche annoncées : le maire Anne Hidalgo, le préfet Laurent Nuñez, le préfet de région Marc Guilaume et peut-être, même, le Président Macron en guest-star.
Après les gants de boxe et les biceps « photoshoppés », le maillot de bain avantageux
Vu l’état de la Seine, confirmé d’analyse en analyse, on attend la démonstration avec impatience, et non moins d’impatience la séance de vaccination bien dosée pour ceux qui voudront s’y tremper ; sinon, comment échapper à la leptospirose, au choléra, diarrhées rouges et vertes, dysenterie, hépatite A, fièvre typhoïde et autres saloperies, si affinités.
À boire… et à manger
Les derniers résultats consultables sur l’état de la Seine datent du 8 avril, soit à 100 jours des Jeux olympiques, et selon l’ONG Surfrider Foundation, celui-ci est jugé « alarmant ».
On a alors appris que, sur 14 analyses effectuées entre fin septembre 2023 et fin mars 2024, là où vont se dérouler les épreuves de triathlon et nage en eau libre, 13 affichaient des résultats « au-dessus voire très largement au-dessus » des seuils recommandés pour la baignade.
Ces taux ne sont pas issus du cerveau de complotistes « peine-à-jouir », ce sont ceux fixés par les Fédérations de natation et de triathlon, conformes à la directive européenne « baignade » de 2006.
On ne fait pas plus officiel. Surfrider faisait donc état de ses « inquiétudes croissantes quant à la qualité des eaux de la Seine », dénonçant les « risques » pour les athlètes « à évoluer dans une eau contaminée ».`
En cause, en plus du bouillon de culture, un trop-plein de matières fécales.
Pourtant, promis juré craché par terre et dans la Seine, les épreuves auront bien lieu dans le fleuve entre les ponts Alexandre-III et de l’Alma.
Et c’est Anne Hidalgo qui va lancer la compétition en faisant trempette avec le préfet. Les Français ont payé pour ça, et payé très cher.
1,4 milliard pour nettoyer la Seine
C’est Emmanuelle Ménard, député non inscrit de l’Hérault, qui nous le révèle.
Prenant la parole dans le cadre de la discussion de la loi sur la fin de vie et s’insurgeant contre le peu de moyens octroyés par l’État aux soins palliatifs, soit un milliard sur dix ans, voici ce qu’elle dit : « Un milliard sur dix ans. Bravo et merci !
Je veux juste vous poser une question : quand on veut vraiment donner les moyens – et il me semble que les soins palliatifs, ça en vaut la peine –, je vous le demande : combien l’État a-t-il dépensé, en trois ans, pour nettoyer la Seine afin que Monsieur Macron et Madame Hidalgo puissent s’y baigner cet été avant les Jeux olympiques ? »
La réponse est aussi stupéfiante que la somme est exorbitante : « 1,4 milliard pour nettoyer la Seine, contre un milliard pour les dix ans à venir pour les soins palliatifs ! »
Voilà, donc, le rapport tel qu’il est : des milliards pour les JO, des cacahuètes pour les soins palliatifs.Mais l’on aurait tort de s’inquiéter : comme dans la chanson, « tout va très bien, Madame la Marquise » !
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Montrer la France telle qu'elle devient
Chère Madame, cher Monsieur,
Alors que tout est fait pour organiser la cécité sur la situation de la France...
... votre média Boulevard Voltaire s’emploie à la montrer telle qu’elle est devenue, sur fond d’immigration incontrôlée, avec son lot grandissant de violence et d’islamisation.
Peu à peu, la charia installe sa loi.
Achenheim : une jeune fille de 13 ans est agressée par quatre mineurs pour ne pas avoir respecté le jeûne du ramadan... Strasbourg : un gérant de magasin est menacé de mort après avoir refusé une intérimaire voilée... Bordeaux : un musulman buvant de l’alcool pendant le ramadan est tué à coups de couteau par un homme en djellaba... Viry-Châtillon : le jeune Shamseddine (15 ans) est tabassé à mort, accusé par des "grands frères" d’entretenir une correspondance amoureuse avec leur sœur.
Et la violence est partout.
Violences à l’hôpital, violences à la sortie de l’école, violences contre les profs, violences anti-flics, violences contre les touristes, les vieilles dames, les enfants... Chaque jour apporte son lot d’horreurs.
Ces vols, viols, agressions, morts, ne sont évidemment plus des "faits divers" mais bien le fruit de la décomposition sociale de notre pays.
Et sur Boulevard Voltaire, nous nous attachons à les relater jour après jour pour sortir les Français de la torpeur où les médias dominants et les dirigeants politiques les plongent, les rendant tout juste bons à organiser des "marches blanches" à chaque nouveau drame.
Il est également vital d’informer les Français sur l’incapacité organisée à se défendre contre cette violence, comme en témoignent ces cas emblématiques, relatés dans les colonnes de Boulevard Voltaire :
Le 26 mai, quatre personnes ont été poignardées dans le métro de Lyon. L’agresseur est un Marocain "au profil psychiatrique quand même chargé", de l’aveu même du préfet d’Auvergne-Rhône-Alpes. Il faisait l’objet d’une OQTF (obligation de quitter le territoire français) restée sans effet depuis... 2022.
Le 11 avril, un Algérien de 18 ans, déjà connu pour des faits de vol avec violences et sous le coup d’une OQTF lui aussi, a été interpellé dans le RER car il cachait, sous sa djellaba, une carabine 22 long rifle. Il a été... libéré en attendant son procès.
Chez Boulevard Voltaire, nous mettons toute notre énergie à remplir cette mission d’information salutaire, pour empêcher que notre pays devienne, irrémédiablement, un monde de violences comme partout où le pouvoir légitime s’affaiblit.
Notre audience et notre notoriété s’accroissent sans cesse. Mais face au rouleau compresseur des médias bien-pensants, nos moyens sont encore insuffisants.
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C’est urgent.
Par avance, nous vous remercions sincèrement pour votre fidélité et votre générosité.
J’ai récemment soutenu que nous subissons la propagande hypocrite, victimaire et mensongère des puissants, fils de la mondialisation, qui sont de véritables parias.
J’ai également affirmé – et documenté – à plusieurs reprises que les “disputes” entre Russes et Américains, entre l’OTAN et Moscou, sont dans une certaine mesure des farces.
Les liens entre les deux parties sont très étroits, à commencer par l’armement, en continuant avec les programmes spatiaux, et surtout dans le partage des quotas de gestion de la géo-énergie-économie mondiale.
Ce n’est pas un détail qu’en Syrie, les actions soient coordonnées par téléphone entre les deux armées.
Cela n’a pas été révélé par un “complotiste”, mais par Lavrov lui-même.
Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas entre eux certaines rivalités appropriées dans la complicité, comme cela se produit au reste dans toute entreprise.
Il est improbable que ces rivalités finissent par prévaloir et même dégénérer, mais il n’est pas impossible qu’elles produisent divers effets secondaires (armement, réveil de thèmes patriotiques, changements culturels) qui en tant que tels, et certainement pas dans l’illusion hystérique de révolutionner le monde, doivent nous intéresser beaucoup.
J’ai mainte fois attiré l’attention à que nous soyons présents à nous-mêmes et que nous laissions derrière nous les catégories de l’antagonisme, qui a pour seule fonction de consolider toujours et dans tous les cas le pouvoir; j’ai exhorté à dépasser le dualisme, à ne pas confondre les visions idéales avec le fanatisme et à échapper à l’hypnose quotidienne.
Cela signifie-t-il que je prêche la neutralité et l’absence de prise de position? Pas du tout. Cela signifie tout autre chose.
Comme j’ai essayé de l’expliquer dans “Mythe ou Utopie? Une relecture verticale d’Orwell” (Édition Nouvelle Librairie, 2022), tout ce que nous subissons ou croyons subir aujourd’hui de répugnant n’est qu’en partie l’œuvre des gestionnaires du pouvoir, mais est surtout l’expression du ventre chaotique et informe de ces plèbes qui sont le produit de la désintégration des corps sociaux, voulue idéologiquement et spirituellement par certains mais aussi déterminée par les circonstances.
Par conséquent, s’en prendre au Soros du moment est assez vain. Nous parlons de plèbes atomisées qui sont mal éduquées, dépourvues de style, éloignées de la métaphysique (même d’un genre matérialiste car, paradoxalement, il en existe une), de la discipline, de la hiérarchie. En d’autres termes, des plèbes éloignées de la Verticalité.
La Verticalité a-t-elle été vaincue, du moins pour l’instant, par l’Horizontalité ?
Pas vraiment, car cette horizontalité qui se traduit par la loi du nombre, selon laquelle toute chose vaut toute autre chose puisque tout est qualitativement relatif, a entraîné une chute inévitable, une Contreverticalité.
La nature a peur du vide, et il était inévitable que cela se termine ainsi.
Tant et si bien qu’aujourd’hui la folie woke et le délire du genre imposent une échelle inverse de valeurs et même de principes, et il ne pourrait en être autrement lorsque, face au déchaînement de la matière, de l’énergie et de la technique, il n’y a pas une centration spirituelle, culturelle et existentielle qui sert d’axe autour duquel tourne la roue.
Éviter de se laisser entraîner dans le fanatisme hystérique en choisissant un prétendu “moindre mal” censé révolutionner le système (à supposer que quelqu’un puisse définir ce qu’il entend par système), ne signifie pas agir comme un banquier suisse, mais se consolider, se nourrir culturellement, conceptuellement, existentiellement et aussi spirituellement, afin de devenir SUJET dans une époque où, de par sa nature, tous les verbes sont conjugués au passif et ne prévoient que des COMPLÉMENTS D’AGENT.
Penser et vivre de manière active et non passive sera une révolution, et c’est vers cela que nous devons tendre avant tout.
Se concentrer sur soi-même, sur son propre peuple, sur sa propre civilisation, pour régénérer son propre environnement de vie et régénérer ensemble l’Europe : c’est cela seul qui peut nous intéresser.
En insérant la Verticalité.
Comment fait-on ? On commence par ne plus céder à ses propres rancœurs, à ses propres frustrations, pour laisser place à une volonté créatrice heureuse.
Avec style, discipline, respect, éducation et avec la redécouverte de la hiérarchie, la vraie, pas celle des gangs.
L’Horizontalité, après avoir dégradé la qualité et la forme, a donné naissance à un vortex de corrosion, dans lequel les gens, n’étant plus unis, cohésifs ou représentés, ont été réduits à un ensemble d’atomes fous et de cerveaux hypnotisés, finissant par fournir plus d’énergie à la force corrosive qui règne. Dans nos attitudes “réseaux sociaux” et par notre fanatisme obtus et acide, nous sommes tous des agents de corrosion.
Ce qui manque, en substance, c’est une élite qui assume une tâche de civilisation et qui repropose une représentation populaire permettant aux gens de ne plus être uniquement l’objet des décisions de quelques-uns.
Mais il s’agit de cela, non des divagations de la droite terminale qui passe son temps à définir les méchants et le mal (en se trompant souvent, en plus) pour leur opposer de possibles bons ou vertueux (se trompant toujours et devant mentir régulièrement pour ne pas admettre que ces derniers non seulement ne sont pas meilleurs, mais sont souvent encore pires que les premiers).
Ce faisant, elle est malhonnête et mesquine. Tout est horrible si c’est fait par les “ennemis” et tout est juste si c’est fait par les “amis”.
Pire encore : tout crime “ami” découvert est nécessairement un mensonge de “l’ennemi”.
Cela est inacceptable car on ne peut pas lutter pour défendre des ignominies, on ne peut pas soutenir que le but justifie les moyens, mais il faut toujours se rappeler le précepte légionnaire selon lequel on doit toujours parcourir le chemin de l’honneur et refuser d’en parcourir ou d’en avaliser d’autres par ivresse du succès.
Seule la vulgarité de la plèbe, qui est le substrat de la tyrannie, l’aversion à la forme, à la qualité, à l’ordre et à la lumière, peut induire à faire le contraire.
Il y a eu un slogan de Marine Le Pen et de Salvini qui contenait en lui toute la faiblesse endémique et qui a contribué à encourager cette médiocrité. Partant du postulat assez grossier, mais pas tout à fait inexact, selon lequel les élites seraient contre les peuples, ils ont lancé le mot d’ordre « Le peuple contre les élites ».
Sans même se rendre compte que, contre ce qu’ils définissent comme système, ils ont opposé distraitement précisément la logique, l’essence, l’absence de forme, les lamentations et les évacuations intestinales qui sont à la base de cette époque servile, manquante de lucidité et de dignité.
Au lieu de proposer une révolution des élites pour produire l’avènement d’une nouvelle Verticalité et d’une nouvelle organicité, ils ont réussi à concevoir une aberrante exacerbation de l’Horizontalité, dans laquelle il n’y a plus rien d’élevé.
Comme s’il était possible d’imaginer un rassemblement humain sans élites ou, pire, qu’on souhaite le réaliser pour complaire à la jalousie de ceux qui ne pourraient jamais en faire partie par manque de qualité et, parce qu’incapables de s’élever, veulent tirer tout le monde vers le bas.
C’était probablement juste un slogan électoral, mais le problème est que cette logique si démocratique – dans le sens délétère du terme – et cette haine de la forme et de la supériorité sont aujourd’hui prédominantes chez les droites terminales qui préfèrent ressembler à des vers de terre plutôt qu’à des aigles.
La ré-volution – qui ne peut pas partir d’un ghetto ni se limiter à un ghetto – doit aller dans une toute autre direction, avec une toute autre mentalité, avec un tout autre style et en préparant un nouveau PROTAGONISME.
Celui-ci ne doit pas être une mauvaise copie de l’envie sociale et de la haine malheureuse de mémoire communiste.
Il doit s’agir d’un protagonisme de peuple, un protagonisme de communauté, un protagonisme de personnes, pas un exibitionnisme, un arrivisme ou un opportunisme de notre part.
Nous devrions, au contraire, exprimer des exemples qui, par contamination, auront un impact autour de nous.
Même ceux qui font de la politique au sens classique devraient se comporter ainsi plutôt que de se promouvoir eux-mêmes.
Nous devons tendre non pas à avancer nous-mêmes mais à faire avancer nos peuples.
Comment faire ? Je l’ai clarifié de manière plus détaillée dans “Défi au futur”. (Édition Synthèse Nationale, 2025) et dans la philosophie de vie des Lansquenets d’Europe.
Comprendre au moins cela nous permettra aussi de raisonner mieux, et surtout avec plus de dignité, en ce qui concerne les scénarios conflictuels en cours et nous évitera d’exprimer des « antagonismes » désordonnés, stupides et vulgaires, en agissant comme un élément catalyseur de l’édifice psychologique et narratif dominant, comme cela se fait depuis longtemps en nous berçant, en nous mentant, de l’illusion d’être « irréductibles ».
Une chute mortifiante par rapport à des décennies d’avant-garde, une mauvaise habitude à laquelle il faudra dire stop le plus tôt possible.
Au moment où 18.000 pèlerins (nouvelle affluence record, cette année) marchaient vers Chartres, preuve du succès et de l’attrait des messes dites « en latin », Monseigneur Dognin, évêque de Quimper et Léon, confirmait, dans une lettre datée du jour de la Pentecôte, l’éviction du diocèse de la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre (FSSP).
Les fidèles, attachés à la forme extraordinaire du rite romain, dénoncent le « mépris » de l’évêché vis-à-vis de leur communauté pourtant florissante et promettent de rester mobilisés pour défendre la liberté liturgique.
Éviction de la Fraternité Saint-Pierre
« Le couperet est tombé. »
À l’été 2021, l’Église de France, et notamment les prêtres et les fidèles attachés au rite tridentin, découvrent avec stupeur le motu proprio [décret pontifical, NDLR] Traditionis custodes qui limite l’usage du missel de 1962.
Dans certains diocèses, les fidèles de la messe en latin voient alors leurs églises fermées et certains de leurs prêtres renvoyés.
À Quimper, la paix liturgique, ou du moins le statu quo, semblait régner.
En cause, deux articles à charge contre l’évêché, publiés par l’association Paix liturgique, qui mettent le feu aux poudres. Et alors que la FSSP n’a rien à voir avec cette association dont « elle désapprouve les méthodes et l’état d’esprit », la voilà dans le collimateur de l’évêque.
Cinq mois plus tard, l’évêché confirme cette révocation.
La FSSP est priée de plier bagage et de quitter le diocèse.
Dans une lettre adressée aux paroissiens, l’évêque tente de temporiser et promet que « trois messes dominicales » seront célébrées par des prêtres diocésains chaque semaine, ainsi que les solennités de la Toussaint, Noël, l’Ascension et l’Assomption, et toute autre solennité qui tombe un dimanche.
En revanche, le Triduum Pascal, les autres solennités et surtout les sacrements seront désormais célébrés « en paroisse » en forme ordinaire.
« On nous laisse trois messes - dont une à Brest - et on nous dit "soyez sympas, restez dans le rang".
Mais c’est méconnaître la richesse des messes en semaine, de la vie de communauté, du catéchisme, des confessions et des autres sacrements », s’agace Louis, un paroissien mobilisé contre la décision du diocèse. « Il y a six ans, il y avait une soixantaine de fidèles.
Aujourd’hui, nous sommes 250-300 chaque semaine.
Cela montre bien la fécondité de la messe en forme extraordinaire et du travail de la FSSP », ajoute le jeune homme.
Après une première grande mobilisation devant les portes de l’évêché, au début du mois de mai, quelques dizaines de paroissiens ont continué de réciter le chapelet au même endroit, espérant être entendus de leur évêque. La porte est demeurée close. « Cela fait des semaines qu’on demande à être reçus et écoutés.
La seule réponse que l’on obtient, c’est un communiqué », regrette Louis.
Face au silence de leur diocèse, les paroissiens attachés à la forme extraordinaire ont donc adressé une lettre à Monseigneur de Moulins-Beaufort, président de la Conférence des évêques de France, dans l’espoir de débloquer la situation.
Ils prévoient une nouvelle mobilisation, le 16 juin.
« Ce sera sûrement une grande marche dans le centre-ville de Quimper », nous annonce Louis, qui travaille à son organisation.
Les tradis en danger
Plusieurs prêtres, membres d’autres sociétés traditionalistes, ont relayé le combat de ces fidèles pour la liberté liturgique.
Certains n’ont d’ailleurs pas manqué de remarquer le deux poids deux mesures du diocèse de Quimper qui, d’un côté, révoque la Fraternité sacerdotale Saint-Pierre, dont le charisme a pourtant été confirmé par le pape François en février 2022, et, de l’autre, relaie des messages politiques en faveur de la communauté LGBT sur son compte X (avant de supprimer ce compte).
Le diocèse dénonce un acte de malveillance.
Le diocèse de Quimper est loin d’être le premier à avoir banni a FSSP de son territoire.
En juin 2021, avant même la publication du motu proprio, la FSSP a été informée par courrier de son éviction du diocèse de Dijon.
« Il semble anachronique, à une époque où le nombre de prêtres ne cesse de diminuer, de préférer se passer des services de deux d’entre eux […], quitte à surcharger encore davantage les prêtres diocésains », regrettait la société.
L’année suivante, la FSSP était ensuite invitée à quitter le diocèse de Grenoble.
Dans d’autres diocèses, dont celui de Poitiers ou Rennes, de jeunes fiancés rencontrent également des difficultés pour célébrer leur mariage selon la forme extraordinaire dans l’une des églises du diocèse.
À l’heure où les séminaires des diocèses se vident et où, à l’inverse, le pèlerinage de Chartres et les messes en forme extraordinaire font le plein, l’Église de France souhaite-t-elle vraiment se passer des tradis ?
Source https://www.bvoltaire.fr/
ET AUSSI Pour Info !
Le jour du Seigneur et la Messe en direct de Loperec, le 9 juin 2024
Le jour du Seigneur et la Messe seront retransmis en direct de Loperec, le 9 juin 2024. Une messe célébrée en direct de l’école agricole et forestière Le Nivot à Lopérec (29).
Voici le programme complet de cette retransmission, sur France 2.
10h30 Magazine
Et si l’entreprise pouvait être un levier de transformation du monde, au service de tous ?
C’est la conviction d’Hubert de Boisredon, PDG du groupe Armor.
Il sera ce dimanche l’invité de David Milliat.
Ce dirigeant pense l’entreprise comme un lieu de « transformation du monde » dont la réussite « doit englober beaucoup plus que la maximisation du profit ou le cours de la Bourse ».
Dans son dernier livre Déserter ou s’engager, il lance un appel à la jeunesse, parfois désenchantée à se mobiliser et se questionner.
11h00 Messe en plein air
Célébrée en direct de l’école agricole et forestière Le Nivot à Lopérec (29)
En ce 10e dimanche du Temps ordinaire, c’est en Bretagne, dans le Finistère, que nous serons accueillis, au sein du lycée agricole du Nivot qui fête cette année ses 100 ans.
Situé au cœur des Monts d’Arrée, dans un environnement unique, ce lycée forme plus de 400 élèves et étudiants aux métiers de l’élevage et de la forêt.
La congrégation des frères de l’Instruction chrétienne, qui porte depuis 200 ans une œuvre éducative au service des jeunes dans 26 pays dans le monde, assure la tutelle de l’établissement.
Avec toute la communauté éducative du Nivot et les jeunes désireux, par leur futur métier, de se mettre au service de la Création, soyons dans l’action de grâce et prions pour la Terre, notre maison commune ainsi que pour le monde agricole en pleine transition.
Prédicateur : Père Vincent Cabanac, assomptionniste
Président : Père Christian Le Borgne, curé de la paroisse Sainte-Anne de Châteaulin
11h55 Parole Inattendue
Bernard Minier, romancier, maître du polar français, est l’invité du jour.
« Les bonnes nouvelles sont toujours retardées, et les mauvaises ont des ailes », écrivait Voltaire à sa nièce, Marie-Louise Mignot.
Et, encore une fois, l’actualité n’est pas généreuse d’optimisme.
Malgré tout, il y a toujours des raisons d’espérer. Invitée de CNews le 27 mai,
Maud Bregeon, députée macroniste des Hauts-de-Seine, reconnaissait l’existence d’un lien entre insécurité et immigration, ajoutant : « Il faut être aveugle pour affirmer le contraire. »
Un fait politique passé au crible par la plume de Marc Baudriller et qui n’a pas manqué de vous faire réagir.
Bruno exprime son exaspération : « Répéter un mensonge 1.000 fois n’en fait pas une vérité, les Français, eux, connaissent la vérité, pas besoin de statistiques ethniques pour faire le lien entre immigration et criminalité.
Il suffit de prendre les transports en commun pour savoir qu’il s’agit d’une réalité.
La ligne de défense prise par la gauche et une partie de la droite est toujours la même, faire le lien entre immigration et insécurité reviendrait à dire que 100 % des immigrés sont délinquants et que 100 % des délinquants sont immigrés, argument fallacieux, stupide, éculé, personne n’affirmant une telle chose.
C’est pourtant le seul argument qui est assené en boucle depuis des années. »
Bien qu’il soit encore et toujours nié par une partie du spectre politique, le lien entre délinquance et immigration n’est effectivement plus à prouver.
Dans son papier du 29 mai dernier, Julien Tellier rappelait les chiffres accablants du Service statistique ministériel de la sécurité intérieure (SSMSI).
Augmentation du nombre d’homicides, explosion des attaques au couteau… 2023 a battu tous les records.
Une hausse de l’insécurité que rappelle Mimi : « Sentiment d’insécurité ? Non et non, c’est une réalité de tous les jours depuis 2012, ère Hollande/Macron, c’est un fait incontestable.
Les actes terroristes, les refus d’obtempérer, les viols, les vols, les attaques au couteau, les tirs à la kalach', les grenades, les caillassages, les pillages… C’est de pire en pire.
Darmanin l’homme crocodile, il parle, il gesticule, il dit, il ment beaucoup, mais au bout du bout, rien de rien. Les gens ont la trouille de sortir le soir.
Nous ne sommes en sécurité nulle part, et ça, c’est le fait de la Macronie. » Gabian de Cassidaigne, lui, se demande comment on peut encore s’étonner de telles données : « Je m’étonne que ces révélations puissent encore étonner ! »
Insécurité, insécurité, insécurité…
Chaque jour, ou presque, les Français sont confrontés à des faits de violences gratuites et aveugles.
Des faits qu’a mis en lumière Iris Bridier, qui traitait de la nouvelle attaque à trente kilomètres Crépol : des faits d’une extrême gravité au cœur d’un village de quatre cents âmes… Indigné, Jean-luc06 : « La France "Orange mécanique" ! Asile de fous à ciel ouvert qui ne tient bon que grâce à nos forces de l’ordre, mais jusqu’à quand ?
Combien de victimes allons-nous accepter ? Où est le politique ? Celui qui doit prévoir, agir et protéger la population ?
Et toujours les mêmes profils impliqués… Mais chut ! » Apauline39, elle, n’est pas dupe : « Des jeunes des quartiers qui viennent à un bal de jeunes fermiers avec des barres de fer, vous ne me ferez pas croire qu’ils venaient pour danser, et ce procureur qui prend des pincettes pour nous expliquer les faits, c’est la deuxième fois que ça se produit, il va falloir que ça s’arrête avant un troisième drame comme à Crépol, et faudra-t-il mettre un service de sécurité chaque fois que des jeunes de la campagne organisent un bal ? »
La France allant de malheur en malheur, on ne peut que se demander ce que la semaine prochaine lui réserve…
Boulevard Voltaire https://www.bvoltaire.fr/
COMMENTAIRES
Dans une France ou il y à un danger permanent surtout lors d’un bal,la défense est la seule arme.
Même certaines banlieues de l’ouest du 92 commencent à avoir des problèmes (Suresnes, Saint cloud etc.)
Guerre civile proche.
Malheureusement, nous allons accepter autant de victimes, que nous ne nous sentirons pas nous même en danger et encore, la réaction sera peut-être de se cacher en espérant que ce sera l’autre qui se fera « trucider ». La lâcheté (peur plus bêtise) est une attitude très répandue.
Il faut développer l’explication si on veut terrasser définitivement les ennemis des Français et, notamment, en ne prêtant pas le flanc à un accusation de racisme : 1 Un nombre certain d’immigrants sont déjà des délinquants dans leur pays qu’ils fuient – 2 La permissivité de la France à leur égard leur donne toutes les audaces – 3 Le déracinement et le décalage culturel sont des obstacles à la très difficile assimilation : l »échec (notamment scolaire) nourrit le communautarisme puis la haine – 4 Il survient alors inévitablement les TDI (Troubles Dissociatifs d »Identité) qui perturbent sévèrement le fonctionnement physiologique du cerveau. Contre ce qui précède (si la droite prenait la peine de réfléchir) la gauche ne pourra rien répondre et les patriotes français auront un argument imparable pour exiger que ce soient eux qui décident seuls désormais de la politique immlgratoire.
si vous voulez éviter le désastre , votez marion
L’adjoint municipal aux finances, Pascal Bolo, en revanche, était monté dès 2022 au créneau pour défendre le projet du CRA. À l’époque, ce ténor local du PS défendait une implantation «dans l’ordre des choses», compte tenu «qu’une part significative de la délinquance en centre-ville est liée à des personnes étrangères».
Fréjeville (81) : lors d’une fête, des individus brandissent un drapeau algérien face à des habitants qui entonnent la Marseillaise ; les deux camps se font face
La semaine prochaines et les suivantes se suivront et se ressembleront tant que macron est au pouvoir . Et selon les résultats du 09 juin cela risque d’empirer . Attendons nous au pire.
Le western dont Macron ne veut pas, c’est pour bientôt puisque l’état ne fait rien si ce n’est que déplorer et faire des discours !
« Le sentiment d’insécurité », vous connaissez ? Si, si le sentiment !
Déchéance de nationalité pour les binationaux délinquants
Le pas de vague du politique incorrect donne des résultats. Aujourd’hui on peut dire publiquement que l’insécurité est liée en grande partie à l’immigration illégale. Tout comme il y a moins d’ une décennie l’antisémitisme était et reste une ignominie aujourd’hui ça revient au grand galop par qui, pourquoi ? La réponse est dans la question. La France est terre d’asile pour les persécutés pas pour ceux qui y voient un eldorado où on te nourrit, on te loge et même on te donne de l’argent , et un avocat gratuit. Comme à Nuremberg il faudra bien qu’ un jour des comptes soient rendus pour ceux qui ont conduit notre nation au bord du précipice.
Va-t-il falloir à chaque bal de village un service de sécurité personnel avec fusils de chasse et couteaux à étriper les sangliers ? Doit-on en arriver jusque-là dans une France orange mécanique où l’insécurité règne pour les Français gaulois victimes de racisme ?
Hélas, je pense qu’ils n’attendent que cela; pour justifier leur action déferlante et punitive.
Malgré encore un relatif nombre en leur défaveur, le rapport de force n’est pas pour nous. Que pouvons-nous espérer face à de l’armement de guerre dont ils disposent en toute évidence et toute impunité ? Les politiques leurs sont soumis, ils ont carte blanche.
J’espère et crains à la fois le score électoral du 9 juin.
L’État est mal géré mais il semble que les politiciens et technocrates qui nous gouvernent n’en aient pas encore pris conscience.
Par Marc Le Stahler
APRÈS LE DÉBAT, UN VOTE DÉCISIF
L’État est mal géré mais il semble que les politiciens et technocrates qui nous gouvernent n’en aient pas encore pris conscience.
Notamment en n’ayant pas eu l’idée (pourtant simple) de faire le lien entre la pression fiscale (*) et son incidence sur le pouvoir d’achat, qui n’est en fait que le « revenu disponible ».
Nous en avons déjà parlé sur Minurne…é
« Blocage des prix » serine t’on à gauche où les principaux mécanismes économiques naturels restent incompris (à défaut d’être connus).
« Augmentation du SMIC », solution apparente de facilité. L’État doit se charger de mettre en place les principes généraux de fonctionnement de l’économie, pas d’intervenir intempestivement dans la gestion interne des entreprises.
Une des rares remarques intelligentes de cette soirée fut émise par Bardella, évoquant le contrat désastreux de l’UE fixant l’indexation de l’énergie au détriment de nos intérêts, conséquence de la politique anti énergie nucléaire, véritable « casse » de la filière nucléaire dans laquelle nous excellions.
Casse volontaire et organisée dont sont collectivement responsables Hollande et Macron (Macron doublement), sans oublier les prétendus écologistes adeptes de la décroissance.
Bellamy, quant à lui, observe avec pertinence que la France détient la Coupe du Monde en matière d’impôts et taxes (*
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Un coup de chapeau surprenant à Léon Deffontaines, élu communiste qui ne dit pas trop des bêtises, laissant ce rôle à la pauvre Valérie Hayer qui semble ne même pas réaliser les énormités qu’elle profère.
On conservera dans les annales de la macronie finissante sa réplique à un Français, inquiet de ne pas pouvoir assurer financièrement le contrôle technique de son véhicule thermique : « qu’il achète une électrique ! », réincarnation actualisée de la réplique douteuse que l’on prête à la pauvre Marie Antoinette (« ils n’ont pas de pain ? qu’on leur donne de la brioche »).
Marion Maréchal lance une formule qui fait mouche : « l’enfer fiscal », et prône une nécessaire baisse des charges sociales et fiscales sur les salaires (*), qui aurait un effet positif sur le pouvoir d’achat (et sans doute sur l’emploi).
Manon Aubry, tête de liste LFI (pâle copie du Georges Marchais des années 80 mais n’en possédant ni le talent ni l’humour), en remet une couche sur les méchants « actionnaires ».
Retour à la case départ du « Capital » et reprise de la rengaine qu’elle a dû entendre dans son enfance : les exactions du « Grand Capital » ! Histoire de bouter hors de France les entrepreneurs, pourvoyeurs d’emploi, de richesses et d’innovations, tout en laissant béantes les portes de l’immigration sauvage et de l’insécurité, dont certains font encore semblant de se demander s’il y a un lien de corrélation entre ces 2 fléaux.
Ils ne nous ont pas fait le coup de l’évasion fiscale organisée mais on n’en était pas loin.
Les flèches empoisonnées n’ont ciblé que le pauvre Carlos Tavarez, PDG de Stellantis, qui gagnerait « des milliards d’euros à lui seul ».
Dans le tohu-bohu de tout ce fatras indigeste, Marion parvient à décocher avec précision quelques flèches empoisonnées.
Dotée d’une hargne qu’on ne lui connaissait pas, mais s’adressant directement, avec son cœur, à celui de la France.
Compte tenu de l’inélégance du « débat », on ne regrettera pas l’absence de Raphaël Glücksmann (PS) et Marie Toussaint (EELV), opportunément terrés chez eux ; ils n’auraient sans doute fait qu’ajouter au désordre ambiant.
Mais leur absence démontre quand même une claire et peu glorieuse trouille à l’idée d’affronter l’adversaire. Ainsi qu’une bizarre vision du débat démocratique.
Il est clair que, si l’on se fie aux sondages, en France comme dans les autres pays de l’Union, la composition de la future assemblée européenne sera assez nettement redessinée, dans un sens un peu plus proche des intérêts bien compris des états, et que le spectre d’une « Fédération Européenne » pourrait bien s’éloigner enfin quelque peu.
Encore faudrait-il que les sondages soient corrects et représentent une réelle projection.
N’oublions pas que les dernières élections européennes furent marquées par une forte abstention (de l’ordre de 50 %), ce qui pourrait bien se reproduire, et modifier la donne
Il y a en fait 2 paramètres à étudier dans le panel : la réponse à la première question « pour qui allez vous voter ? »,
ET la réponse à une 2ème question « êtes vous sûr d’aller voter ? ».
Ce qui rend les prévisions bien compliquées et un peu aléatoire leur interprétation.
En conclusion, et si, chers amis patriotes, vous vous préparez à voter ce dimanche 9 juin, contribuant ainsi à faire bouger (enfin) un peu les lignes, ne changez pas d’avis entretemps, accomplissez votre devoir civique.
La France a plus que jamais besoin de vous.
Et ne croyez pas les prévisionnistes qui, tel le serpent Kaa dans le Livre de la Jungle, vous serinent sur un air doucereux « tout va bien, le vote patriote s’envole, Bardella frise le tiers des voix et Marion sera entre 7 et 8 % »…
Écoutez-les, mais sachez que rien n’est joué !
Votez ! C’est VOUS qui détenez la clé du début du changement !
Ce scrutin ne fera certes pas tout.
Mais il pourrait bien marquer, grâce à vous, le début de la Reconquête !
Par Marc Le Stahler
* Rappelons que la France détient le record d’Europe de la pression fiscale !
On ne peut pas en dire autant de la qualité des services publics !
L’institut Molinari a calculé le Jour de Libération Fiscale, jour théorique à partir duquel, pour un pays donné, un salarié travaille pour lui, après avoir payé sa dette fiscale
. Pour la France, il s’agit du 17 juillet !
************************* Quoi qu’il arrive, nous n’oublierons jamais le massacre du 7 octobre 2023 perpétré en Israël par les terroristes du HAMAS.
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Nous aimons la liberté de publier : à vous de partager !
Ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur donc en aucun cas Observatoire du MENSONGE
A chaque fois que les écolos arrivent dans une ville, cela devient un coupe-gorge. Exemple Bordeaux, mais c’est pareil à Lyon ou à Grenoble… Ils préfèrent faire des passages pour piétons LGBT que de protéger leurs piétons des agressions de la racaille musulmane…
Surtout ne jamais oublier de se munir d’un paquet de clopes lorsqu’on va faire ses courses : https://www.sudouest.fr/faits-divers/bordeaux-un-quinquagenaire-blesse-d-un-coup-de-couteau-pour-unecigarette-19955850.php#:~:text=Un%20Bordelais%20de%2050%20ans,couteau%20en%20guise%20de%20r%C3%A9ponse.
Des agriculteurs manifestent devant la permanence d’une député écolo, Lise Belluco. Sandrine n’est pas contente : les bouseux, c’est fait pour s’incliner au passage des nouveaux aristocrates. https://x.com/tvlofficiel/status/1749815037198545246
CHRONIQUES DE LA SUBVERSION
Benoît Payan trouve que nous aurions « tant à apprendre de l’Algérie »… ? En attendant, ce sont les clandestins algériens qui prennent tant à la France.
Nouvel argument de campagne d’Attal : voulez-vous que la France, en 45 ans, passe de Simone Veil à Marine Le Pen ? Réponse : si nous pouvions passer de la palabre à l’action… Amaury Brelet : “Pas un conseiller à Matignon ou à l’Élysée pour expliquer que ce genre d’attaque est totalement inefficace et contreproductif ? Amateurisme désespéré. C’est consternant”.
Une pensée attristée et révoltée pour ce jeune policier de 28 ans massacré par l’islam. Là-bas, comme chez nous, honte aux pourris qui dissimulent, édulcorent, mentent, sont dans le déni du réel : “Selon les enquêteurs, l’homme qui a blessé six personnes avec un couteau sur un stand du « mouvement civil Pax Europa » (BPE) populiste de droite à Mannheim avait probablement un mobile islamiste. Cependant, cela n’est pas encore garanti.” Ben voyons !https://www.fdesouche.com/2024/06/02/mannheim-un-activist...
La campagne des européennes prend fin. 38 listes – est-ce vraiment un signe de démocratie ? – postulent à vos suffrages.
Les débats se succèdent. Jordan Bardella caracole en tête des sondages, et la plupart des autres candidats le ciblent en priorité.
Marion Maréchal et Jordan Bardella, dans un style différent, font un malheur à chacune de leurs interventions, et malmènent durement leurs adversaires, tout en évitant de se chamailler trop fortement entre eux.
Les sondages indiquent qu’environ un électeur sur deux ne se déplacera pas.
On laisse entendre que Valérie Hayer, pour qui cette campagne aura été un calvaire tant elle est médiocre et insignifiante, pourrait être dépassée par Raphaël Glucksmann, pour le plus grand bonheur des socialistes qui le soutiennent.
Que cela soit Hayer ou Glucksmann qui arrive deuxième n’a aucun intérêt, leur programme est identique, ils sont européistes, mondialistes, islamo-collabos et immigrationnistes.
Quatre partis sont estimés, dans les sondages, entre 5 et 8 % : LR et François-Xavier Bellamy, Reconquête et Marion Maréchal, les Insoumis et Manon Aubry, les écolos et Marie Toussaint.
Rappelons qu’en dessous de 5 %, on n’a pas de député, et qu’en dessous de 3 %, on n’est pas remboursé de ses frais de campagne.
Nous ne pouvons qu’encourager nos lecteurs à aller voter, car en restant chez eux, ils renforcent le poids des candidats immigrationnistes.
Peu importe leur choix, qu’ils votent pour :
Jordan Bardella, parce qu’ils pensent capital que le RN frappe un grand coup et s’impose comme l’alternative probable à Macron en 2027.
Marion Maréchal, parce qu’ils estiment que seul Reconquête a pris la mesure de l’islamisation de la France, et mène une campagne active sur ce thème.
Florian Philippot ou François Asselineau, parce qu’ils estiment que seule la sortie de l’UE permettra à la France de retrouver sa souveraineté.
En votant pour ces candidats (nous avons du mal à nous situer avec LR, si ce n’est que, malgré la qualité de Bellamy, nous en avons marre de leurs multiples trahisons), vous contribuerez à affaiblir nos pires ennemis, les immigrationnistes Hayer, Glucksmann, Aubry et Toussaint.
Ces candidats sont des assassins, assassins de la France, mais aussi assassins de Français, qu’ils envoient chaque jour à la mort par leur politique criminelle.
Nous nous prenons même que les écolos et les Insoumis n’atteignent pas les 5 %.
Que les Insoumis, qui n’ont fait campagne que pour la Palestine, avec leur fausse palestinienne Rima Hassan Moubarak, éligible en 7e position, et les écolos, qui ont multiplié les bourdes avec la pathétique Marie Toussaint, se prennent une gifle monumentale serait un bon message pour la France.
Donc, ce 9 juin, votez patriote, votez contre les mondialistes immigrationnistes, votez contre les européistes islamo-collabos, votez contre les fossoyeurs de la France.
Source et Publications : https://ripostelaique.com/
L’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID) est une structure d’étude et d’information relative aux évolutions démographiques et migratoires, destinée aux décideurs ainsi qu’à l’ensemble des citoyens intéressés par ces sujets.
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« Sauver Schengen » : face à l'urgence, la nécessaire réforme | Découvrez la note évènement de l'OID
« Immigration dans l'UE : la décennie de tous les records » | À quelques jours de l'élection, notre bilan dans Le Figaro
« L’immigration comme remède à nos difficultés démographiques et économiques ? » | Un texte exclusif d'André-Victor Robert
« Sauver Schengen » : face à l'urgence, la nécessaire réforme | Découvrez la note évènement de l'OID
Voilà un « élargissement » passé globalement inaperçu.
Le 31 mars dernier, la Roumanie et la Bulgarie sont devenues les 28e et 29e États membres de l'espace Schengen.
Leur adhésion à cette vaste zone européenne de libre circulation s'est néanmoins faite selon une logique graduelle et partielle : seules les frontières aériennes et maritimes sont concernées pour l'instant.
Les contrôles aux frontières terrestres restent en vigueur, suivant le veto posé par le gouvernement de l'Autriche qui redoute un afflux d'immigration irrégulière en transit par ces deux pays.
Il faut dire que cette extension de l'espace Schengen survient au terme d'une décennie marquée par la considérable fragilisation de celui-ci.
Comme le résumait récemment Fernand Gontier, ancien directeur central de la police aux frontières de 2017 à 2022, dans un entretien accordé à l'OID : « La survie de Schengen est en danger et ne résisterait sans doute pas à une nouvelle crise migratoire grave ou à une vague d'attentats meurtriers. ».
C'est à ce sujet que l'Observatoire de l'immigration et de la démographie a choisi de consacrer sa nouvelle note inédite : « Sauver Schengen ».
Cliquez sur l'image pour accéder à la nouvelle étude inédite de l'OID.
L'ambition originelle de Schengen continue d'apparaître positive en son principe : organiser, sur la base de traités ratifiés par un ensemble de pays, la libre circulation de leurs citoyens au sein de cette zone.
Or l'état actuel du droit européen va beaucoup plus loin, en interdisant « tout contrôle des personnes, quelle que soit leur nationalité, lorsqu'elles franchissent les frontières intérieures ».
❌ Ces règles en vigueur sont évidemment une aubaine pour l'immigration illégale : les étrangers extra-européens en situation irrégulière peuvent se déplacer sans entrave spécifique dans un espace de 4,3 millions de km2, qui s'étend de la Sicile à la mer Arctique et des Îles Canaries à la Pologne. Elles sont ainsi à l’origine d’importants flux migratoires « secondaires » entre pays européens – tout particulièrement au détriment de la France.
❌ Ces normes rendent aussi illusoire toute tentative de maîtrise des flux « légaux ». Par exemple : un ressortissant algérien à qui la France a refusé d'accorder un visa peut obtenir un visa Schengen auprès d'un consulat espagnol ou italien sans difficulté majeure, pour rentrer ensuite sur le territoire français en situation régulière et y demander un titre de séjour.
Ces failles de l'espace Schengen ont été résumées de manière didactique par la chaîne CNews dans un reportage consacré à notre note le jour de sa parution.
Cliquez pour visionner le reportage de CNews consacré à l'étude « Sauver Schengen ».
Face à ces constats graves, les pistes d'actions a minima consistent à mieux exploiter les possibilités et les limites de l'actuel droit Schengen pour mieux maîtriser les frontières :
Soumettre les ressortissants des pays tiers à un système d'enregistrement et de contrôle.
Renforcer la portée du rétablissement temporaire des contrôles aux frontières intérieures.
Suspendre au niveau européen la délivrance des visas Schengen aux ressortissants des pays tiers dont la coopération est insuffisante
Mais puisque l'enjeu est de « sauver Schengen », il apparaît désormais nécessaire de revenir à ses principes fondateurs par une série de mesures structurantes :
✅ Réserver le bénéfice de la libre circulation aux seuls citoyens européens et en écarter les ressortissants des pays tiers (pour lesquels il n'a pas été conçu).