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05/06/2024

LA PRÉFÉRENCE NATIONALE CONTRAIRE À LA CONSTITUTION D' APRÈS FABIUS !

La préférence française

La préférence nationale, appliquée de façon systématique, est contraire à la Constitution » d’après Laurent Fabius.

L’anti-France en marche !


 La préférence nationale, appliquée de façon systématique, est contraire à la Constitution » d’après Laurent Fabius.

 “Elle est donc raciste”, s’exclame un sénateur macroniste après une laborieuse démonstration.

Il s’agit là probablement de ne pas exclure les étrangers des aides sociales, des logements publics et de l’accès aux soin.

 Mais empêcher la possibilité aux Français accessibles aux logements sociaux pour y installer des étrangers à leur place a beaucoup de mal à se justifier en période de crise du logement surtout que c’est une partie des Français qui paient avec leurs IMPOTS les logements sociaux Une partie de plus en plus réduite .


 Les aides sociales distribuées aux étrangers obligent les Français à se serrer la ceinture puisqu’il ne peut s’agir que d’une histoire de vases communicants. 

Leur accès au soin ,( n’importe quel soin les plus abusifs ) détruit notre accès aux services hospitaliers de plus en plus exsangues.

L’absence de préférence nationale autorise n’importe quel arrivant à réclamer les mêmes droits qu’un Français alors que dans son pays d’origine il n’en bénéficie en général d’aucun. 

Voir pire les étrangers revendiquent des droits que les Français n’ont pas !

L’absence de préférence nationale devient une menace pour l’identité nationale puisque cette dernière ne représente financièrement aucun attrait.

Culture et histoire nationales deviennent des hochets considérés comme telles par les nouveaux arrivants puisqu’ils n’en ont pas besoin pour profiter des largesses de l’état.

“Viens comme tu es, reste comme tu es” disent Laurent Fabius et ce sénateur en substance.

Evidemment, la préférence nationale inciterait à l’intégration et à l’assimilation.

Sans elle, c’est un pays qu’on assassine. Elle est un moyen fort pour faire nation.

S’en priver est l’objectif de gens apatrides qui substitueront le plus vite possible l’UE puis le monde occidental à la France qui dans leur esprit ne représente rien.

Être contre la préférence nationale est être un ennemi du peuple français.

Pour Nicolas Dupont-Aignan la préférence nationale est l’essence même de la citoyenneté.

Comme le dit Eric Zemmour, “elle est la définition même d’une nation”.

Marine Le Pen veut qu’elle soit inscrite dans la constitution.

      Alors s’il n’y a pas de préférence nationale à quoi bon ou être Français ? 

 

Nous aimons la liberté de publier : à vous de partager !

Ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur donc en aucun cas Observatoire du MENSONGE

 

 

ET AUSSI

Un lien entre insécurité et immigration


Par Marc Baudriller



La députée et porte-parole des députés macronistes Maud Bregeon n’obtiendra peut-être pas la palme du martyre, mais elle a frôlé cet honneur… 

Comme l’a révélé le journaliste Gautier Le Bret, dans la matinale de CNews, ce 28 mai, les propos de l’élue des Hauts-de-Seine, porte-parole de la majorité présidentielle à l’Assemblée, ont été très remarqués.

La veille, Maud Bregeon avait entrouvert la porte d’un constat que les trois quarts des Français admettent comme une évidence depuis longtemps.

 « Moi, ma conviction, c’est qu’il faut être extrêmement ferme, confiait Maud Bregeon, au micro de Laurence Ferrari.

Et lucide.

On doit regarder les choses en face : il y a aujourd’hui en France – parfois, pas tout le temps – un lien entre insécurité et immigration et il faut être aveugle pour affirmer le contraire. »

Miracle ?

Coup de sifflet final dans le déni migratoire de la Macronie ?

Virage sur l’aile ? Lucidité subite ?

Illumination sous la pression de l’opinion ?

Il y avait là une réplique de la conversion de Constantin en 312, ou tout comme.


« Jamais de signe égal entre immigration et insécurité »

Hélas, ce constat indéniable – la moitié des occupants des prisons parisiennes (à la prison de Fresnes, par exemple) est étrangère – a suscité une levée de boucliers comme on les aime chez les députés macronistes.

Il faut sauver les saintes reliques de l’antiracisme !

L’aile gauche des députés macronistes s’est répandue sur une boucle Telegram qui abrite ces échanges confidentiels.

Pour une députée, Maud Bregeon « lepénise » un problème non pas d’immigration mais de… racisme.

Raciste, Maud Bregeon ?

Grrr ! « On va faire monter Bardella car les Français préfèreront l’original à la copie », hurlent des députés paniqués.

Horreur ! « Lien nauséabond »« propos blessants pour les immigrés », accusent les autres.

Pour Prisca Thevenot, porte-parole du gouvernement et ennemie intime de Maud Bregeon, « on ne mettra jamais de signe égal entre immigration et insécurité, cela reviendrait à faire une généralité : c’est dangereux et c’est le propre des extrêmes ».

Voilà les moutons rentrés au bercail ! « Il faut être aveugle pour assurer le contraire », disait Maud Bregeon, mais « il n’est de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ».

 

Maud Bregeon aura le mérite d’avoir vu clair, un instant : elle a, depuis, disparu de la circulation. 

« Elle a commis une énorme erreur, exécute un député cadre de l’aile gauche macroniste joint par BV.

 On ne parle pas pour son propre compte quand on est porte-parole du groupe.

Elle dispose d’une marge d’appréciation personnelle mais doit faire preuve de modération sur un sujet, la question migratoire, qui clive notre groupe.

 » Darmanin n’a-t-il pourtant pas déjà fait le lien entre immigration et délinquance ? « Il avait pris soin de faire passer le scalpel loin de ce lien », explique notre député.

 

L’opinion publique fait ce lien

En donnant le fond de sa pensée, Maud Bregeon a piétiné le fragile cordon migratoire et ouvert la boîte de Pandore de la division entre macronistes de droite (les plus nombreux) et de gauche.

Entre réalistes et dogmatiques.

Elle a bousculé au passage la très obéissante Valérie Hayer qui tente de tenir ce dogme contre vents et marées sous le feu de ses adversaires.

Les propos de Bregeon ? Un éléphant de vérité dans le magasin de porcelaine des mensonges macronistes.

« La difficulté est ancienne pour la Macronie, explique le politologue Arnaud Benedetti. Les sensibilités de centre gauche et de centre droit chez Renaissance se retrouvent sur l’économie mais les clivages réapparaissent sur les sujets régaliens.

En l’occurrence, le piège se referme car l’opinion publique fait ce lien. 

» Combien de temps tiendront-ils ?

Depuis 2017, Macron ne varie pas : l’immigration est une chance, point final.

 

« La vérité, c’est pas mangeable », disait le grand Céline.

C’est si simple de vivre dans le monde de Barbie, là où tous les immigrés sont gentils, se confondent en amabilités vis-à-vis de la population d’origine et en louange à l’endroit du gouvernement attaché au bien de tous.

Le propos est tellement irénique que certains députés macronistes plus lucides que les autres perçoivent le danger.

Robin Reda, député Renaissance de l’Essone, ex-LR, peste sur la fameuse boucle Telegram : « Nier ce lien est un facteur massif de perte de voix.

Maud a eu l’immense précaution d’ajouter l’euphémisme « parfois », ce qui est déjà en décalage avec la statistique.

» Ces députés ont compris que LR avait chuté sous la barre des 10 % d’intentions de vote parce qu’ils ont fait semblant de ne pas voir l’éléphant migratoire.

Et que le RN bat des records d’intentions de vote parce qu’il s’est confortablement assis sur le pachyderme.

Aux macronistes embusqués derrière les paravents du déni, on ne saurait trop recommander Péguy.

 « Taire la vérité, n’est-ce pas déjà mentir ?, écrivait-il dans les Cahiers de la Quinzaine.

 

 Qui ne gueule pas la vérité, quand il sait la vérité, se fait le complice des menteurs et des faussaires ! »

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier :
Boulevard Voltaire

LA GÈORGIE ET SES LOIS QUI DÉPLAISENT TANT À L' UNION EUROPÉENNE ......

La Géorgie instaure le jour de la sainteté familiale et du respect des parents

Le 17 mai sera institué comme jour de la sainteté familiale et du respect des parents, et sera déclaré jour férié, a fait savoir
le président du Parlement géorgien, Shalva Papuashvili.

A contre-courant de l’Union européenne

La Géorgie opère en ce moment une série réformes qui vont dans la direction opposée de celle voulue par l’Union Européenne.

Après avoir voté une loi contre les agents étrangers visant les ONG financées par l’Occident, la Géorgie annonce à la fois de nouvelles lois contre la propagande LGBT que nous détaillerons dans un autre article, et instaure officiellement le jour de la sainteté familiale.

 

S’adressant aux journalistes, le président du Parlement géorgien, Shalva Papuashvili, a déclaré :

“Le 17 mai sera institué comme jour du caractère sacré de la famille et du respect des parents, comme il est célébré depuis 10 ans, et il sera déclaré jour férié.

Ces changements seront mis en œuvre aujourd’hui et seront publics pour tous.

En ce qui concerne les procédures, au cours de la session de printemps en cours, nous examinerons et accepterons ce projet de loi en première lecture, et à la session d’automne, ce paquet sera accepté en deuxième et troisième lectures. (…)

Comme nous avons constaté le soutien total des citoyens au cours du processus de révision publique, le rassemblement à grande échelle organisé le 17 mai était en fait un référendum public en faveur de cette loi.

C’est pourquoi le Parlement a l’obligation de répondre à la volonté de la majorité de la population géorgienne.”

En effet, depuis dix ans, la majeure partie de la population géorgienne commémore déjà cette journée.

Cette année, des dizaines de milliers de personnes ont défilé le 17 mai pour cette célébration organisée par l’Eglise orthodoxe géorgienne avec la bénédiction du catholicos-patriarche Elie II.

 

ET AUSSI

La Géorgie présente ses nouvelles lois contre la propagande LGBT

Comme nous l’écrivions dans d’autres articles de ce jour, la Géorgie semble avoir résolument décidé de tourner le dos à l’Union Européenne et de rester fidèle à ses valeurs ancestrales.

Après avoir voté la loi contre les agents étrangers qui déplaît tant à l’UE et à Washington, la Géorgie a instauré la journée de la sainteté familiale et du respect des parents

. Et, dans la foulée, le président du Parlement de Géorgie a annoncé une série de nouvelles dispositions législatives pour contrer la propagande LGBT et défendre la définition traditionnelle de la famille.

Ce mardi, la majorité parlementaire géorgienne a présenté un ensemble de nouvelles lois « sur les valeurs familiales et la protection des mineurs », composé d’une loi fondamentale et de 18 projets de loi connexes, qui modifient diverses lois : le Code civil, le Code du travail, la législation sur l’éducation, etc.

 

Selon le président du Parlement de Géorgie Shalva Papuashvili, ce paquet législatif réglementera huit questions liées au mariage, à l’adoption, aux procédures de changement de sexe, à la propagande LGBT et aux rassemblements des activistes LGBT.

“Je vais vous résumer les aspects de ce qui sera réglementé par ces lois. Il s’agit d’un ensemble composé de 19 lois, dont une est la loi principale accompagnée de 18 lois secondaires.

La première concerne la question du mariage. Comme vous le savez, en 2017, la Constitution a réglementé la question du mariage en tant qu’union entre un homme et une femme dans le but de fonder une famille, même si nous entendons diverses conversations concernant l’introduction de formes alternatives de mariage en Géorgie. avec des tentatives d’enregistrer une union matrimoniale alternative qui contredit la condition du mariage établie par la législation géorgienne, à savoir l’union entre un homme et une femme.

Le deuxième problème concerne les questions d’adoption, et ici aussi, l’adoption d’un mineur ne sera pas autorisée par des personnes qui s’identifient comme un genre différent du leur ou qui ne sont pas des personnes hétérosexuelles.

Cela concerne également les personnes seules qui souhaitent adopter un enfant.

Le troisième problème concerne la chirurgie d’affirmation de genre, en particulier. Il sera interdit à une personne de pratiquer une opération chirurgicale ou d’utiliser tout autre type de manipulation médicale dans le but de changer de sexe.

Quatrièmement, la question de l’indication du sexe dans les documents délivrés par l’État : il sera interdit d’indiquer le sexe d’une personne différent du sien sur une pièce d’identité ou un autre document délivré par l’État.

Le cinquième point est l’interdiction de la propagande dans le secteur de l’éducation : il ne sera pas permis de diffuser de la propagande LGBT dans un établissement d’enseignement, en particulier pour promouvoir la diffusion d’informations visant à promouvoir l’appartenance d’une personne à un genre différent du sien, les relations homosexuelles ou l’inceste.

En outre, le sixième problème concerne la diffusion d’informations, parmi lesquelles il concerne les radiodiffuseurs. Il ne sera pas permis à un radiodiffuseur de diffuser des informations visant à promouvoir l’appartenance d’une personne à un genre différent du sien, les relations entre personne du même sexe ou inceste.

Il n’est pas permis de diffuser une scène illustrant une relation intime entre représentants du même sexe ou une scène d’inceste. De plus, la publicité du même contenu sera interdite, ce qui dans le cas du diffuseur signifie que ces scènes ne pourront pas être diffusées.

Le septième problème concerne les rassemblements et les manifestations : les rassemblements publics ou les manifestations visant à promouvoir l’identité de genre d’une personne, les relations homosexuelles ou l’inceste ne seront pas autorisés.

Et le dernier et huitième thème concerne les relations de travail, tant dans les institutions privées que publiques. Une obligation imposée dans le cadre des relations de travail, qui vise à négliger le sexe biologique, sera nulle.

Ce sont les huit questions qui seront réglées à travers les 19 lois, et en plus, dans la loi fondamentale elle-même, ainsi que dans le Code du travail. Le 17 mai sera institué comme journée du caractère sacré de la famille et du respect des parents, et sera déclaré jour férié.

Quant aux procédures, nous examinerons ce projet de loi au cours de la session de printemps en cours et l’adopterons en première lecture, et ce paquet sera adopté en deuxième et troisième lectures lors de la session d’automne.”, a déclaré Papuashvili.

La Géorgie présente ses nouvelles lois contre la propagande LGBT

Certains commissaires européens doivent s’étrangler en lisant la déclaration du Président du Parlement géorgien.

 

Par Pierre-Alain Depauw

Source et Publication :   https://www.medias-presse.info/

 

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EUROPE: LE PPE COMMENCE À COMPRENDRE LE DANGER DE L' IMMIGRATION DE MASSE !

« Le PPE commence tout juste à comprendre les dangers de l’immigration de masse » :

Entretien avec Geoffrey van Orden

Geoffrey Van Orden est un ancien brigadier-général de l’armée britannique qui a ensuite passé 20 ans en tant que membre du Parlement européen.

Il a été le dernier chef de file des conservateurs britanniques au Parlement et a joué un rôle déterminant dans la création du groupe politique des Conservateurs et Réformistes européens.

Il a également été porte-parole pour la défense et les affaires étrangères. `

Il est actuellement vice-président de New Direction – la Fondation pour la réforme européenne, et membre éminent du Gold Institute for International Strategy, basé à Washington.

Notre confrère Alvaro Peñas l’a interviewé pour The European Conservative (traduction breizh-info.com)

 

Contrairement à d’autres pays, le Royaume-Uni s’est engagé dès le départ dans la défense de l’Ukraine et n’a pas faibli dans son soutien.

Quelles sont les raisons de la position britannique ?

Geoffrey van Orden : L’Ukraine est le bastion extérieur des défenses britanniques.

Jusqu’à l’ère de la puissance aérienne, le Royaume-Uni pouvait compter sur la Royal Navy pour garantir sa sécurité.

Il est clair qu’à l’ère des missiles, ce n’est plus le cas.

L’un des thèmes constants de la politique étrangère britannique était d’empêcher la domination du continent européen par une puissance unique et écrasante susceptible de représenter une menace.

Pour ce faire, un système d’alliances a été mis en place afin de rétablir l’équilibre.

Après les défaites de la France en 1815 et de l’Allemagne en 1945, c’est l’Union soviétique et le communisme qui représentaient une menace.

La puissance et la solidarité de l’OTAN, l’alliance transatlantique qui unit les démocraties d’Europe et d’Amérique du Nord, les en dissuadent.

Après l’effondrement du communisme, l’Occident a baissé la garde en quête des dividendes de la paix, mais heureusement, l’OTAN est restée intacte et s’est agrandie.

Elle a été lente à reconnaître l’émergence d’un nouveau dictateur revanchard en Russie.

La prise de la Crimée en 2014 a été un choc.

Bien que les leçons de l’histoire soient souvent ignorées, nous sommes très conscients de l’échec de l’apaisement face à l’agression.

Lorsque la Russie a lancé son invasion totale de l’Ukraine en 2022, nous étions déterminés à apporter à l’Ukraine tout le soutien possible, sans aller jusqu’à la guerre, et à montrer que l’agression ne paie pas.

Nous espérions que notre leadership en encouragerait d’autres.

Il est dans l’intérêt du Royaume-Uni et de l’Occident que l’Ukraine ne soit pas vaincue.

 

Comment est-il possible que tant d’hommes politiques européens soient incapables de comprendre qu’une nation qui envahit un pays européen et menace d’utiliser des armes nucléaires contre l’Europe est un ennemi ?

Geoffrey van Orden : L’Occident s’est ramolli.

Nous avons des générations de personnes qui n’ont connu que la paix et la prospérité et qui ne veulent rien faire pour bouleverser cette situation, s’imaginant que le reste du monde est du même avis.

Dans le même temps, de nombreuses têtes ont été remplies d’opinions négatives sur nos démocraties, notre histoire, nos traditions et nos institutions.

Dans de nombreux pays d’Europe continentale, il existe encore des partis marxistes et des hommes politiques qui éprouvent une sympathie innée pour Moscou et ses ambitions.

Historiquement, les relations entre des pays comme l’Allemagne, la France et d’autres avec la Russie ont été ambivalentes pour des raisons stratégiques, politiques et économiques.

 

Vous dites que notre talon d’Achille vient de la démoralisation des nations, un phénomène encouragé par la Russie et ses alliés et alimenté de l’intérieur par la gauche radicale.

Comment faire face à cette démoralisation ?

Geoffrey van Orden : Nous devons être plus forts et plus actifs pour encourager la fierté de nos pays et combattre la subversion.

Cela doit commencer dans nos écoles et nos universités.

En outre, les jeunes doivent être mieux formés à la gestion des médias sociaux et à l’application du bon sens – il y a de bonnes raisons d’interdire les smartphones dans les écoles.

Dans de nombreux pays occidentaux, la population musulmane augmente et est vulnérable à la radicalisation, notamment par le biais de madrassas et de prédicateurs extrémistes.

Nous devrions imposer des contrôles, à l’instar de nombreux pays musulmans.

Dans le même temps, nous devons porter le combat chez l’ennemi et redoubler d’efforts pour promouvoir nos valeurs et veiller à ce que les personnes vivant sous des régimes autocratiques entendent la vérité.

 

La RAF n’a pas rempli son quota de pilotes de chasse en raison des règles relatives à la diversité et aux minorités.

Cette situation a entraîné plusieurs démissions, mais présente un grave danger pour la sécurité nationale.

Les forces armées ne devraient-elles pas être tenues à l’écart de toutes ces fantaisies politiques ?

 

Geoffrey van Orden : Oui. Si les forces armées recrutent au sein de la société dans son ensemble, elles ne devraient pas être un simple reflet de cette société, mais plutôt promouvoir ses valeurs essentielles que sont la loyauté, le devoir, le respect, le service désintéressé, l’honneur, l’intégrité et le courage personnel.

 

Où se situe le plus grand défi pour l’Occident : à l’étranger ou dans les politiques intérieures d’ouverture des frontières et de pactes verts ?

Geoffrey van Orden : L’Occident est confronté à de multiples défis, tant internes qu’externes.

L’immigration massive et incontrôlée de personnes issues de cultures et d’habitudes totalement différentes est une pure folie.

Alors que les personnes réellement persécutées se voient à juste titre offrir un sanctuaire, et qu’un petit nombre d’autres personnes possédant des compétences ou des ressources particulières peuvent être intégrées dans nos sociétés, nous sommes manifestement incapables d’intégrer correctement un très grand nombre d’étrangers.

Il en résulte des changements indésirables dans nos propres systèmes et une perte de cohésion nationale à un moment où celle-ci est plus nécessaire que jamais.

Les vulnérabilités et les fractures de notre société sont exploitées par des ennemis extérieurs.

Alors que nous avions imaginé que les conflits entre États européens appartenaient au passé, après l’effondrement de l’Union soviétique, l’invasion de l’Ukraine a provoqué un choc salutaire.

L’Occident doit se réarmer et démontrer la solidarité et la résilience de ses alliances, en particulier de l’OTAN. L’implication de l’UE, à travers son ambition de défense autonome, est une distraction dangereuse.

Dans votre discours de Bucarest, vous avez parlé de l’importance de renforcer l’OTAN. Outre une augmentation des dépenses militaires, que faut-il faire de plus pour parvenir à une alliance forte ?

 

L’OTAN est une alliance à la fois militaire et politique.

Chaque allié de l’OTAN doit renforcer la force et la capacité de ses forces armées, ainsi que sa volonté politique de les engager.

Il convient également d’accorder une plus grande attention à notre capacité à soutenir nos forces au combat.

Cela signifie une amélioration considérable de la capacité industrielle de défense, une plus grande attention aux réserves de main-d’œuvre et un effort accru pour éduquer nos populations sur l’importance de nos forces armées et sur les raisons pour lesquelles nous devons leur consacrer davantage de ressources.

L’opinion publique est à la fois la force et la faiblesse de nos démocraties lorsqu’elles sont sous pression.

 

Vous avez joué un rôle très important dans la création du groupe ECR.

Le groupe ECR pourrait-il, comme cela s’est produit en Italie, ramener le PPE vers le centre-droit ?

Geoffrey van Orden : Oui, j’ai joué un rôle important dans la création du groupe ECR et du groupe de réflexion qui lui est associé, New Direction.

Notre Déclaration de Prague, rédigée en 2009, énonce les dix principes de base sur lesquels le groupe ECR a été fondé, notamment l’intégrité souveraine de l’État-nation, la valeur primordiale de la relation transatlantique en matière de sécurité dans le cadre d’une OTAN revitalisée, et une immigration effectivement contrôlée.

Ces principes ont résisté à l’épreuve du temps et le parti ECR est désormais bien établi comme le visage raisonnable et décent du centre-droit.

Je pense que les partis de centre-droit augmenteront leur représentation au Parlement européen lors des élections de juin et que cela permettra à l’ECR de se développer, avec l’espoir de redevenir le troisième plus grand groupe au Parlement.

Le PPE a un point de vue contraire sur les questions fondamentales : il se considère notamment comme le moteur de l’intégration européenne, souhaite voir les États-nations diminuer, et croit en une politique de défense et une autonomie stratégique de l’UE qui créeraient des tensions avec les États-Unis et détourneraient l’attention de l’OTAN.

Ses membres commencent tout juste à percevoir les dangers de l’immigration de masse et, sur cette base, pourraient bien chercher à établir des relations plus étroites avec l’ECR sur certaines questions.

 

Serait-il alors possible de revenir aux principes fondateurs de l’UE ?

Les conservateurs peuvent-ils sauver l’UE d’elle-même ?

Geoffrey van Orden : L’UE (1993) a connu plusieurs incarnations antérieures, notamment la CECA (1951) et la CEE (1957).

Il y a donc un mélange de principes fondateurs.

À l’origine (en tant que CECA), elle cherchait à éliminer les rivalités historiques en créant une communauté économique entre des peuples longtemps divisés par des conflits sanglants.

C’est le traité de Rome de la CEE qui a exprimé la détermination de créer une « union sans cesse plus étroite » entre les peuples d’Europe, de sorte que l’idée de l’intégration européenne et du dépérissement de l’État-nation était présente dès le départ.

Le concept de l’UE a été porté par un très petit groupe d’intellectuels politiques.

Cela se poursuit encore aujourd’hui.

Un marché commun d’États-nations indépendants n’a jamais été ce qu’ils avaient à l’esprit.

En réalité, la plupart des Européens veulent simplement une organisation européenne qui les aide à améliorer leur prospérité économique – tout le reste est superflu.

L’UE a maintenant créé sa propre dynamique et tant que les Allemands seront prêts à continuer à payer, elle continuera.

 

[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

 

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TV LIBERTÉ ET SES ABONNÉS SUR YOUTUBE ! UN SUCCÈS MÉRITÉ......

Tout ce que vous avez voulu savoir sur TVLibertés, avec Elise Blaise et Martial Bild

Avec 800 000 abonnées sur YouTube avant la fin de l’année, TVLibertés poursuit son combat.

En 2023, avec ses trois émissions quotidiennes ou davantage, TVL a consolidé son statut de 1ère chaîne alternative de France en abordant des sujets traités nulle part ailleurs, en accueillant des invités entendus nulle part ailleurs, en offrant des analyses interdites partout ailleurs ! Interrogés par Pierre Bergerault, Elise Blaise, directeur de la rédaction, et Martial Bild, directeur général, évoquent l’actualité de la chaine et les grands axes de son développement pour les semaines et moi à venir.

Comment TVL fait-elle face aux à la censure, aux embuches et tentatives d’invisibilisation de sa chaîne sur YouTube ?

Comment le JT de TVL est-il élaboré par les équipes de la chaîne ?

Comment TVL fait-elle le choix de ses invités ?

Les efforts, l’investissement, la liberté éditoriale de TVL ne peuvent aboutir durablement sans votre soutien individuel.

Que chacun se rappelle sans cesse que TVL ne vit que de ses donateurs.

C’est le seul choix possible pour refuser toute dépendance ou servitude envers des annonceurs, des partis, des oligarques, des banques ou des puissances étrangères.

Crédit photo : DR (photo d’illustration)
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C' EST D' ACTUALITÉ ! UN NOUVEL ÂGE D' OR DU NUCLÉAIRE ? ( H16 )

Un nouvel âge d’or du nucléaire ?

 
Publié le 4 juin 2024
 

Pendant que la France hésite entre fermer ses centrales nucléaires et les relancer dans un En Même Temps foutraque très macronien, des sociétés se lancent dans la production de petits réacteurs nucléaires modulaires (SMR pour small modular reactor), notamment aux États-Unis.

 

Au-delà des géants du secteur (comme Westinghouse, General Electric Hitachi Nuclear, General Atomics), on peut évoquer NuScaleTerraPower (financé par Bill Gates, au passage) ou encore Kairos Power

 

Cependant, le petit dernier (arrivé il y a quelques années seulement) qui nous intéresse est Aalo Atomics.

Cette startup s’est lancée dans le pari de produire, d’ici 2026, des SMR en… 60 jours, entre la commande et la fin de fabrication, pour un coût de 3 cents du kWh.

Pour cela, elle développe un microréacteur de 10 MW refroidi par du sodium liquide, utilisant l’hydrure d’uranium et de zirconium (UZrH) comme combustible.

Ce type de refroidissement et de combustible apporte les avantages suivants :

  • Économie, sûreté, compacité : ces réacteurs fonctionnent à la pression atmosphérique, ce qui réduit la complexité et le coût des systèmes de sécurité.
  • Plus le combustible est chaud, moins il est réactif, ce qui évite l’emballement. C’est cet aspect qui explique pourquoi il est même utilisé dans les réacteurs de recherche (sur les campus universitaires).

On pourra écouter une intéressante interview de son fondateur ici, et voir la présentation du concept .

 

Aalo Atomics promet donc, en industrialisant massivement son processus de fabrication, de fournir en un temps record une source d’énergie très dense, très sûre, très peu polluante.

Et ces dernières qualités ne sont pas une exagération.

Ainsi, selon le ministère américain de l’Énergie (DOE) – on pourra se référer à ce rapport page 390, la construction de réacteurs nucléaires est la source d’énergie la moins gourmande en matériaux, après le gaz naturel.

Une unique pastille de combustible de dioxyde d’uranium pèse environ 7 grammes (6,2 grammes d’uranium, 0,8 d’oxygène), mais génère environ 3,5 MWh d’énergie.

Cette énergie générée équivaut à 318 litres de pétrole, soit une tonne de charbon et environ 337 m³ de gaz naturel.

Sa densité énergétique élevée lui confère une grande efficacité.

Ainsi, pour 1000 MW électriques :

  • Un réacteur électronucléaire (rendement 33 %) consomme 27 tonnes d’uranium enrichi à 3,2 % par an.
  • Une centrale thermique (rendement 38 %) consomme 170 tonnes de fuel ou 260 tonnes de charbon par heure.
  • Un barrage hydroélectrique de 100 m de haut nécessite 1200 tonnes d’eau par seconde.

 

Ces pastilles sont assemblées en colonnes de 300 (appelées crayons), elles-mêmes groupées par 250.

Un tel assemblage permet de fournir de l’énergie à 10 000 foyers pendant trois ans jour et nuit sans arrêt, même quand il n’y a pas de soleil, et même quand il n’y a pas de vent (dommage pour Sandrine Rousseau et ses moulins à vent).

 

Question sûreté, si l’on considère le nombre de décès par térawattheure (TWh) (ici : OurWordInData), l’énergie nucléaire est bien meilleure que l’énergie éolienne et l’énergie hydraulique.

Le nucléaire fait 1000 fois moins de morts que le charbon, ~614 fois moins de morts que le pétrole, ~154 fois moins de morts que la biomasse, et 94 fois moins de morts que le gaz naturel.

En fait, par rapport à l’hydroélectricité, le nucléaire fait 43 fois moins de morts.

L’énergie solaire photovoltaïque lui est comparable.

 

Oh, oui, certes, mais ce serait aller un peu vite en besogne : quid des accidents ?

Sur les plus de 400 réacteurs nucléaires civils en production actuellement, les accidents sont peu nombreux : en 18 000 années × réacteurs d’expérience nucléaire dans le monde, on compte 16 accidents en tout, sur 65 ans d’exploitation, 13 sont très limités, et trois seulement sont majeurs, en 1979 (Three Miles Island), 1986 (Tchernobyl) et 2011 (Fukushima).

Ni l’accident de 1979 ni celui de 2011 ne firent de victimes.

Celui de Tchernobyl fit (selon le rapport de l’UNSCEAR, p64-65) déplore 43 morts directement attribuables à l’événement, et environ 4000 de façon indirecte, sachant que pour ces derniers, l’aspect multifactoriel des maladies est très important.

On pourra consulter les rapports suivants pour se faire une idée : ONU UNSCEAR , rapport UNSCEARCiteseerX

 

Les conclusions des nombreux rapports sont claires (même si elles ne sont pas médiatiquement entendues) : l’accident fut spectaculaire, mais le nombre de morts limité.

Même en prenant le chiffre de 4000 morts sur les 38 ans depuis la catastrophe, le nucléaire est très peu dangereux comparé au charbon qui provoque plus de morts chaque année dans son minage, et des centaines de fois plus en exploitation avec les particules fines

(cf https://tinyurl.com/5yns5auzhttps://tinyurl.com/45j2r2zvhttps://tinyurl.com/mwnj2kdj).

 

Et alors qu’Aalo arrive à sa phase commerciale, DeepFission commence tout juste le travail sur ses petits réacteurs à eau pressurisés… insérés dans des puits de plus de un km de profondeur.

La société a déposé son projet il y a deux mois, auprès de la Commission de régulation nucléaire américaine (la Nuclear Regulatory Commission, NRC) : DeepFission project.

Le procédé profite de la pression de 160 atm due à la colonne d’eau (plus d’un kilomètre de haut), mais n’a pas besoin des enceintes de pression des installations PWR actuelles.

 

Même dans le pire des cas (emballement du cœur), une telle installation permet d’éviter toute conséquence pour l’environnement en surface, et s’affranchit de supporter les aléas environnementaux (tsunamis, tornades, et même les tremblements de terre).

Et en pratique, un tel emballement est impossible : un accident de perte de réfrigérant ne peut pas se produire à la suite d’une fuite dans une conduite, car le réacteur n’est pas entouré d’air, mais immergé dans de l’eau à haute pression.

Quant au réacteur, relié par câbles pendant son fonctionnement, il peut être récupéré en fin de vie.

DeepFission espère pouvoir se lancer dans quatre ou cinq ans.

Ces éléments promettent un nouvel âge d’or nucléaire.

En tout cas, pour des raisons économiques autant qu’écologiques, on devrait le souhaiter : qu’on soit écolo ou non, le nucléaire est effectivement la solution la plus adaptée, et de loin.

Dans ce tableau, et compte tenu de son prestigieux passé, espérons que la France tire son épingle du jeu.

 
Source et Publication :  https://www.contrepoints.org/2024/06/04/475085-

04/06/2024

COMBIEN DE VICTIMES ALLONS NOUS ACCEPTER ?

 
  • Dans une France ou il y à un danger permanent surtout lors d’un bal,la défense est la seule arme.

     
     
  • Même certaines banlieues de l’ouest du 92 commencent à avoir des problèmes (Suresnes, Saint cloud etc.)

     
    • Malheureusement, nous allons accepter autant de victimes, que nous ne nous sentirons pas nous même en danger et encore, la réaction sera peut-être de se cacher en espérant que ce sera l’autre qui se fera « trucider ».

      La lâcheté (peur plus bêtise) est une attitude très répandue.

       
       
  • Il faut développer l’explication si on veut terrasser définitivement les ennemis des Français et, notamment, en ne prêtant pas le flanc à un accusation de racisme :

    1 Un nombre certain d’immigrants sont déjà des délinquants dans leur pays qu’ils fuient –

    2 La permissivité de la France à leur égard leur donne toutes les audaces –

    3 Le déracinement et le décalage culturel sont des obstacles à la très difficile assimilation : l »échec (notamment scolaire) nourrit le communautarisme puis la haine –

    4 Il survient alors inévitablement les TDI (Troubles Dissociatifs d »Identité) qui perturbent sévèrement le fonctionnement physiologique du cerveau.

    Contre ce qui précède (si la droite prenait la peine de réfléchir) la gauche ne pourra rien répondre et les patriotes français auront un argument imparable pour exiger que ce soient eux qui décident seuls désormais de la politique immlgratoire.

     
     
  • L’adjoint municipal aux finances, Pascal Bolo, en revanche, était monté dès 2022 au créneau pour défendre le projet du CRA. À l’époque, ce ténor local du PS défendait une implantation «dans l’ordre des choses», compte tenu «qu’une part significative de la délinquance en centre-ville est liée à des personnes étrangères».

     
     
  • Fréjeville (81) : lors d’une fête, des individus brandissent un drapeau algérien face à des habitants qui entonnent la Marseillaise ; les deux camps se font face

     
     
  • La semaine prochaines et les suivantes se suivront et se ressembleront tant que macron est au pouvoir .

    Et selon les résultats du 09 juin cela risque d’empirer . Attendons nous au pire.

     
     
  • Le western dont Macron ne veut pas, c’est pour bientôt puisque l’état ne fait rien si ce n’est que déplorer et faire des discours !

     
     
 
    • Le pas de vague du politique incorrect donne des résultats.

      Aujourd’hui on peut dire publiquement que l’insécurité est liée en grande partie à l’immigration illégale.

      Tout comme il y a moins d’ une décennie l’antisémitisme était et reste une ignominie aujourd’hui ça revient au grand galop par qui, pourquoi ?

      La réponse est dans la question.

      La France est terre d’asile pour les persécutés pas pour ceux qui y voient un eldorado où on te nourrit, on te loge et même on te donne de l’argent , et un avocat gratuit.

      Comme à Nuremberg il faudra bien qu’ un jour des comptes soient rendus pour ceux qui ont conduit notre nation au bord du précipice.

       
       

Va-t-il falloir à chaque bal de village un service de sécurité personnel avec fusils de chasse et couteaux à étriper les sangliers ?

Doit-on en arriver jusque-là dans une France orange mécanique où l’insécurité règne pour les Français gaulois victimes de racisme ?

 
 

Hélas, je pense qu’ils n’attendent que cela; pour justifier leur action déferlante et punitive.

Malgré encore un relatif nombre en leur défaveur, le rapport de force n’est pas pour nous.
Que pouvons-nous espérer face à de l’armement de guerre dont ils disposent en toute évidence et toute impunité ?


Les politiques leurs sont soumis, ils ont carte blanche.

J’espère et crains à la fois le score électoral du 9 juin.

Souvenez-vous de juillet 2023.

ÉLECTIONS EUROPÉENNES : QUI EST RAPHAËL GLUKSMANN PS-PLACE PUBLIQUE......

Raphaël Glucksmann, tête de liste PS-Place publique, progresse en ce moment dans les sondages en profitant de la faillite macroniste et des dérives de l’extrême gauche mélenchoniste et écologiste.

Pourtant, les desseins politiques de ce néo-bourgeois euro-atlantiste sont aux antipodes des intérêts de la France, estime notre contributeur.

 

Immigrationniste, adepte d’une Europe fédérale et supranationale, il est également ce va-t-en-guerre obnubilé par Vladimir Poutine…


En 2004, Raphaël Glucksmann plante un couteau dans le dos de la France en accréditant la thèse de « la responsabilité accablante de l’Etat français et en particulier de François Mitterrand » dans le génocide des Tutsi au Rwanda via un documentaire intitulé Tuez-les tous ! Présomptueux, le jeune homme se pousse du col et pense avoir révélé le « pire scandale de la Ve république ».

 Des diplomates, des journalistes et des experts de l’Afrique assermentés devant le TPIR (Tribunal pénal international pour le Rwanda) contestèrent, preuves à l’appui, les accusations aberrantes de Glucksmann.

Celles-ci sont en réalité issues de l’histoire officielle écrite par le nouveau régime rwandais et destinée à accabler la France en même temps qu’à camoufler les exactions meurtrières du très autoritaire Paul Kagame et de son parti le FPR (Front Patriotique Rwandais).

Raphaël Glucksmann et Bernard Kouchner (ministre des Affaires étrangères de 2007 à 2010) contribueront, chacun à sa manière, pour que les conclusions de l’instruction judiciaire menée par le juge Bruguière et celles du TPIR – à savoir l’éventuelle implication de Kagame dans l’attentat qui coûta la vie au président Habyarimana et déclencha le massacre des Tutsi – finissent dans les oubliettes de l’histoire (1).

On se souviendra également que les États-Unis et la Grande-Bretagne, en plus d’avoir voulu empêcher l’opération humanitaire proposée par la France à l’ONU immédiatement après le début du génocide, interdirent finalement au TPIR d’enquêter sur cet attentat.

Pour ces deux pays dont l’objectif est, depuis toujours, de chasser la France de la région des Grands Lacs en général et du Rwanda en particulier – avec d’excellents résultats d’ailleurs : dans ce pays traditionnellement francophone, Kagame, une fois au pouvoir, fera adopter l’anglais comme langue officielle,

Tony Blair sera son conseiller spécial en 2008 et le Rwanda entrera dans le Commonwealth en 2009 tandis qu’en 2018,

Emmanuel Macron, toujours là quand il s’agit de rabaisser la France, manigancera pour faire élire à la tête de l’Organisation Internationale de la Francophonie la très anglophone ex-ministre des Affaires étrangères rwandaise Louise Mushikiwabo (réélue en 2022) (2) et (3) – pour ces deux pays, donc, la réécriture de la catastrophe rwandaise en faveur de Paul Kagame s’imposait.

 

Elle profitera en France d’une étonnante publicité grâce à des personnalités comme Glucksmann (père et fils), Kouchner et Rocard (qui ne connaissait rien au dossier mais crut trouver là un excellent moyen de salir Mitterrand), et des médias serviles s’interdisant de porter objectivement à la connaissance du public les jugements, articles ou livres français ou anglo-saxons remettant en question la thèse officielle du génocide rwandais élaborée par le nouveau régime.

Les mêmes peinent aujourd’hui à informer sur ce qu’est devenu le Rwanda sous la présidence despotique de Paul Kagame : réélu en 2017 avec… 98,8 % des voix, ce dernier est parvenu à faire modifier la constitution rwandaise afin de pouvoir gouverner jusqu’en…2034

Presse surveillée, opposition muselée, contradicteurs « intimidés » : Kagame est d’ores et déjà assuré de remporter les élections présidentielles qui auront lieu en juillet de cette année. Gluksmann ne pipe mot.

 

Activités politiques en Georgie et en Ukraine avant la guerre

En 2006, Raphaël Glucksmann rejoint Alternative libérale, parti favorable au libéralisme politique et économique, voire au libertarianisme – pas vraiment ce qu’on peut appeler un parti de gauche.

Oui mais non, j’étais là par hasard, dira-t-il quelques années plus tard.

On le sait proche, à l’époque, de Nicolas Sarkozy avec qui il s’entretient régulièrement, en particulier à propos de l’Europe de l’Est – plus tard, il dira regretter l’engagement de… son père, soutien de Sarkozy en 2007.

Il contribue jusqu’en 2008 à la revue Le Meilleur des Mondes, revue publiée par le Cercle de l’Oratoire, think tank néoconservateur ayant soutenu la politique belliqueuse de G. W. Bush.

Il propose ensuite ses services au président géorgien pro-occidental Mikheil Saakachvili dont il sera le conseiller jusqu’en 2012.

En 2013, celui qui prétend être un « consultant en révolution » (Le Monde, 21 mars 2014) rejoint Kiev pour soutenir et conseiller Vitali Klitschko, un des chefs de file du mouvement Euromaïdan.

« J’essaie de dire aux oligarques ukrainiens que s’ils veulent prouver qu’ils sont devenus pro-européens ils doivent aider les autres à faire leur révolution », déclare Glucksmann au Monde.

Retour en France. En 2017, après avoir soutenu Benoît Hamon, il appelle à voter Emmanuel Macron au second tour des élections présidentielles pour « faire barrage à l’extrême droite ».

 

En 2018, il fonde le parti Place publique avec Claire Nouvian et Thomas Porcher – qui quitteront quelques mois plus tard ce mouvement qu’ils disent être noyauté par des apparatchiks socialistes et un nombril géant du nom de Glucksmann – et se voit déjà comme le grand unificateur de la gauche.

Il est élu député européen en 2019 sur la liste commune PS-Place publique-PRG mais vote Macron aux deux tours en 2022.

Désigné tête de liste de PS-Place Publique pour les prochaines élections européennes, Raphaël Glucksmann joue sur du velours : des électeurs macronistes tendance socialo-boboïste repentis, une partie des électeurs insoumis constatant (enfin) l’inquiétante et dangereuse dérive islamo-gauchiste et antisémite de LFI et certains électeurs écolos refroidis par la radicalisation punitive des Verts voient en lui une planche de salut, un moyen de renouer avec un « centre-gauche républicain » propre sur lui, social-démocrate et écolo juste ce qu’il faut.

Peut-être est-il temps de creuser un peu le sujet et de montrer à tous ces gens, si ce portrait succinct ne suffit pas, qui est vraiment Raphaël Glucksmann. 

A lire aussi, Paul Rafin: Glucksmann, le candidat des gnangnans de la mondialisation?

 

M. Glucksmann reste extrêmement discret sur ses années passées en Géorgie et en Ukraine, deux pays sur lesquels les États-Unis lorgnent depuis l’effondrement soviétique dans le but de les voir un jour adhérer à l’OTAN et d’élargir ainsi leur influence au plus près de la Russie – malgré la promesse faite à cette dernière de ne rien en faire.

En Géorgie, Glucksmann devient le conseiller du président pro-otanien Mikheil Saakachvili en 2008.

Il rencontre à cette occasion celle qui va devenir son épouse.

Après avoir étudié le droit pendant un an aux États-Unis, Ekaterina Zgouladze est surtout connue en Géorgie pour sa vie festive et ses extravagances nocturnes –

« Tout le monde la connaît, elle fréquente le tout-Tbilissi branché, les DJ et les designers », s’extasie le Nouvel Obs.

En 2005, titulaire de diplômes de journalisme et de droit que d’aucuns qualifient de « modestes », elle est nommée vice-ministre de l’Intérieur par Mikheil Saakachvili, poste qu’elle occupera jusqu’en octobre 2012, un mois après qu’auront été révélées les tortures pratiquées dans les prisons géorgiennes.

Le couple Glucksmann-Zgouladze quitte alors précipitamment la Géorgie pour rejoindre l’Ukraine où il participe activement à la révolution de Maïdan qui conduira à l’avénement d’un nouveau gouvernement constitué en partie sous la férule de la sous-secrétaire d’État américaine Victoria Nuland.

En 2014, après avoir été naturalisée citoyenne ukrainienne par le président Porochenko, Ekaterina Zgouladze est nommée… vice-ministre de l’Intérieur du nouveau gouvernement ukrainien.

Au même moment, Washington, par l’intermédiaire de la toujours très efficace Victoria Nuland, exige et obtient la promotion de la directrice de la section économique de l’ambassade des États-Unis en Ukraine, Natalie Jaresko, au poste de ministre des Finances du… gouvernement ukrainien – Mme Jaresko, Américaine d’origine ukrainienne, obtient la nationalité ukrainienne… le jour même de sa nomination.

Quelques mois plus tard, l’ex-président de la Géorgie, Mikheil Saakachvili, réfugié aux États-Unis pour échapper aux poursuites judiciaires engagées contre lui par son pays, migre en Ukraine où le président Porochenko lui octroie vite fait bien fait la nationalité ukrainienne avant de le nommer gouverneur de l’oblast d’Odessa.

Curieux jeu de chaises musicales où d’ardents « nationalistes » changent de nationalité comme de chemise, au gré de leurs intérêts personnels ou des intérêts américains – qui souvent se rejoignent.

[Saakachvili est aujourd’hui en prison pour abus de pouvoir dans diverses affaires en Géorgie].

 

Il ne parle jamais des ingérences américaines

Hormis dans un article récent de Marc Endeweld paru dans Marianne (4), les médias français ne se sont guère attardés sur le parcours tortueux de Raphaël Glucksmann en Géorgie et en Ukraine – parcours qui montre assez bien que les intérêts de la France sont très éloignés des véritables préoccupations de Raphaël Glucksmann.

Durant des années, cet euro-atlantiste convaincu a manœuvré auprès des dirigeants de ces pays pour voir aboutir une politique strictement pro-américaine et anti-russe.

D’aucuns pensent que Raphaël Glucksmann, parce qu’il bombe le torse et se dit prêt à soutenir, quel qu’en soit le prix, l’Ukraine contre la Russie, est un « candidat de gauche anti-totalitaire ».

Premièrement, Glucksmann n’est pas de gauche – « Ça ne m’a jamais fait vibrer de manifester pour les retraites », avoue-t-il au Monde.

Deuxièmement, son anti-totalitarisme est du même bois que celui dont se sont chauffés ses prédécesseurs et mentors, BHL, Bernard Kouchner ou son père, André Glucksmann.

Comme eux, il n’épouse que les causes « anti-totalitaires » agréées par Washington.

Comme eux, il est enragé dès qu’il s’agit de la Russie.

Au Parlement européen, son obsession l’a poussé à créer et présider une « Commission spéciale sur l’ingérence étrangère et la désinformation » qui a semblé ne vouloir s’intéresser qu’à l’ingérence russe.

Pas un mot sur les ingérences venues de l’Ouest, par exemple le travail d’espionnage mené en Europe par les États-Unis, celui de la NSA (National Security Agency) qui épia, via le Danemark, les conversations téléphoniques des responsables politiques européens,

M. Macron et Mme Merkel en tête. Le Sénat américain vient de prolonger, avec la loi FISA (Foreign Intelligence Surveillance Act), les pouvoirs d’espionnage du FBI, de la CIA et de la NSA sur les citoyens américains mais également non-américains par le biais des communications privées (messageries, réseaux sociaux, téléphonie, etc.) dans tous les pays du monde (5) – mais cela ne semble pas beaucoup inquiéter M. Glucksmann.

Le rapport de ladite commission reste également relativement discret sur les ingérences des pays alliés du bloc occidental, l’Arabie Saoudite, la Turquie ou le Qatar. Concernant ce dernier, i

l y avait pourtant bien des choses à dire, que Glucksmann a à peine susurrées. Par exemple : en novembre 2022, la socialiste grecque Eva Kaïli, à l’époque vice-présidente du Parlement européen, tient un discours dithyrambique sur le Qatar, pays exemplaire devenu, selon elle, « un chef de file en matière de droit du travail ».

En décembre de la même année, dans le cadre d’une enquête pour corruption au profit du Qatar, la police belge arrête Eva Kaïli après avoir découvert des centaines de milliers d’euros en liquide répartis dans son appartement et dans celui de son père.

L’ex-eurodéputé socialiste italien Antonio Panzeri – fondateur de l’ONG Fight Impunity par laquelle transitait apparemment l’argent de la corruption – est également incriminé.

Le Qatargate n’en est qu’à ses débuts.

Pourtant, le Qatar n’est mentionné que trois fois dans le rapport issu de la commission sur les ingérences étrangères dirigée par Glucksmann – la Russie, elle, est mentionnée soixante-six fois !

Cherchez l’erreur.

A lire aussi, Marion Maréchal: « La solidarité n’est pas le suicide »

 

Raphaël Glucksmann est un européiste fédéraliste qui se fiche des intérêts de la France.

L’Europe, l’Europe, l’Europe, bêle-t-il en sautant sur sa chaise comme un cabri.

La France qui désire rester la France l’incommode.

De son propre aveu, il se sent bien plus à l’aise à New-York ou à Berlin qu’en Picardie.

Cet explorateur des métropoles mondialisées et uniformes n’a que peu de considération pour le bouseux picard enraciné. « Les nouvelles élites sociales ne se sentent chez elles qu’en transit, sur le chemin d’une conférence de haut niveau ou de l’ouverture d’un festival de cinéma.

Leur vision du monde est essentiellement celle d’un touriste », écrivait Christopher Lasch dans son dernier essai analytique et visionnaire,

La révolte des élites, paru il y a bientôt trente ans. Raison pour laquelle, ajoutait-il, le« multiculturalisme leur convient parfaitement ».

L’Europe dont rêve Raphaël Glucksmann est essentiellement celle de ces métropoles où les anywhere – néo-bourgeois de toute obédience, migrants ubérisés ou non, étudiants wokisés et touristes en masse – ont supplanté les classes populaires et moyennes chassées par la spéculation immobilière, le chômage et de nouvelles relations sociales techno-culturelles (et lugubrement festives, ajouterait Philippe Muray) qui ne les concernent pas.

Et puis, pourrait-on dire en paraphrasant Gilles-William Goldnadel, le Picard a la malchance de ne pas être l’Autre, cet Autre lointain pour lequel Glucksmann est tout amour, celui de la diversité, celui des causes humanitaires, celui de l’immigration, celui que la gauche aisée apprécie d’autant plus qu’il vient « comme il est », tout auréolé d’une culture que, cette fois, nul ne lui reproche, bien au contraire.

Ferment de la société multiculturaliste souhaitée par les nouvelles élites, cet Autre présente également l’avantage d’être corvéable à merci dans les métropoles gentrifiées, au service des classes aisées ou mondialisées.

Le Picard n’a aucun avenir. L’Autre interchangeable est le futur.

 

Cet intellectuel mondain et mondialiste habitué à l’entre-soi des salons médiatiques ne s’intéresse que modérément aux difficultés quotidiennes des Français.

Sait-il seulement ce qu’ils vivent réellement ? Il est permis d’en douter.

Les résultats amers de l’immigration massive – son coût, son impact sur nos mœurs, ses conséquences délétères, l’insécurité et l’islamisation galopante de la société entre autres – sont des sujets qu’il n’aborde que difficilement et toujours pour considérer que, si problème il y a, la seule réponse envisageable est eu-ro-pé-en-ne.

De toute façon, comme la majorité des élites bruxelloises, Glucksmann pense que l’immigration extra-européenne est inévitable, nécessaire, voire indispensable.

Sa priorité n’est pas de défendre la France mais de favoriser l’immigration massive tout en osant affirmer qu’elle n’existe pas – « l’Europe n’est pas le véhicule de la submersion migratoire. C’est un mythe. »et en maniant l’habituel discours culpabilisateur : « Tout le monde s’est habitué à ce que notre mer soit devenue un cimetière.

Il n’y a pas un mot dessus dans ce pacte (celui de l’UE sur l’immigration). Il faut relancer les opérations de sauvetage. 

» Frontex, devenu organisme d’accueil des migrants plutôt que de défense des frontières européennes, répond aujourd’hui à ses attentes.

Avec des députés européens comme Glucksmann, les flux migratoires ne sont pas prêts de se tarir.

Raphaël Glucksmann, qui se réclame de Delors, ce qui est en soi un motif d’inquiétude, est un être composite qui tient tout à la fois d’Emmanuel Macron et de BHL, avec un zeste de Bernard Kouchner pour ajouter à l’aspect humanitaire de théâtre et une pincée de Daniel Cohn-Bendit pour fortifier le côté révolutionnaire de salon.

 

Ce portrait hybride met en évidence la dangerosité d’un individu prêt à tout pour désintégrer la France en tant qu’État-nation.

Depuis le début de la guerre russo-ukrainienne, Glucksmann jette de l’huile sur le feu et semble espérer un embrasement total de l’Europe en vue de détruire la Russie – et gare à ceux qui osent rappeler que l’Ukraine n’est pas pour rien dans le déclenchement de ce conflit (6).

Ce belliciste est prêt à engager la France dans un conflit qui aurait pu cesser depuis longtemps : le quotidien allemand Die Welt vient de révéler la teneur exacte du projet d’accord de paix envisagé dès la fin mars 2022 – une rencontre entre Poutine et Zelensky étant même alors prévue afin d’en finaliser les points cruciaux – et de confirmer, via le témoignage du négociateur ukrainien David Arakhamia, la venue de Boris Johnson à Kiev le 9 avril 2022 pour faire capoter cet accord et demander à Zelensky de poursuivre le combat tout en l’assurant du soutien des Britanniques et, vraisemblablement, des Américains – on imagine mal Boris Johnson se lancer de son propre chef et seul dans cette délicate manœuvre (7).

Foncièrement dégoûté par le nationalisme français mais opportunément charmé par le nationalisme ukrainien, le va-t-en-guerre Glucksmann réclame à cor et à cri que l’économie française passe « totalement en économie de guerre » pour soutenir l’Ukraine et confiait récemment ne pas être fondamentalement opposé à la proposition d’Emmanuel Macron concernant l’intégration de la puissance nucléaire de la France dans une stratégie globale de défense européenne.

On ajoutera à ce tableau déjà sombre, la promesse de Glucksmann de tout faire pour que l’Ukraine intègre l’OTAN et l’UE, ce qui serait, pour la France, un désastre, tant au niveau géopolitique qu’au niveau économique.

 

L’électeur potentiel de la liste PS-Place publique conduite par Glucksmann ne devra pas oublier que les actions de ce dernier ne sont motivées que par deux obsessions : la première est de tenter d’affaiblir la Russie par tous les moyens possibles, y compris une guerre engageant militairement la France ; la seconde est de dissoudre la France dans une mosaïque de territoires européens dépendant d’un pouvoir central bruxellois lui-même aux ordres des nouvelles élites de l’empire davosien, diversitaire, immigrationniste et multiculturaliste en cours de construction.

 

Dans tous les cas, l’objectif glucksmannien est, d’une manière ou d’une autre, la disparition de la France. Autant le savoir avant d’aller voter.


(1) https://www.marianne.net/monde/exclusif-rwanda-le-documen... 

(2) https://www.marianne.net/monde/geopolitique/militante-de-... 

(3) https://www.marianne.net/monde/rwanda-noel-en-avance-pour... 

(4) https://www.marianne.net/politique/gauche/conseiller-de-s... 

(5) https://www.lefigaro.fr/international/etats-unis-le-senat... 

(6) La journaliste et reporter de terrain Anne-Laure Bonnel a réalisé deux documentaires sur le Donbass, l’un en 2014 et l’autre en 2022, quelques semaines avant le début de la guerre.

Ces documentaires n’ayant pas eu l’heur de plaire à M. Glucksmann, celui-ci a affirmé sur Sud Radio que la journaliste travaillait « au service des intérêts russes ».

« M. Glucksmann, vous m’avez mis une cible sur le dos », a déclaré, une semaine plus tard, Anne-Laure Bonnel au micro d’André Bercoff.

(7) https://www.lefigaro.fr/international/le-document-secret-... 

 

Source et Publication  :  Causeur;fr

 

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PARIS : CINQ CERCUEILS EN BALADE ! SILENCE SUR LES OCCUPANTS ???

Cinq cercueils en balade…pour des morts cachées?
 
Si c’est vrai, c’est une forfaiture qui devrait être sévèrement punie…
 
Même la raison d’état ne saurait couvrir ce qui serait alors une imposture avec risque apparent de pression sur les familles, pour qu’elles taisent leurs morts, s’il s’avérait que des soldats meurent déjà sur le front ukrainien.
 
Àinsi, les cercueils déposés au pied de la Tour Eiffel sont-ils l’occasion d’un déni officiel si l’on écoute les médias non moins officiels, alors que le 6 juin prochain, en toute hypocrisie et probablement énorme mensonge, le petit président devrait officialiser un secret de Polichinelle, qui confirmerait surtout le mépris de la vie que l’on a pour les individus en haut lieu, et celui porté aux Français en général.
 
C’est aussi l’occasion ou jamais d’évoquer la médiocrité, voire le déshonneur de ceux des officiers qui ont « ce » grade et le galvaudent lamentablement tous les jours sur les plateaux de TV, en donnant de fausses informations sur le conflit ukrainien depuis le début, lesquels avaient effectivement l’air plus qu’embarrassés hier, de dénier une réalité tellement effective que le patron avait visiblement décidé de l’annoncer après demain pour sortir du « merdier » qui déborde en puant très très fort.
 
Au moment où j’écris ces lignes, je reçois de mes sources toujours bien informées, en direct du front, ce qui suit: « Encore un français capturé vivant par les russes.
 
Pas un instructeur, un sous officier.
 
Il va passer au 20 h de la TV russe en parallèle de l’allocution de Macron. »
 
On vit vraiment une époque inouïe, gérée par des individus dévoyés qui n’ont honte de rien, et qui osent punir les gentils comme étant des méchants, pendant que les méchants sont d’autant plus protégées qu’ils forment un allié objectif pour mater l’opinion.
 
C’est tellement écœurant que je n’ai plus de mots, si ce n’est de rêver au « grand remplacement » de nos élites politiques qui ne valent décidément pas la corde pour les prendre!
 
 
ET AUSSI
 
 
La vérité n’a pas peur du mensonge, alors que le mensonge sera toujours rattrapé par la vérité, d’autant qu’en prenant l’escalier, elle a tout le temps de mûrir.
 
Ainsi en est-il de ce dont personne n’est dupe, à savoir que nos « mecs » meurent déjà depuis un temps certain en Ukraine, et c’est bien parce que nous y avons avons passé le bras que tout le corps devra suivre.
 
Le problème c’est que ceux qui ont décidé de ce choix imbécile au service par ailleurs d’une mauvaise cause, ne sont que des nervis d’un système corrompus qu’ils ont étendu à l’Ukraine en plaçant notamment un escroc qui n’a rien à envier à ceux qui plaisaient avant et plairont demain à Poutine, au nom fortement légitime de de ce que ce sont des parents et des frères, en tous cas nettement plus proches que les PDG de Vznguard, de Blackrock, Monsento et consorts pour lesquels ils ont été spoliés de leurs terres.
 
Les plaisanteries les plus courtes, restent bien les meilleures!
 
Alors Madame LCI, et toi BFMTV, ou encore vous autres les chaînes publiques toutes entières vendues au pouvoir, si vous pouviez arrêter de déconner à plein tube cathodique, ça nous ferait du repos !
 
GM
 
Source      https://www.facebook.com/
 
 
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LE 9 JUIN , LE VOTE UTILE C' EST LA LISTE DE MARION MARÉCHAL ! VOILÀ POURQUOI !

mardi, 04 juin 2024

 

Le 9 juin, le vote "utile", c’est le vote pour la liste de Marion Maréchal…

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Roland Hélie

directeur de Synthèse nationale

 

Nous l’avons dit et redit, nous l’avons écrit : nous ne nous faisons plus aucune illusion sur l’avenir, ni même sur la raison d’être, de l’Union européenne.

L’UE, telle qu’elle est aujourd’hui, n’est plus réformable.

Elle est devenue une structure technocratique et supranationale, un véritable marchepied vers la gouvernance mondiale…

Pour sauver la France, il faut donc en sortir et, autant que faire se peut, au plus vite.

Cela étant dit, cette nécessité ne se réalisera pas avant le 9 juin, date du prochain scrutin européen.  Alors, que faire ?

 

Lorsque nous sommes confrontés à un problème, le seul choix qui doit s’imposer, c’est celui qui sert l’intérêt national.

Certains, par pureté idéologique ou par refus des carcans bruxellois, pensent qu’il faut snober cette échéance en se réfugiant dans l’abstention ou le vote nul.

C’est oublier la maxime « qui ne dit mot, consent ».

Qu’on le veuille ou non, s’abstenir dans le système démocratique, c’est servir les intérêts de nos adversaires.

C’est-à-dire ceux des partis de l’anti-France qui vont de l’extrême gauche islamo-wokiste aux résidus de la pseudo droite, dite "républicaine", d’antan.

Le choix ne peut se faire qu’entre les différentes listes se réclamant du courant national. Et, à ce jour, elles sont pléthore…

 

Il y a bien sûr les listes de souverainistes, comme celle des Patriotes de Florian Philippot, celles de nationalistes, telle la liste  du courageux avocat toulousain Maître Pierre-Marie Bonneau, auxquelles il faut en ajouter quelques autres, comme celles de l’UPR de François Asselineau ou de l’Alliance rurale (Nicolas Dupont-Aignan s’étant, pour sa part, retiré récemment de la compétition).

 

Mais aucune d’entre elles, aussi sympathiques soient-elles, ne peut espérer passer la fameuse barre des 5% lui permettant d’avoir des élus.

Par conséquent, les deux seules listes qui peuvent jouer un rôle sont celles du Rassemblement national, menée par Jordan Bardella, et celle de Reconquête, conduite par Marion Maréchal.

Rappelons que pour la France, il y a 79 sièges à pourvoir et que leur répartition se fait en fonction des résultats des différentes listes qui passent la barre fatidique.

 

L’intérêt national, c’est qu’il y ait un maximum d’élus nationaux le 7 juin.

À quelques semaines du scrutin, si l’on s’en tient aux sondages, la liste du RN arrive largement en tête, avec près de 30% des intentions de vote, et celle de Reconquête oscille entre 5 et 7%.

Le total des deux listes tourne autour de 40%, ce qui équivaut, à peu près, au score de Marine Le Pen au second tour de la dernière présidentielle (2022).

Tenons-nous en à cette hypothèse…

Avec 30% des suffrages exprimés, la liste RN peut espérer avoir une trentaine d’élus.

Si la liste de Marion Maréchal fait plus que 5%, elle en aura quatre ou cinq (en dessous, elle n’en aura aucun).

J’entends parfois, ici et là, des amis qui ont soutenu Éric Zemmour lors de la présidentielle, éblouis peut-être par les sondages actuels, me faire part de leur intention de voter "utile" aux européennes en donnant leur voix à la liste RN.

Font-ils le choix de l’efficacité ?

Si la finalité est d’avoir un maximum d’élus nationaux au Parlement européen, permettez-moi d’en douter…

Je ne remets pas en cause leur sincérité mais, par manque d’information, ils ne connaissent pas tous les rouages de ce type de scrutin. Je les invite donc à réfléchir sur les cas de figure suivants :

 

• Dans la perspective la plus vraisemblable évoquée ci-dessus, si 1% des électeurs potentiels de Marion se reporte sur la liste RN, plaçant ainsi Reconquête en-dessous des cinq points, cela fera peut-être un élu en plus pour le RN mais cela fera surtout aucun élu pour Reconquête et donc, à l’arrivée, au mieux trente-et-un élus nationaux au lieu de trente-quatre ou trente-cinq…

Est-ce un bon calcul ?

• Second cas de figure : la liste de Marion Maréchal dépasse les 5%.

Cela ne fera pas un élu en moins pour le RN, mais cela fera quatre ou cinq élus de plus pour le courant national.

Ce qui, bien sûr, ne peut être que bénéfique pour la France !

 

Le parti Reconquête sera-t-il l’instrument permettant au RN et à la droite nationale dans son ensemble de sortir de son isolement ?

Vous le savez, à Synthèse nationale, notre préférence va plutôt à la liste conduite par Marion Maréchal.

Il en a été de même, il y a deux ans, lors de la présidentielle, avec Éric Zemmour.

Nous avons à maintes reprises exposés nos critiques à l’encontre de ce qu’est devenu le Rassemblement national, ces dernières années.

Néanmoins, nous considérons que ce parti, malgré ses dérives "dédiabolisatrices", sa quête de "respectabilité" et ses votes douteux à l’Assemblée nationale, fait partie de notre courant de pensée.

Nous n’allons donc pas nous plaindre de le voir progresser comme c’est le cas actuellement.

En revanche, le problème qui a toujours été celui, d’abord du Front national, puis du RN, c’est l’impossibilité, faute de partenaire(s) conséquent(s), de pouvoir contracter des alliances.

 

Or, en France, c’est un fait, il est impossible d’arriver seul au pouvoir (le PS s’est allié avec le PC, le RPR avec l’UDF, Macron avec le Modem...).

Bref, jusqu’à aujourd’hui, en dehors de quelques alliances ponctuelles avec des groupuscules éphémères, le FN/RN est demeuré cloîtré dans une solitude certaine.

 

L’émergence de Reconquête, qui clame sa volonté de voir se réaliser l’union des droites, est peut-être la chance historique de notre famille politique.

Mais encore faut-il que cette émergence se confirme et se consolide… Espérons aussi que, d'un côté comme de l'autre, au cours de cette campagne, on mette de côté les rancunes et les invectives inutiles...

Les prochaines élections européennes sont donc cruciales pour l’avenir de la droite nationale et, plus encore, pour l’avenir de la France.

 

Voilà pourquoi, le 9 juin, nous vous invitons à voter pour la liste Reconquête conduite par Marion Maréchal !

Editorial publié le 11 avril dernier.

Publié aussi dans la revue Synthèse nationale cliquez ici

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09:55 Publié dans Editoriaux, Européennes 2024

Source :  http://synthesenationale.hautetfort.com/

 

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