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02/06/2024

LE DÉNI MÉDIATIQUE DU TERRORISME ISLAMIQUE A LA CONQUÊTE DE L' EUROPE !

Le terrorisme islamique « allah » conquête de notre Civilisation


 

 

L’idéologie barbare du Hamas se répand désormais partout dans le monde depuis le 7 octobre.

On retrouve cette idéologie barbare derrière tous les attentats déjoués ou non par la DGSI.

D’autres, en préparation par les propagandistes de la terreur islamique, visent ou viseront toutes sortes de personnes ou d’individus seul(e)s ou présent(e)s dans un grand rassemblement par exemple, lors d’épreuves sportives des JO.

La terreur n’ayant son impact médiatique voulu que lorsque le nombre de victimes est maximal.

Dans ce cadre, le déni du réel de nos élus politiques et de certains nos médias se substitue alors aux marches blanches, bougies, nounours et autres dépôts de fleurs.

Depuis 2017, les services de renseignements ont déjoué 50 projets d’attentats.

Le dernier est celui d’un ressortissant tchétchène de 18 ans, arrêté de justesse avant de commettre un attentat islamique au stade de Saint-Étienne le 22 mai.

 

On peut tout craindre, nous dit Claude Moniquet, spécialiste franco-belge du Terrorisme et des Renseignements, car nous sommes en face de gens qui n’ont aucune limite.

J’ajouterai aucun respect pour la personne humaine dans leur démarche de conquête de la civilisation de mécréants, par la terreur et la culture de la mort.

 

Objectif : restaurer le Califat, islamiser le Monde par la force ou la mort

Après chaque attentat terroriste, quasi quotidien en France, on constate que le terroriste était sous OQTF, non exécutée pour mille raisons, mais souvent trop tard le mal ayant déjà été fait !

Le terroriste capturé ou rarement exécuté par les Forces de l’ordre aura réalisé ou mis en œuvre sa mission de mort, c’est-à-dire son Obligation Quotidienne de Tuer des Français.

Triste époque ensuite car celui qui a eu le malheur d’accuser ou d’amalgamer islam et islamisme pour cause de terrorisme se voit condamner « allah » 17e Chambre, à des mois de prison ferme, parfois avec sursis, mais aussi à de lourdes amendes.

 

Sur ce site, les condamnations pleuvent au point que nous évitons, tant que possible, « l’éjaculation précoce » sans réflexion.

Probablement par peur d’une guerre civile attisée par les LFI, ou encore par besoin de sûreté, nombre de nos compatriotes français se convertissent prématurément à la religion du plus fort, l’islam, et/ou rejoignent des associations propalestiniennes pour brandir des drapeaux palestiniens, en position de candides perroquets, dans les légions de manifestations anti-israéliennes.

Par ces gestes, ils adhérent, de fait, à un insoutenable patriotisme de substitution superficiel, sans fondement, sans réflexion.

En aboyant avec ces loups, nos compatriotes ne s’imaginent pas à quel point ils substituent implicitement leur drapeau bleu-blanc-rouge et leur hymne national à un autre ; ils adhèrent à un conflit qui n’est pas le leur ; ils contribuent à amplifier son importation sur notre sol alors que les tensions ne sont pas apaisées ; ils alimentent ainsi naïvement le cycle de la violence et du terrorisme qui se retournera fatalement contre eux.

S’ils appartiennent à la communauté LGBTQ++ et appellent au boycott d’Israël, leur comportement de soutien à l’islamisme est dans ce cas absolument incompréhensible car en Iran les homosexuels sont pendus ou lapidés à mort.

Pour ces raisons, dans les pays islamiques, beaucoup s’enfuient en Israël où il n’y a pas d’apartheid entre les sexes et les genres.

Ce qu’ils ignorent ou ne veulent pas voir, c’est que l’islamisme, dans sa quête de conquête de la/de notre/civilisation les instrumentalise en idiots utiles.

Ils seront les premiers « dévorés par le système » comme l’ont été les milliers de communistes qui ont favorisé l’arrivée au pouvoir de l’ayatollah Khomeiny en Iran.

Le sort des Bahaïs, la plus petite communauté musulmane en Iran n’est guère à envier.

Le pouvoir en place les persécute, les empêche d’étudier à l’Université.

À ces compatriotes candides, incultes, inconscients, islamo-gauchistes, nous devons dire que si la collaboration avec le terrorisme islamique leur semble une sinécure, aucun regret ne s’inscrira en effigie sur leur pierre tombale.

Pensez-y, utilisez votre cerveau, insurgez-vous, indignez-vous avec raison gardée !

Subir la propagande de groupes islamo-fascistes venus de l’extérieur à l’Université, et porter de fausses accusations contre l’un des pays les plus démocratiques, les plus libres de tout le Moyen-Orient.

Le seul pays qui donne refuge aux hommes et femmes homosexuels.

Le seul pays qui protège les Bahaïs.

Le seul pays qui a des Arabes israéliens élus à la Knesset.

Ce seul pays qui défend votre civilisation contre le terrorisme islamique du Hamas mérite-t-il toutes ces accusations fausses et manipulées par le totalitarisme nazifié du Hamas ?

Ce qu’ignorent ou ne veulent pas voir nos compatriotes c’est que quoi qu’ils fassent, c’est déjà trop tard.

 

Le terrorisme islamique du Hamas a pris de nouvelles apparences, tel un caméléon.

 

Il est partout

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On l’a vu le 7 octobre en Israël, puis manifestement à Science Po, dans les universités françaises, dans les campus américains, en Belgique, en Suède à « mal-meuh » à l’Eurovision, à Cannes, au Nigéria contre les chrétiens, en Allemagne vendue au Califat, à Lyon dans le métro, à Angers, Paris…

 

Si la haine du Blanc, du Juif est partout c’est que le terrorisme islamique s’est déjà répandu partout et que rien ne pourra l’arrêter !

Ce terrorisme cherche à entretenir et à enraciner dans vos esprits un antisémitisme séculaire.

À instiller en vous une haine irréversible envers Israël.

La cause palestinienne masque le discours déshumanisant d’une Rima Hassan, 7e sur la liste LFI aux européennes, qui vise à éradiquer Israël et ses 8 millions d’habitants en promulguant le slogan totalitaire et nazifié : « Palestine Free de la rivière à la mer ».

La déshumanisation précède la mort nous dit Hannah Arendt.

De grâce, ne vous laissez pas déconstruire par ce discours ambiant, antisémite, raciste, antisioniste, nauséabond !

Ils ont déjà déconstruit, par la théorie de l’envoûtement, la Nation, le drapeau, la famille…

Voulez-vous mourir en être déshumanisé, ou vivre en homme libre ?… Choisissez votre vie !

Les cellules dormantes ont été réactivées.

Elles sont des milliers de par le monde que personne ne veut voir.

En laissant qualifier l’État d’Israël d’État nazi, d’apartheid d’holocauste à Gaza, en fait les terroristes, à dessein, fabriquent un rideau de fumée destiné à capter votre attention puis à la verrouiller, à la cibler, à la focaliser vers cette accusation par ailleurs totalement injustifiée mais suffisante pour vous laisser manipuler, envahir par l’émotion et vous indigner.

Le seul but étant habilement de masquer ce qu’ils ne veulent pas que vous voyiez, ce qu’ils préparent dans votre dos, à votre insu.

Ensuite, il est sûrement déjà trop tard, car…

 

Le temps de la conquête islamique a commencé.

Regardez avant qu’elle soit bientôt chez vous, dans le porche de votre immeuble, dans vos escaliers, dans votre rue, dans votre supermarché, dans votre collège ou lycée, dans votre université, dans votre entreprise, dans vos stades, dans vos églises, dans les mosquées, dans l’hémicycle, dans la plupart des médias, dans les films, au cinéma, sur les routes, dans vos villes, dans votre département, dans votre région, dans tout l’hexagone.

Un grand bouleversement se prépare.

 

Nul ne peut plus le nier.

 

Par Patrick Granville.

 

ET AUSSI

 

La priorité de l’appareil d’État français : traquer les commentaires de Riposte Laïque

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Pendant que les Français continuent à se faire agresser, dépouiller, humilier, parfois assassiner, l’État français, sa justice et sa police, continuent à s’acharner… contre les Français et ceux qui résistent.

Le site, contestable pour ses appels à la violence, voire au meurtre, contre les collabos, Réseau Libre, nous informe qu’un substitut d’un procureur de la République somme le directeur de publication de lui donner les coordonnées de quelques auteurs de commentaires.

https://reseau-libre.org/site/2024/05/30/le-substitut-fra...

 

C’est exactement ce qui arrive à Riposte Laïque.

Il y a quelques jours, nous vous racontions que nous allions nous prendre une treizième plainte, pour un article ironique de Marcel Berrichon sur les zoophiles dans les campagnes.

https://ripostelaique.com/nouvelle-plainte-contre-riposte...

 

À peine notre fondateur avait-il fini de rédiger cet article, à peine nous racontait-il ses mésaventures avec les vaillants policiers municipaux de Vannes que nous avions une nouvelle preuve des priorités de l’appareil d’État de Macron et de ses complices.

https://ripostelaique.com/racket-a-vannes-comment-je-suis...

 

En effet, voilà ce que nous avons reçu il y a quelques heures.

Notre président, qui nous a fait parvenir ce document, est sommé de donner tous les renseignements qu’il a en sa possession, depuis Saint-Jean d’Acre, en Israël, contre une dizaine d’auteurs de commentaires, suite à un article que nous portons à votre connaissance.

https://ripostelaique.com/petition-insoumis-islamistes-la...

 

Ces vaillants gauchistes, qui se ressemblent tous physiquement, curieusement, après la mobilisation de Callac, appelaient à bloquer les mobilisations de ce qu’ils appellent l’extrême droite en Bretagne.

 

 

Nous notons donc que le député LFI Frédéric Mathieu, en bon collabo de l’appareil d’État, s’associe au harcèlement judiciaire contre les sites résistants, ce qui ne l’empêche pas de pleurnicher quand c’est son parti qui en est victime…

 

Source et Publications  :   https://ripostelaique.com

 

ÉLECTIONS EUROPÉENNES J-7 ! LA TRIBUNE DE SARAH KNAFO ......

Chère amie, Cher ami,

Je vous invite à lire l'entretien que j'ai accordé à The European Conservative.

 

Vous pouvez le lire directement sur leur site, en anglais, en cliquant ici.

Vous le trouverez également en français ci-dessous.

Vive vous et surtout vive la France !

Sarah Knafo

Vous venez de vous déclarer troisième sur la liste de Reconquête aux élections européennes.

Vous avez fondé ce parti et beaucoup ont dit que vous étiez la mastermind derrière la campagne présidentielle d’Éric Zemmour, pourquoi avez-vous décidé de sortir de l’ombre ?

Il y a trois ans, avec Eric Zemmour, nous avons créé un parti politique de droite qui est devenu en 6 mois le premier parti de France en termes de militants, et la quatrième force politique du pays.

C’est une très grande fierté !

Nous sommes plus mobilisés que jamais car nous avons encore du chemin pour mener nos convictions au pouvoir en France.

Depuis tout ce temps, j’organisais, je structurais, je réfléchissais, mais je restais en coulisses.

Il y a deux semaines, j’ai pris la décision de franchir le pas et de défendre nos idées en mon nom.

Je suis donc troisième sur la liste de Reconquête, aux côtés de Marion Maréchal et de nos 79 autres colistiers, et j’espère demain, si les Français nous font confiance, députée au Parlement européen.

 

Pourquoi les Français devraient voter pour votre liste Reconquête pour les futures élections européennes ?

Parce que nous sommes les seuls en France à proposer un véritable plan de libération des Européens.

Nous voulons libérer les Européens de l’immigration et de l’islamisation avec un blocus naval militaire, en dissuadant les départs, en empêchant les arrivées, en contraignant les retours.

Nous voulons libérer nos nations de l’emprise bruxelloise avec la suppression de la Commission européenne et avec la primauté du droit national sur le droit européen.

Nous voulons libérer l’économie européenne de la tyrannie réglementaire et mettre fin des gabegies budgétaires : ce n’est pas l’argent de von der Leyen qu’elle dépense : c’est notre argent.

Et enfin, nous voulons libérer les Européens de la propagande woke trop souvent soutenue et financée par l’Union européenne.

 

Vous êtes très engagée sur la lutte contre le wokisme, comment ça se matérialise ?

Oui, la classe politique en parle mais agit peu.

Or, ce n’est pas seulement une bataille entre la droite et la gauche, c’est une sape de l’intérieur.

Alors, j’ai créé une association qui s’appelle Parents Vigilants et qui propose aux parents d’élèves de nous faire remonter les scandales qu’ils constatent dans l’école de leurs enfants.

75 000 parents nous ont rejoint ! C’est colossal. 

C’est-à-dire que nous avons des représentants dans chaque académie scolaire française.

Nous mettons toute la force de frappe de Reconquête à leur service.

Médiatique, juridique, notre maillage territorial.

Chaque semaine, nous faisons arrêter des initiatives de propagande, comme cette enseignante qui enrôlait des lycéens pour qu’ils aillent offrir leurs vêtements à des migrants clandestins, comme les spectacles de Drag Queen qui se montent même devant des enfants de 4 ans, comme la présence d’ONG pro-migrants dans des classes de collège…

J’ai comme projet de développer Parents Vigilants encore plus intensément au lendemain des élections européennes.

 

Diriez-vous que vous êtes un parti bourgeois ?

Jadis vous avez travaillé pour Henri Guaino, l’ancien conseiller spécial du Président Nicolas Sarkozy, un politicien connu par son attachement aux classes laborieuses, un gaulliste de gauche peut-être même…

Je suis une fille du peuple, née dans les banlieues françaises, et Éric Zemmour aussi, lui qui est fils d’ambulancier.

Venus d’en bas, nous avons réussi grâce aux études, aux livres, à la culture, lui dans le journalisme, moi au service de l’État.

Si nous défendons une forme d’élitisme, nous voulons une élite au service du peuple.

Le problème de la classe politique française, c’est qu’elle considère que celui qui a le plus « la fibre sociale » est celui qui distribue le plus d’aides et de subventions.

Autrement dit : celui qui est le plus à gauche.

C’est un mensonge auquel nous refusons de participer. Nous disons que le pouvoir d’achat, ce n’est pas l’argent que l’État vous donne : c’est celui qu’il ne vous prend pas.

Donc nous avons le programme de baisse d’impôts, de taxes et de charges le plus important de toute la classe politique.

Nous voulons que l’État français cesse de spolier ses forces vives.

Chaque année, c’est 45% de taux de prélèvements obligatoires !

C’est-à-dire qu’à partir du 16 de chaque mois, les Français ne travaillent plus pour eux mais pour financer des dépenses publiques aberrantes.

Les Français ne veulent pas vivre d’argent public, ils veulent vivre des fruits de leur travail.

C’est leur droit le plus strict et avec Reconquête, nous voulons leur rendre ce droit.

 

On dit que les Français n’ont plus goût au travail…

Je déteste l’idée que les Français sont paresseux, veulent travailler le moins possible, préfèrent les petits arrangements bureaucratiques au travail bien fait.

Cette vision extraordinairement dévalorisante est celle de la gauche.

Nous avons une femme politique française, Sandrine Rousseau, qui va même jusqu’à défendre « un droit à la paresse ».

Ces gens-là ne cessent de nous pousser au parasitisme.

Ils rêvent de faire du peuple entier une masse démotivée de grévistes.

Le socialisme est une extraordinaire machine à handicaper les peuples, et la France est sa victime de prédilection.

Nous assumons de vouloir détruire cette machine.

 

Vous êtes d’une tradition « souverainiste », vous êtes proche de Philippe de Villiers, de Marie-France Garaud.

Avez-vous évolué sur ce point ?

Oui, je suis attachée à la souveraineté de la France et je veux que nous la défendions bec et ongles.

Mais je veux rappeler que la souveraineté est un moyen. Il doit être mise au service d’un objectif : aujourd’hui, la défense de nos nations et de nos identités.

En tant que Française, je peux avoir la tentation d’en vouloir aux Allemands, parce qu’ils sont souvent plus forts que nous pour défendre leurs intérêts nationaux au sein de l’Union européenne ou parce qu’ils ont contribué au déclin de notre filière nucléaire.

Mais je ne veux pas pour autant vivre dans un monde où Berlin devient une ville turque, où Cologne change de visage.

Nous sommes Européens, et même si nous ne sommes pas un même peuple, nous sommes une même civilisation.

Cette civilisation brillante qui a tant apporté au monde est menacée.

Alors je me sens Européenne et même une souverainiste comme moi affirme que nous avons un destin commun à défendre.

Je veux continuer de vivre dans un monde où Paris reste Paris, Bruxelles reste Bruxelles, Rome reste Rome, Budapest reste Budapest.

 

Il y a en face la liste du Rassemblement national de Jordan Bardella… La division du vote nationaliste a-t-il du sens ?

Un pays où un seul parti a le droit de se présenter aux élections, ça s’appelle une dictature.

La démocratie divise les voix par nature, parce qu’elle laisse le choix au peuple. Il faut savoir qu’en France, depuis 40 ans, nous avons une quinzaine de partis pro-immigration et un seul parti historiquement « contre » : le Rassemblement national.

Ce parti avait donc le monopole de la lutte contre l’immigration, mais il a également beaucoup de défauts qui empêchent de nombreux patriotes français de s’y retrouver.

Cela explique que ce parti ait perdu toutes les élections présidentielles depuis sa création en 1972.

Donc Eric Zemmour a créé en 2022 un parti qui répond enfin aux attentes de millions de Français : Reconquête.

Un parti qui lutte contre l’immigration et l’islamisation, mais qui a une approche bien plus sérieuse de l’économie, de l’Europe ; un parti moins démagogique, plus conservateur et sans doute plus courageux.

Quand j’entends Marine Le Pen affirmer que l’islam est compatible avec notre vieux pays, quand je l’entends défendre la taxation des profits alors que nous sommes déjà le pays le plus imposé du monde, quand je vois ses députés défendre la GPA, je me dis : heureusement qu’Eric Zemmour a créé Reconquête pour que les électeurs lucides aient leur maison.

 

Quels sont trois mots-clés de votre vision politique personnelle ?

Lucidité, vérité, simplicité.

La lucidité permet de voir le monde tel qu’il est, et non tel que les naïfs, les couards ou les hypocrites voudraient qu’il soit - parce que cela leur permettrait de baisser les bras.

La vérité permet de définir avec exactitude les problèmes les plus urgents de la France : avec sincérité et avec sang-froid, en misant sur l’intelligence des peuples, sans leur imposer de zigzags dictés par les sondages, ni de bavardages idéologiques.

Et la simplicité, parce que ma réflexion politique, mon expérience de l’État, ma passion pour les résultats, me démontrent que les meilleures solutions à la crise que nous traversons sont à notre portée, sous nos yeux, qu’elles sont simples, et qu’elles ne demandent qu’à être appliquées.

Regardez autour de vous.

De quoi manque le monde politique ?

De lucidité, de vérité et de simplicité.

Ce manque, nous allons le combler.

 

Source et Publication :    https://europeanconservative.com/

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ET AUSSI

Valérie Hayer : que ceux qui ne peuvent plus payer l’essence achètent une voiture électrique !

 

CHEZ LES DÉCONNECTÉS

La plus grosse boulette de Valérie Hayer : fins de mois difficiles, plus de sous pour mettre de l’essence, achetez une voiture électrique ! https://www.bvoltaire.fr/fabienne-a-des-soucis-de-fin-de-mois-le-conseil-pouvoir-dachat-surrealiste-de-valerie-hayer/

Grandiose : la CGT interroge les têtes de liste aux européennes sur leur programme. Les “fascistes” n’ont pas été invités, on reste entre soi.

Binet, qui refuse de répondre à CNews, prétend que la CGT défend toutes les opinions.  Ben voyons !

Bien sûr, que du convenu, rien sur l’immigration en période de chômage de masse, rien sur l’islam qui remet en cause la laïcité dans les entreprises, charge contre le patronat buveur de sang.

De toutes les façons et malheureusement, rien ne change et rien ne changera sauf si les sondages actuels sont faux.

Moins le citoyen vote plus la gauche restera au pouvoir.

C’est la triste réalité et le résultat d’une propagande idéologique constante.


En effet à aujourd’hui, la gauche reste largement majoritaire avec 55,5 % des intentions de vote.


Or, on sait très bien qu’en cas d’élections nationales, la gauche saura se rassembler au second tour et que la droite ou supposée droite plafonnera par incapacité à s’unir.

Donc, malgré les crises successives, la déroute économique, le wokisme omniprésent, l’insécurité totale, et le reste, l’électorat est stable et toujours sous anesthésie générale. Nos libertés fondent comme la neige au soleil et la France bientôt ne sera plus la France, mais « en même temps » elle subit tout cela avec indifférence, laxisme et soumission.

Le citoyen s’est habitué aux drames presque journaliers et les médias dissertent dans un vide sidéral pour ne plus appeler un chat un chat.

Le pire, c’est que cela touche maintenant toute la France jusque dans nos campagnes.

 

Macron a créé un clone et l’a mis Premier ministre et si ce dernier tient à ce poste, il sera son candidat idéal en 2027…
Pourtant :

L’ineptie est l’étendard de cette Macronie.

Par Mathilde Revenu


 Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Mathilde Revenu pour Observatoire du MENSONGE

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LES DESTRUCTIONS D' EMPLOIS DANS L' INDUSTRIE PHARMACEURIQUE ........

TRIBUNE LIBRE !
 
Thomas Joly
 
@ThomasJoly732
 
Après la déplorable gestion du dossier Atos et la perte du contrat du siècle avec l’Australie, un autre dossier vient noircir le bilan à venir du « Mozart » de l’économie Bruno Le Maire, et du jupitérien Macron…
 
Servier, fleuron de l'industrie pharmaceutique française, veut céder sa filiale Biogaran, qui produit près du tiers des médicaments manufacturés dans l’hexagone.
 
Parmi les candidats au rachat, deux groupes indiens sont particulièrement pressentis : Aurobindo Pharma et Torrent Pharma.
 
Rappelons qu’outre ses 250 salariés, Biogaran fait vivre indirectement près de 8.600 personnes via ses nombreux sous-traitants.
Laissant présager de nouvelles destructions d’emploi. Ambiance…
 
Mais outre la perte de souveaineté industrielle supplémentaire que ce rachat constituerait, outre les emplois détruits, l’étude de ce dossier nous fait découvrir, une fois n’est pas coutume, l’existence d’une énième taxe, la «clause de sauvegarde » ainsi que nous l’apprend l’Express en date du 28 mai : « Tous les ans, le gouvernement fixe dans le projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) une enveloppe de dépenses de médicaments remboursées par l’Assurance-maladie.
 
Si les ventes dépassent ce seuil, les laboratoires doivent reverser à la Sécu entre la moitié et les trois quarts de la différence.
 
Ainsi, sur les 4,4 milliards d’euros de chiffre d’affaires affichés par les fabricants français de génériques l’an passé, près de 300 millions seraient retournés à l’Assurance-maladie par ce biais, soit 12 fois plus qu’en 2019 ! […]
 
Pour Biogaran, cette clause de sauvegarde aurait représenté l’an passé près de 75 millions d’euros, d’après nos informations, soit un peu plus de 10 % du chiffre d’affaires du laboratoire estimé à 760 millions d’euros.
 
En clair, la majorité de la marge aurait été mangée par cette ponction.
 
Une situation que les candidats au rachat mettent dans l’équation pour justifier un prix plus bas. »
 
Une fois de plus, l’obésité étatico-fiscale aura précipité le déficit d’une entreprise pourtant prospère, et sa cession à un prix bradé à des investisseurs étrangers.
 
Au Parti de la France, nous en finirons avec cette gabegie néo-bolchevique qui saigne à blanc les Français actifs et créateurs de richesse au profit des parasites sociaux, en défiscalisant et en dérèglementant massivement.
 
Nous défendrons nos intérêts stratégiques et notre souveraineté industrielle quoi qu’il en coûte face à la prédation étrangère, avec pour priorité de préserver une production en France avec des Français.
 
Par Victor Jan de Lagillardaie –
Membre du Bureau politique du Parti de la France
 
 
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ET AUSSI

Repas militant à Lyon samedi 15 juin

16 Mai 2024 |

Samedi 15 juin, les militants locaux du Parti de la France organisent un repas militant à Lyon en présence de son Président, Thomas Joly qui, à cette occasion, officialisera la section Rhône-Alpes du PdF.

PAF : 37 €. Au menu : Apéritif/Assiette de charcuterie/Paleron de bœuf à la bière, pommes au four/Plateau de fromages/Tarte briochée aux pralines/Vin compris).

 

Réservation obligatoire :    pdfrhonealpes@outlook.fr

 
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AVEC LE VA-T-EN GUERRE MACRON ! LA FRANCE EN DANGER !

Le va-t-en guerre Macron met la France en danger !

31 Mai 2024, 18:29pm

Publié par Thomas Joly

Emmanuel Macron vient d’effectuer en Allemagne une visite d’État, avec tout le « tra-la-la » entourant ce genre de raout royal ou présidentiel.

Voyage ponctué, au final, par un conseil des ministres franco-allemand dans le cadre du traité de coopération signé en 1963 entre le président Charles De Gaulle et le chancelier Conrad Adenauer.

Rien d’extraordinaire à cette visite, si ce n’est les propos tenus par le chef de l’État français qui, au nom de sa seule personne, engage dangereusement la responsabilité de la France dans le conflit russo-ukrainien.

Demain, la France sera-t-elle, aussi, une cible pour la Russie ?

Toujours en pointe contre le pays de Poutine, le président de la République vient de déclarer qu’il trouvait normal que Kiev puisse utiliser, par exemple, les missiles SCALP livrés par la France pour toucher des cibles en Russie même, d’où partiraient les frappes meurtrières endeuillant l’Ukraine.

À noter que ce pays n’a pas attendu le feu vert de Paris pour, déjà, tirer en représailles,  sur des cibles du pays de Tolstoï et Dostoïevski, touchant aussi des objectifs civils, comme à Belgorod.

Mais nous, Français, ne sommes pas là pour compter les points et, hélas, recenser le nombre des victimes de cet absurde conflit.

Et en aucun cas nous ne devrions être les acteurs de l’aggravation de cette confrontation, ajoutant de « la guerre à la guerre ».

Notre rôle devrait être, au contraire, de rechercher les voies permettant une négociation du contentieux territorial.

De plus, le locataire de l’Elysée en rajoute une couche en souhaitant envoyer – si ce n’est déjà fait -, des conseillers ou instructeurs de notre pays sur le sol même de l’Ukraine, nous exposant dangereusement à des représailles  de la part de Moscou : cyberattaques, immixtion dans la crise néo-calédonienne, fracture de la nation, les occasions sont trop belles de monter les Français contre les Français !

« Crosse en l’air » ?

On le sait, les militaires – heureusement ! -, contrairement à d’autres fonctionnaires, n’ont pas le droit de grève. Mais ceux des leurs qui ne seraient pas idéologiquement en phase avec les décisions solitaires du Chef de l’État pourraient-ils se faire « porter pâle » à la veille de leur mission, l’objection de conscience n’étant pas, là non plus, reconnue ?

En tout cas, le signataire de ces lignes, quand il porta jadis  l’uniforme comme des millions d’autres jeunes de son âge, n’aurait rien fait qui soit contraire à sa conscience ou à ses convictions.

Le service de la nation n’implique pas de trahir ses idées, d’autant plus quand elles coïncident avec l’intérêt supérieur de la « terre des pères ».

Emmanuel Macron a-t-il sollicité l’avis du peuple, a-t-il été mandaté pour lancer le pays dans une aventure guerrière qui, contrairement à la propagande d’une chaine comme LCI, par exemple, n’est pas la sienne ?

Cet homme,  qui n’a jamais porté l’uniforme, ni senti l’odeur d’une chambrée, pas plus qu’enduré la morsure d’une bretelle de fusil à l’épaule au retour d’une marche, est-il qualifié, réellement, pour être « le chef des Armées » comme, hélas, la constitution lui en reconnait le titre ?

 

Revenir à Minsk I et II

Reconnaissons au moins  à Emmanuel Macron le mérite d’avoir tenté de négocier avec l’autocrate russe, jusqu’à la veille de l’entrée en guerre de Moscou.

Mais, sans excuser les bombardements aveugles des villes, il ne faudrait pas avoir la mémoire courte, et se rappeler que les accords de Minsk parrainés par Berlin et Paris sont restés lettre morte.

Or, ils prévoyaient un cessez-le-feu – n’oublions pas que depuis 2014  les Ukrainiens bombardaient les oblats russophones de Lougansk et de Donetsk autoproclamés indépendants-, et la consultation des populations en vue de leur accorder une substantielle autonomie.

Rien n’est venu.

Pire, l’ancienne chancelière Merkel a avoué avoir parrainé Minsk I et II pour permettre à Zelinsky de gagner du temps, tandis que le Russe était abandonné comme deuxième langue officielle !

Poutine a vu …rouge - sans jeu de mots !-, et on connait la suite dramatique du feuilleton qui endeuille l’Europe.

Il faut raison garder.

Et, s’il faut tout faire pour aider l’Ukraine à « garder la tête hors de l’eau » sans entrer en co-belligérance,  il faut obliger les protagonistes à  s’asseoir autour de la table des négociations, et reprendre le fil des discussions là où on l’avait laissé.

Ce devrait le rôle éminent de la France, ici comme au Proche-Orient, d’être cette moyenne puissance d’équilibre et de mesure.

 

Par Jean-Claude Rolinat     https://www.parti-de-la-france.fr/

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FACE AU DÉCLIN DE L' OCCIDENT ! L' EUROPE DE NOS ENFANTS ! ( INSTITUT ILIADE )

LECTURE !

Face au déclin de l’Occident, l’Institut Iliade invite à choisir « l’Europe de nos enfants »

Face au déclin de l’Occident, l’Institut Iliade invite à choisir « l’Europe de nos enfants »

par |

27 mai 2024 |

Europe

Face au déclin de l’Occident, l’Institut Iliade invite à choisir « l’Europe de nos enfants »
 

L’excellente revue Livr’arbitres présente un hors-série, De l’héritage à l’engagement – L’Europe de nos enfants (124 pages, 10 euros), rédigé à partir des actes du XIe Colloque annuel de l’Institut Iliade qui s’est tenu à Paris en avril dernier.

Par-delà la perspective originale adoptée par chaque intervenant, les diverses contributions s’inscrivent dans un cadre général dont Polémia se propose de restituer la teneur.

 

Une longue mémoire

La connaissance des racines lointaines de notre civilisation permet « de comprendre en quoi l’Europe est à la fois un mythe et notre destin ».

Après la « double guerre civile européenne » du XXe siècle, les Européens doivent prendre conscience de leur héritage commun, celui d’un temps où « les ancêtres des ancêtres de nos différentes populations parlaient tous la même langue, l’indo-européen, constituant ainsi un seul et même peuple » (Pierluigi Locchi).

Ses valeurs civilisationnelles sont le fruit d’une « rencontre apparemment impossible d’Athènes et de Jérusalem, de la religion et de la philosophie », via une approche dialectique où l’opposition des contraires aboutit à une « harmonie souveraine » telle qu’elle apparaît magnifiquement avec l’influence de Platon sur Augustin et celle d’Aristote sur Thomas d’Aquin (Olivier Battistini).

Pour autant, « l’emploi de la notion de “judéo-christianisme” semble procéder d’un raccourci contestable, impropre à définir l’essence de notre civilisation ».

Sans évidemment nier l’immense apport chrétien et les influences extérieures, notamment orientales, il convient de se souvenir que « les sites de Stonehenge, du Parthénon ou du forum romain ont été érigés bien avant la conversion de l’Empire romain au christianisme » (Henri Levavasseur).

Depuis l’Antiquité, une tradition de liberté accompagne « toutes les valeurs et attitudes mentales qui vont de pair avec la recherche scientifique : honnêteté intellectuelle, sens de l’exactitude et de la preuve objective, goût d’apprendre, visée encyclopédique, rejet absolu de l’argument d’autorité ».

Face à l’actuelle pression législative, judiciaire et médiatique qui instaure des vérités officielles et des délits d’opinion, « le premier axe de défense de la civilisation européenne doit être le rétablissement plein et entier de la liberté de pensée, d’opinion et d’expression »

(Jean-Yves Le Gallou).

L’individualisme libéral déconstructionniste

Le creuset de la culture plurimillénaire des Européens était fondé sur un socle de communautés locales organiques.

C’est à l’époque contemporaine, comme l’a observé le sociologue Ferdinand Tönnies, qu’ont émergé des sociétés dans lesquelles les hommes sont gouvernés par des relations d’intérêt encadrées essentiellement par des liens juridiques et économiques.

Désormais, « rien n’interdit à la société de devenir demain mondiale.

Les hommes et les femmes à force d’échanges en deviennent interchangeables et forment une humanité divisible en autant d’identités, de genres, de modes d’association qu’il existe de délires dans tout le fumier du cervelet humain ».

Ce processus mortifère, porté par une idéologie individualiste libérale qui tend vers une société de marché pure et parfaite, doit être désigné comme « l’ennemi » des peuples, qui demeurent des sujets politiques ancrés « dans une terre et ses morts ».

L’Histoire continue, cependant, et la « révolution conservatrice qui arrive » emportera « le vieux monde des marchands » (Pierre Gentillet).

Une nation telle que la Hongrie résiste avec succès afin de préserver son identité particulière « face au modèle unilatéralement imposé par un système capitaliste tardif qui broie les pays et déconstruit tout ce qu’il peut » (Ferenc Almássy).

De leur côté, les instances européennes mettent tout en œuvre pour favoriser « l’avènement d’un monde indifférencié réduit au seul horizon de l’homo economicus complété aujourd’hui par l’homo festivus ».


Dans les universités, des historiens déconstruisent les événements du passé dans la perspective des « valeurs démocratiques » et des « droits de l’Homme ».

Sous couvert de lutte contre le racisme et « l’extrémisme violent », leur implication idéologique vise à en finir avec le « roman national » et à promouvoir le multiculturalisme et la question du genre

(Philippe Conrad).


Ainsi, « l’Occident européen fait face à une attaque sans précédent contre les fondements de l’éducation traditionnelle ». L’élaboration d’un « programme européen conservateur et intelligent » sur la question éducative devient dès lors hautement souhaitable

(Axelle Girard).

Le funeste Euroland

Le déclin européen est accentué par les coups de boutoir de « l’occidentalisme » promu par les États-Unis, dont l’action est bien relayée par « l’omniprésence délétère de l’Union européenne et de ses institutions non-démocratiques (…) toute entière au service des intérêts de l’oligarchie financière mondialisée » (Xavier Eman).

Loin de l’avènement tant vanté d’une « Europe puissance », « la construction européenne s’est rapidement attachée à intégrer ses pays membres dans une vaste zone de libre-échange atlantique ».

Pour les États-Unis, une Europe fédérale constitue un « bloc plus facilement influençable » stratégiquement, politiquement et économiquement.

Dans le même temps, en opposition à « la tradition des peuples du continent », une « gouvernance technicienne » a supplanté une « authentique démocratie représentative » au sein de l’Union européenne (Christophe Réveillard).

« Bruxelles ne reflète que l’abaissement des peuples européens » au profit de l’empire américain et au sein d’une « planète entière arraisonnée à la Forme-Capital, c’est à dire au système techno-marchand ». Les peuples européens se doivent donc d’employer leur énergie pour faire advenir la « forme impériale » d’un avenir commun (Thibaud Gibelin).

Le déclin de l’Occident

Le déclin de l’Europe dans les domaines économique, industriel, technologique, militaire, diplomatique, culturel, etc., est la conséquence directe de choix politiques désastreux de la part de ses dirigeants depuis les années 1980, accentués encore par « l’impasse bruxelloise ».

Au-delà de notre continent, le reste du monde porte un regard sévère sur un Occident arrogant, « qui a cru pouvoir proclamer la fin de l’Histoire à son profit » et dont « le centre de gravité se trouve dans les puissances anglo-saxonnes ».

« Le fait majeur, et qui échappe à toute discussion, c’est que le monde extérieur ne veut pas de nos Lumières ni de ses avatars successifs, individualisme, nihilisme, wokisme, mondialisme et autres ».

L’Europe doit « retrouver son indépendance au milieu de ce naufrage qu’est l’Occident contemporain » (Lionel Rondouin).

Le vrai projet européen

Tout en revendiquant une triple appartenance réunissant une Région, une Nation et l’Europe, il est essentiel de dépasser les chauvinismes nationaux et de « transmettre une européanité positive » alliant chaleur (sentiments) et froideur (arguments). C’est ainsi que pourra naître « une idée solidaire étendue à toute l’Europe » (Benedikt Kaiser).

Cette volonté de « redonner vie et vigueur à l’idée européenne » doit s’entendre dans le respect des particularismes et du principe de subsidiarité (Xavier Eman).

Afin de « retrouver l’innocence qui a toujours appartenu aux créateurs de nouvelles tables » tel que le préconisait Nietzsche, il est nécessaire de vaincre la tentation d’une référence constante à un passé « qui est comme une armure trop encombrante : belle à regarder, mais qui nous empêche de bouger » (Adriano Scianca).

« Il ne s’agit pas de retourner en arrière, dans un passé devenu peu à peu légendaire et muséifié afin d’y planter nos tentes, mais bien de plonger dans les trésors de notre longue mémoire, de se nourrir de ses riches enseignements afin d’y trouver l’immanence de l’homme européen. »

La solidarité entre les peuples européens pourra advenir en privilégiant trois vertus majeures : l’humilité, la radicalité et le sens de la communauté (Marion du Faouët).

Depuis l’aube de la civilisation, animés par le sentiment du tragique et mus par l’horizon de la beauté, les Européens ont toujours su « réaliser l’impensable contre vents et marées »

(Duarte Branquinho).

 

Selon les mots du philosophe Giorgio Locchi : « Si nous voulons parler d’Europe, nous devons planifier l’Europe, nous devons penser à l’Europe comme à quelque chose qui n’a jamais été, quelque chose dont le sens et l’identité restent à inventer. »

Par Johan Hardoy
27/05/2024

 
 
Contributeur aiguisé de Polémia, Johan Hardoy suit notamment avec une grande attention les publications d'ouvrages relatifs à la politique et à la société française.
 
Source :    https://www.polemia.com/
 
 
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J-9 , LE COMBAT POUR LA SURVIE DE LA CIVILISATION EUROPÉENNE !

La présidente du Mouvement Conservateur ira à Strasbourg si Marion Maréchal dépasse les 5%.


Causeur. Pour commencer, un question très « politicienne » !

Quelles relations entretenez-vous avec Marion Maréchal, votre tête de liste ?

Ne regrettez-vous pas de vous être éloignée de LR (et de peut-être voir l’influence politique de votre mouvement être amoindrie, si, comme l’indiquent des sondages, François-Xavier Bellamy était mieux classé que Marion Maréchal le 9 juin prochain) ?

Laurence Trochu. J’ai souvent dit que le soutien apporté par les Conservateurs à Marion Maréchal relevait de l’évidence.

Nous partageons en effet la même vision et les mêmes priorités pour la France et l’Europe : cette élection du 9 juin est cruciale et vitale pour notre civilisation européenne menacée d’effacement et même de disparition.

C’est un combat pour la survie de notre civilisation qui fait face aux dangers existentiels de l’immigration, de l’islamisation de nos sociétés et de la propagande woke et LGBT.

C’est aussi un enjeu pour notre pays, au bord du déclassement économique, inévitable conséquence d’une Europe qui taxe et norme à outrance, bien souvent au nom d’objectifs écologiques démesurés.

Avec Marion Maréchal, nous avons enfin une occasion crédible de changer les rapports de force au Parlement européen et de renverser l’objectif fédéraliste et centralisateur d’Ursula von der Leyen.

Nous sommes lucides et courageux mais nous devons aussi être efficaces.

C’est au sein du groupe des Conservateurs et Réformistes que nous siègerons à Strasbourg, groupe pivot et central de la droite européenne qui réunit les droites de 18 pays dont l’Italie, l’Espagne, la Pologne.

Je ne remets pas en cause le travail de François-Xavier Bellamy mais sa stratégie qui est, particulièrement depuis 2020, complètement dépassée et donc inefficace.

Lors de la préparation des Municipales, puis des Départementales et Régionales, alors membre du Bureau politique et de la Commission Nationale d’Investiture des Républicains, j’ai vu comment ils ont vendu à la découpe les mairies, cantons et régions à Macron, avec le silence complice ou même les encouragements des cadres dirigeants.

J’ai compris que le Mouvement Conservateur ne devait pas servir de caution à un parti qui ne permettait plus de défendre nos convictions.

Les Républicains n’ont plus ni chef ni ligne directrice; ce parti est une auberge espagnole, on y trouve tout et son contraire : une tête de liste opposée à la GPA et sa numéro 4, Nadine Morano, qui y est favorable; une tête de liste opposée à la régularisation des travailleurs étrangers et sa numéro 2, Céline Imart, qui y est favorable; une tête de liste qui veut lutter contre l’islamisation et Anne Sander, députée sortante reconduite sur sa liste, qui soutient le FEMYSO, proche des Frères Musulmans.

 

Par ailleurs, François-Xavier Bellamy siègera à nouveau avec le groupe PPE dirigé par Ursula von der Leyen.

Il fera bande à part sur certains votes mais cela n’aura aucun impact. Isolé au sein de son propre parti, il l’est aussi au sein de son groupe.

C’est un immense gâchis, car cette erreur de stratégie le réduit à une candidature de témoignage, là où l’urgence de la situation réclame de faire des choix efficaces.

 

Votre « contribution programmatique » insiste sur les racines chrétiennes de l’Europe, et propose leur inclusion dans les Traités européens.

Vieille arlésienne…

Mais comment envisagez-vous cette démarche dans notre contexte de plus en plus laïque et surtout « multiculturel » ?

Jacques Chirac a refusé avec force en 2004 la référence aux racines chrétiennes de l’Europe dans le préambule de la Constitution européenne.

Il porte une énorme responsabilité dans l’effacement de notre civilisation et dans son remplacement par un projet d’islamisation de nos sociétés européennes, mené par des associations largement financées par les fonds européens.

Ce serait une erreur de réduire la mention des racines chrétiennes de l’Europe à une valeur seulement symbolique.

Le traité de Maastricht, repris sur ce sujet par celui d’Amsterdam et celui de Lisbonne, a défini les objectifs de la politique culturelle de l’Union européenne et insiste sur la mise en valeur de l’héritage culturel commun des pays de l’UE.

La définition de cet héritage culturel commun en référence à nos racines chrétiennes aurait permis de l’affirmer et de le faire rayonner.

Ne soyons pas dupes!

Si l’islamisation de la société s’accélère, c’est aussi parce que la destruction de nos repères s’est accélérée.

L’islam, avec ses mœurs et ses lois, vient occuper l’espace de notre décivilisation.

Un arbre coupé de ses racines finit toujours par mourir et l’islamisation prospère sur nos propres renoncements.

 

Un exemple parmi tant d’autres : en 2011, la Commission européenne a édité, comme chaque année, un agenda à destination des étudiants et lycéens de l’UE.

À côté de nombreuses informations sur le tabagisme, le racisme, l’écologie et les droits sexuels, cette édition comportait les fêtes de toutes les religions, ainsi que les fêtes païennes du type Halloween, mais omettait de mentionner les fêtes chrétiennes !

Dans ce contexte, l’inscription dans les traités, et déjà dans les directives et règlements, des racines chrétiennes de l’Europe est une nécessité pour affirmer ce que nous sommes.

Aimer, protéger et transmettre nos racines chrétiennes, c’est admettre que l’homme doit savoir s’incliner devant la part de sacré qui le dépasse, qu’il ne peut balayer d’un revers de la main, ce que 2000 ans de civilisation nous ont enseigné avec constance.

C’est admettre que devant les enjeux moraux qui se posent à nous, du harcèlement que subissent nos enfants exposés aux “drag queens” dans les écoles, aux choix à faire en matière d’usage de l’intelligence artificielle, en passant par le contrôle de la vie humaine, les solutions ne consistent pas essentiellement à trouver des critères matériels, mais à retrouver “la conscience sans laquelle la science n’est que ruine de l’âme”.

 

Le programme du Mouvement Conservateur critique sévèrement l’influence des idéologies LGBT ou woke au sein des institutions européennes.

Sur quoi souhaitez-vous alerter les électeurs exactement ?

De quoi parlez-vous, concrètement ?

En principe, la culture relève principalement des États membres, l’UE n’intervenant théoriquement qu’à titre subsidiaire.

C’est donc une compétence d’appoint de l’Union européenne.

En pratique, l’ingérence de l’UE dans les affaires culturelles est manifeste à deux niveaux.

Sur le plan des moyens de la politique culturelle, elle a progressivement mis en place un budget qui va en s’accroissant.

Sur le plan de la culture prise au sens de civilisation, elle multiplie résolutions, pétitions de principes et politiques de soutien en faveur de la diversité culturelle et de l’inclusion.

Nous sommes en saturation de ce que la Commission européenne nous impose : la diversité et l’inclusion sont devenues les mots magiques de sa politique culturelle, avec lesquels elle sale abondamment tous ses plats au point de les rendre indigestes.

Au menu, c’est la promotion de la diversité culturelle, c’est-à-dire des modes de vie étrangers à la civilisation européenne, comme l’illustrent les millions d’aides versés à la Turquie, à la Tunisie ou encore à la Macédoine du Nord au travers de programmes soi-disant culturels.

Au menu encore, les délires wokes et LGBT qui endoctrinent nos enfants avec la théorie du genre et la déconstruction des identités sexuelles.

Sous l’impulsion d’Ursula von der Leyen, la Commission européenne décline une stratégie farouche en faveur de l’idéologie LGBT.

Nous refusons l’emprise de cette propagande qui prétend qu’un garçon peut choisir d’être une fille, qu’un homme peut être “enceint” ou qu’il existe des femmes à pénis !

Notre responsabilité est de hâter ce temps où le réalisme et le sens commun triompheront.

Avec le groupe ECR, nous aurons la puissance de feu pour contrer cette propagande.

Je vous invite d’ailleurs à lire la Charte des valeurs signée à Subiacco en la fête de Saint Benoît, patron de l’Europe, et que nous avons jointe à la contribution programmatique du Mouvement Conservateur remise à Marion Maréchal.

 

Face aux mutations technologiques, vous proposez un encadrement éthique strict de l’intelligence artificielle et des données personnelles, notamment de santé.

Comment comptez-vous équilibrer l’innovation technologique et la protection des valeurs humaines et éthiques en Europe ?

J’ai passé une journée au salon VivaTech, pépinière d’innovations qui vont façonner le monde de demain, en permettant à la France de rester dans la course, ou au contraire en sortant de l’Histoire.

Nous attendons beaucoup de nos innovateurs – chercheurs, ingénieurs, développeurs – et de nos entreprises, car la déferlante des nouvelles technologies a du bon : c’est là que se trouvent les ressorts de la croissance économique et de l’aventure scientifique de demain.

Elle vient aussi avec son lot de dangers, car la technologie n’améliore pas l’homme à elle seule : elle en magnifie la puissance mais en aggrave souvent les excès.

Nous savons bien que certains des leaders mondiaux qui se sont exprimés dans ce salon poursuivent des projets transhumanistes avec lesquels nous sommes en désaccord radical.

Face à ces constats, les nations européennes doivent rester dans la course et éviter de laisser les technologies leur échapper : il est temps d’assurer l’excellence de l’Europe.

Mais il convient aussi de mettre l’être humain, avec sa dignité et sa vulnérabilité, au centre de la réflexion.

Les technologies sont trop souvent abordées sous l’angle unique de la performance et du consumérisme, ne prenant pas en compte l’Homme dans ses dimensions corps, âme et esprit.

La perturbation apportée, par exemple, par les réseaux sociaux ou les modèles de langage génératif sur les personnes qui y recherchent des relations interpersonnelles plutôt que des interactions virtuelles, est désormais connue.

Il s’agit donc d’accompagner cette révolution technologique pour que l’Europe demeure à la pointe de ces avancées et continue à bâtir sa propre souveraineté numérique, tout en proposant un modèle responsable, soucieux de l’Homme et de la cohésion de notre société.

Une mesure me paraît fondamentale : conserver un principe de responsabilité qui permette d’attribuer à une personne physique ou morale les conséquences du comportement d’un système autonome de type IA.

Pour sécuriser efficacement les données de santé des citoyens ou pour statuer sur les implants intracérébraux, il est évident qu’il faut adapter le droit et répondre ainsi aux nouveaux besoins de protection de la personne.

 

Nos députés nationaux travaillent depuis lundi sur l’euthanasie

. Après le mariage pour tous ou la PMA pour toutes, les Conservateurs ne sont-ils en passe de perdre une nouvelle bataille anthropologique majeure ?

Vous avez raison de rappeler la réalité ! Depuis 10 ans, le raz-de-marée progressiste s’est intensifié et détruit tous les fondements naturels et même biologiques de la société.

C’est exactement pour cela que nous ne devons pas nous tromper dans les moyens de construire des digues.

J’ai insisté sur l’impuissance de François-Xavier Bellamy à enrayer cette destruction en raison de son isolement et de son rattachement à Ursula von der Leyen qui est l’un des fossoyeurs de notre civilisation.

Jordan Bardella n’y pourra rien non plus, parce qu’il n’en a pas la volonté.

Dans sa logique de dédiabolisation, le Rassemblement National a renoncé à mener ces combats civilisationnels.

La moitié des députés a voté l’inscription dans la Constitution du droit à l’avortement.

Il y a quelques jours, Jean-Philippe Tanguy a annoncé que le RN ne prendrait pas les moyens de lutter contre la GPA, puisque Marine Le Pen ne tiendra pas sa promesse de campagne de “ne pas reconnaître la filiation des enfants nés de GPA à l’étranger”.

Et sur l’euthanasie, les députés RN, comme ceux de LR, se divisent.

C’est donc uniquement aux côtés de Marion Maréchal et du groupe ECR que la résistance se mène de manière claire, cohérente et donc efficace.

Tous ceux qui n’ont “rien lâché” et pour lesquels la protection de la vie et de la santé humaines sont des priorités non négociables ne sont représentés que par la liste portée par Marion Maréchal.

 

ET AUSSI

La tête de liste de Reconquête !, en charme plus d’un… dont notre contributeur, Philippe Bilger.


Ce billet ne va pas me donner l’image d’un intellectuel de la politique.

Que je n’ai jamais été, d’ailleurs.

À ma grande honte, j’ai toujours été plus passionné par la forme des échanges, la qualité des expressions et des affrontements, la vigueur et l’intelligence des argumentations que par le fond souvent confus des débats d’où ressortait en définitive le fait que, malgré les apparences parfois violemment polémiques, les idées développées n’étaient pas si éloignées les unes des autres, sorties de leur vernis obligatoirement contestataire.

C’est d’abord à cause de cette relative similitude des programmes européens, à l’exception de LFI et des Ecologistes campés dans un extrémisme irresponsable ou mou que j’ai tendance à m’attacher, avec une infinie curiosité et, je le crois, une réelle objectivité technique, à la nature des confrontations et à ce qu’elles révèlent des personnalités, des dons, des talents et des esprits.

Notre contributeur s’attache beaucoup à la forme

On pourrait y ajouter la plus ou moins grande incidence que chacun assigne à la vie politique nationale à partir de l’objet européen.

Il est clair qu’il va être majoritairement négligé en raison de la frustration démocratique éprouvée par les Français depuis la réélection d’Emmanuel Macron.

Et ce d’autant plus que, même si la tête de liste de Renaissance était bonne, elle ne pourrait pas s’opposer à l’intense courant d’hostilité emportant le président et son Premier ministre dans un rejet commun.

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Il est facile d’imaginer alors comme je me délecte des émissions politiques réunissant les candidats importants – sur LCI d’abord puis, le 27 mai, sur BFMTV – d’autant plus que je n’ai jamais été de ceux viscéralement persuadés que les citoyens valaient mieux que leurs représentants.

Parce qu’ils me permettent de me dissocier, de me cliver, de telle sorte que celui qui sait pour qui il va voter le 9 juin se sent, par ailleurs, totalement libre de goûter telle intervention, telle réplique – par exemple Raphaël Glucksmann, lassé, renvoyant dans ses cordes une Manon Aubry répétitive -, l’oralité déployée avec brio par une candidate au détriment des autres, le plaisir, sans la moindre mauvaise conscience, d’apprécier, en quelque sorte pour l’esthétique et la densité du verbe, une personnalité, sa verve, son alacrité, sa puissance de conviction.

Même si elle est aux antipodes de mon choix à venir. Rien ne me procure plus de bonheur que ce dédoublement entre le citoyen et l’auditeur, l’observateur.

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J’aime ne pas me sentir ligoté par des partialités m’empêchant d’aller jusqu’au bout de mes impressions ou de mes déceptions.

Je ne méconnais pas évidemment que ma subjectivité, mon tempérament ne peuvent pas se délester totalement de ma conception de la parole.

Une parole n’a de sens, pour moi, que si elle dit quelque chose !

On peut n’être pas du tout médiocre dans l’exercice oral mais pourtant ne pas savoir ce que sont véritablement l’art et l’exigence de convaincre.

On comprendra alors pourquoi, si je défends plus que jamais François-Xavier Bellamy dont l’intelligence, la tenue, la courtoisie mais avec une pugnacité toute récente, le verbe et la dialectique sont remarqués et remarquables, je m’accorde le droit de digresser.

Pour ce dernier, je le fais avec d’autant plus de sincérité qu’il est peu ou prou abandonné en rase campagne par les chefs à plumes de LR alors qu’il y a des soutiens déterminants qui devraient lui être apportés, à rebours de manœuvres de coulisses destinées à préparer la candidature future de Laurent Wauquiez alors que tout est encore ouvert pour 2027.

Pas née de la dernière pluie

Marion Maréchal n’est plus une révélation.

Sa mise entre parenthèses de toute vie politique (à partir de 2017) durant quelques années lui a fait énormément de bien.

De retour chez Éric Zemmour, quelles que soient les divergences de fond ou tactiques entre elle et lui – il est clair qu’elle s’en prend plus à François-Xavier Bellamy qu’à Jordan Bardella -, elle manifeste, dans les récents débats, une densité, une autorité, une sûreté, le fil impressionnant d’un verbe maîtrisé aussi bien dans l’affirmation que dans la contradiction, une ironie…

Elle fait preuve d’un ton et d’une qualité de langage qui enlèvent à ce que sa pensée pourrait avoir d’extrême et de provocant l’âpreté dont par exemple Éric Zemmour ne s’est jamais privé.

Si nous disposions, pour la politique, d’un quotidien comme l’Équipe pour le sport, elle bénéficierait de beaucoup d’étoiles.

Son transfert serait hors de prix !

Je ne suis pas de ceux enthousiastes par inconditionnalité ; je mesure seulement comme sur le plan technique, de la forme, son apparence ajoutant à son expression la place au-dessus du lot.

Si je la juge bien supérieure dans ses prestations à Manon Aubry (elle récite), à Valérie Hayer (elle tremble) et à Marie Toussaint (elle ennuie), ce n’est pas que je suis misogyne : je crois au contraire qu’on a oublié combien certaines femmes pouvaient avoir de talent et combien d’autres pourraient en avoir.

 

Quand j’ai « soumis à la question » Marion Maréchal le 22 janvier 2021, elle m’avait déjà surpris : sa parole est bien meilleure que celle de sa tante, moins appliquée et moins contrainte que celle de Jordan Bardella.

Face à elle, Emmanuel Macron aurait trouvé à qui parler.

Il aurait été moins sûr de son fait, moins condescendant.

Il ne sera plus là.

Dommage, j’aurais bien aimé un peu de politique-fiction.  Entre elle et lui.

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Source et Publications:    https://www.causeur.fr

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