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04/06/2024

ÉLECTIONS EUROPÉENNES : QUI EST RAPHAËL GLUKSMANN PS-PLACE PUBLIQUE......

Raphaël Glucksmann, tête de liste PS-Place publique, progresse en ce moment dans les sondages en profitant de la faillite macroniste et des dérives de l’extrême gauche mélenchoniste et écologiste.

Pourtant, les desseins politiques de ce néo-bourgeois euro-atlantiste sont aux antipodes des intérêts de la France, estime notre contributeur.

 

Immigrationniste, adepte d’une Europe fédérale et supranationale, il est également ce va-t-en-guerre obnubilé par Vladimir Poutine…


En 2004, Raphaël Glucksmann plante un couteau dans le dos de la France en accréditant la thèse de « la responsabilité accablante de l’Etat français et en particulier de François Mitterrand » dans le génocide des Tutsi au Rwanda via un documentaire intitulé Tuez-les tous ! Présomptueux, le jeune homme se pousse du col et pense avoir révélé le « pire scandale de la Ve république ».

 Des diplomates, des journalistes et des experts de l’Afrique assermentés devant le TPIR (Tribunal pénal international pour le Rwanda) contestèrent, preuves à l’appui, les accusations aberrantes de Glucksmann.

Celles-ci sont en réalité issues de l’histoire officielle écrite par le nouveau régime rwandais et destinée à accabler la France en même temps qu’à camoufler les exactions meurtrières du très autoritaire Paul Kagame et de son parti le FPR (Front Patriotique Rwandais).

Raphaël Glucksmann et Bernard Kouchner (ministre des Affaires étrangères de 2007 à 2010) contribueront, chacun à sa manière, pour que les conclusions de l’instruction judiciaire menée par le juge Bruguière et celles du TPIR – à savoir l’éventuelle implication de Kagame dans l’attentat qui coûta la vie au président Habyarimana et déclencha le massacre des Tutsi – finissent dans les oubliettes de l’histoire (1).

On se souviendra également que les États-Unis et la Grande-Bretagne, en plus d’avoir voulu empêcher l’opération humanitaire proposée par la France à l’ONU immédiatement après le début du génocide, interdirent finalement au TPIR d’enquêter sur cet attentat.

Pour ces deux pays dont l’objectif est, depuis toujours, de chasser la France de la région des Grands Lacs en général et du Rwanda en particulier – avec d’excellents résultats d’ailleurs : dans ce pays traditionnellement francophone, Kagame, une fois au pouvoir, fera adopter l’anglais comme langue officielle,

Tony Blair sera son conseiller spécial en 2008 et le Rwanda entrera dans le Commonwealth en 2009 tandis qu’en 2018,

Emmanuel Macron, toujours là quand il s’agit de rabaisser la France, manigancera pour faire élire à la tête de l’Organisation Internationale de la Francophonie la très anglophone ex-ministre des Affaires étrangères rwandaise Louise Mushikiwabo (réélue en 2022) (2) et (3) – pour ces deux pays, donc, la réécriture de la catastrophe rwandaise en faveur de Paul Kagame s’imposait.

 

Elle profitera en France d’une étonnante publicité grâce à des personnalités comme Glucksmann (père et fils), Kouchner et Rocard (qui ne connaissait rien au dossier mais crut trouver là un excellent moyen de salir Mitterrand), et des médias serviles s’interdisant de porter objectivement à la connaissance du public les jugements, articles ou livres français ou anglo-saxons remettant en question la thèse officielle du génocide rwandais élaborée par le nouveau régime.

Les mêmes peinent aujourd’hui à informer sur ce qu’est devenu le Rwanda sous la présidence despotique de Paul Kagame : réélu en 2017 avec… 98,8 % des voix, ce dernier est parvenu à faire modifier la constitution rwandaise afin de pouvoir gouverner jusqu’en…2034

Presse surveillée, opposition muselée, contradicteurs « intimidés » : Kagame est d’ores et déjà assuré de remporter les élections présidentielles qui auront lieu en juillet de cette année. Gluksmann ne pipe mot.

 

Activités politiques en Georgie et en Ukraine avant la guerre

En 2006, Raphaël Glucksmann rejoint Alternative libérale, parti favorable au libéralisme politique et économique, voire au libertarianisme – pas vraiment ce qu’on peut appeler un parti de gauche.

Oui mais non, j’étais là par hasard, dira-t-il quelques années plus tard.

On le sait proche, à l’époque, de Nicolas Sarkozy avec qui il s’entretient régulièrement, en particulier à propos de l’Europe de l’Est – plus tard, il dira regretter l’engagement de… son père, soutien de Sarkozy en 2007.

Il contribue jusqu’en 2008 à la revue Le Meilleur des Mondes, revue publiée par le Cercle de l’Oratoire, think tank néoconservateur ayant soutenu la politique belliqueuse de G. W. Bush.

Il propose ensuite ses services au président géorgien pro-occidental Mikheil Saakachvili dont il sera le conseiller jusqu’en 2012.

En 2013, celui qui prétend être un « consultant en révolution » (Le Monde, 21 mars 2014) rejoint Kiev pour soutenir et conseiller Vitali Klitschko, un des chefs de file du mouvement Euromaïdan.

« J’essaie de dire aux oligarques ukrainiens que s’ils veulent prouver qu’ils sont devenus pro-européens ils doivent aider les autres à faire leur révolution », déclare Glucksmann au Monde.

Retour en France. En 2017, après avoir soutenu Benoît Hamon, il appelle à voter Emmanuel Macron au second tour des élections présidentielles pour « faire barrage à l’extrême droite ».

 

En 2018, il fonde le parti Place publique avec Claire Nouvian et Thomas Porcher – qui quitteront quelques mois plus tard ce mouvement qu’ils disent être noyauté par des apparatchiks socialistes et un nombril géant du nom de Glucksmann – et se voit déjà comme le grand unificateur de la gauche.

Il est élu député européen en 2019 sur la liste commune PS-Place publique-PRG mais vote Macron aux deux tours en 2022.

Désigné tête de liste de PS-Place Publique pour les prochaines élections européennes, Raphaël Glucksmann joue sur du velours : des électeurs macronistes tendance socialo-boboïste repentis, une partie des électeurs insoumis constatant (enfin) l’inquiétante et dangereuse dérive islamo-gauchiste et antisémite de LFI et certains électeurs écolos refroidis par la radicalisation punitive des Verts voient en lui une planche de salut, un moyen de renouer avec un « centre-gauche républicain » propre sur lui, social-démocrate et écolo juste ce qu’il faut.

Peut-être est-il temps de creuser un peu le sujet et de montrer à tous ces gens, si ce portrait succinct ne suffit pas, qui est vraiment Raphaël Glucksmann. 

A lire aussi, Paul Rafin: Glucksmann, le candidat des gnangnans de la mondialisation?

 

M. Glucksmann reste extrêmement discret sur ses années passées en Géorgie et en Ukraine, deux pays sur lesquels les États-Unis lorgnent depuis l’effondrement soviétique dans le but de les voir un jour adhérer à l’OTAN et d’élargir ainsi leur influence au plus près de la Russie – malgré la promesse faite à cette dernière de ne rien en faire.

En Géorgie, Glucksmann devient le conseiller du président pro-otanien Mikheil Saakachvili en 2008.

Il rencontre à cette occasion celle qui va devenir son épouse.

Après avoir étudié le droit pendant un an aux États-Unis, Ekaterina Zgouladze est surtout connue en Géorgie pour sa vie festive et ses extravagances nocturnes –

« Tout le monde la connaît, elle fréquente le tout-Tbilissi branché, les DJ et les designers », s’extasie le Nouvel Obs.

En 2005, titulaire de diplômes de journalisme et de droit que d’aucuns qualifient de « modestes », elle est nommée vice-ministre de l’Intérieur par Mikheil Saakachvili, poste qu’elle occupera jusqu’en octobre 2012, un mois après qu’auront été révélées les tortures pratiquées dans les prisons géorgiennes.

Le couple Glucksmann-Zgouladze quitte alors précipitamment la Géorgie pour rejoindre l’Ukraine où il participe activement à la révolution de Maïdan qui conduira à l’avénement d’un nouveau gouvernement constitué en partie sous la férule de la sous-secrétaire d’État américaine Victoria Nuland.

En 2014, après avoir été naturalisée citoyenne ukrainienne par le président Porochenko, Ekaterina Zgouladze est nommée… vice-ministre de l’Intérieur du nouveau gouvernement ukrainien.

Au même moment, Washington, par l’intermédiaire de la toujours très efficace Victoria Nuland, exige et obtient la promotion de la directrice de la section économique de l’ambassade des États-Unis en Ukraine, Natalie Jaresko, au poste de ministre des Finances du… gouvernement ukrainien – Mme Jaresko, Américaine d’origine ukrainienne, obtient la nationalité ukrainienne… le jour même de sa nomination.

Quelques mois plus tard, l’ex-président de la Géorgie, Mikheil Saakachvili, réfugié aux États-Unis pour échapper aux poursuites judiciaires engagées contre lui par son pays, migre en Ukraine où le président Porochenko lui octroie vite fait bien fait la nationalité ukrainienne avant de le nommer gouverneur de l’oblast d’Odessa.

Curieux jeu de chaises musicales où d’ardents « nationalistes » changent de nationalité comme de chemise, au gré de leurs intérêts personnels ou des intérêts américains – qui souvent se rejoignent.

[Saakachvili est aujourd’hui en prison pour abus de pouvoir dans diverses affaires en Géorgie].

 

Il ne parle jamais des ingérences américaines

Hormis dans un article récent de Marc Endeweld paru dans Marianne (4), les médias français ne se sont guère attardés sur le parcours tortueux de Raphaël Glucksmann en Géorgie et en Ukraine – parcours qui montre assez bien que les intérêts de la France sont très éloignés des véritables préoccupations de Raphaël Glucksmann.

Durant des années, cet euro-atlantiste convaincu a manœuvré auprès des dirigeants de ces pays pour voir aboutir une politique strictement pro-américaine et anti-russe.

D’aucuns pensent que Raphaël Glucksmann, parce qu’il bombe le torse et se dit prêt à soutenir, quel qu’en soit le prix, l’Ukraine contre la Russie, est un « candidat de gauche anti-totalitaire ».

Premièrement, Glucksmann n’est pas de gauche – « Ça ne m’a jamais fait vibrer de manifester pour les retraites », avoue-t-il au Monde.

Deuxièmement, son anti-totalitarisme est du même bois que celui dont se sont chauffés ses prédécesseurs et mentors, BHL, Bernard Kouchner ou son père, André Glucksmann.

Comme eux, il n’épouse que les causes « anti-totalitaires » agréées par Washington.

Comme eux, il est enragé dès qu’il s’agit de la Russie.

Au Parlement européen, son obsession l’a poussé à créer et présider une « Commission spéciale sur l’ingérence étrangère et la désinformation » qui a semblé ne vouloir s’intéresser qu’à l’ingérence russe.

Pas un mot sur les ingérences venues de l’Ouest, par exemple le travail d’espionnage mené en Europe par les États-Unis, celui de la NSA (National Security Agency) qui épia, via le Danemark, les conversations téléphoniques des responsables politiques européens,

M. Macron et Mme Merkel en tête. Le Sénat américain vient de prolonger, avec la loi FISA (Foreign Intelligence Surveillance Act), les pouvoirs d’espionnage du FBI, de la CIA et de la NSA sur les citoyens américains mais également non-américains par le biais des communications privées (messageries, réseaux sociaux, téléphonie, etc.) dans tous les pays du monde (5) – mais cela ne semble pas beaucoup inquiéter M. Glucksmann.

Le rapport de ladite commission reste également relativement discret sur les ingérences des pays alliés du bloc occidental, l’Arabie Saoudite, la Turquie ou le Qatar. Concernant ce dernier, i

l y avait pourtant bien des choses à dire, que Glucksmann a à peine susurrées. Par exemple : en novembre 2022, la socialiste grecque Eva Kaïli, à l’époque vice-présidente du Parlement européen, tient un discours dithyrambique sur le Qatar, pays exemplaire devenu, selon elle, « un chef de file en matière de droit du travail ».

En décembre de la même année, dans le cadre d’une enquête pour corruption au profit du Qatar, la police belge arrête Eva Kaïli après avoir découvert des centaines de milliers d’euros en liquide répartis dans son appartement et dans celui de son père.

L’ex-eurodéputé socialiste italien Antonio Panzeri – fondateur de l’ONG Fight Impunity par laquelle transitait apparemment l’argent de la corruption – est également incriminé.

Le Qatargate n’en est qu’à ses débuts.

Pourtant, le Qatar n’est mentionné que trois fois dans le rapport issu de la commission sur les ingérences étrangères dirigée par Glucksmann – la Russie, elle, est mentionnée soixante-six fois !

Cherchez l’erreur.

A lire aussi, Marion Maréchal: « La solidarité n’est pas le suicide »

 

Raphaël Glucksmann est un européiste fédéraliste qui se fiche des intérêts de la France.

L’Europe, l’Europe, l’Europe, bêle-t-il en sautant sur sa chaise comme un cabri.

La France qui désire rester la France l’incommode.

De son propre aveu, il se sent bien plus à l’aise à New-York ou à Berlin qu’en Picardie.

Cet explorateur des métropoles mondialisées et uniformes n’a que peu de considération pour le bouseux picard enraciné. « Les nouvelles élites sociales ne se sentent chez elles qu’en transit, sur le chemin d’une conférence de haut niveau ou de l’ouverture d’un festival de cinéma.

Leur vision du monde est essentiellement celle d’un touriste », écrivait Christopher Lasch dans son dernier essai analytique et visionnaire,

La révolte des élites, paru il y a bientôt trente ans. Raison pour laquelle, ajoutait-il, le« multiculturalisme leur convient parfaitement ».

L’Europe dont rêve Raphaël Glucksmann est essentiellement celle de ces métropoles où les anywhere – néo-bourgeois de toute obédience, migrants ubérisés ou non, étudiants wokisés et touristes en masse – ont supplanté les classes populaires et moyennes chassées par la spéculation immobilière, le chômage et de nouvelles relations sociales techno-culturelles (et lugubrement festives, ajouterait Philippe Muray) qui ne les concernent pas.

Et puis, pourrait-on dire en paraphrasant Gilles-William Goldnadel, le Picard a la malchance de ne pas être l’Autre, cet Autre lointain pour lequel Glucksmann est tout amour, celui de la diversité, celui des causes humanitaires, celui de l’immigration, celui que la gauche aisée apprécie d’autant plus qu’il vient « comme il est », tout auréolé d’une culture que, cette fois, nul ne lui reproche, bien au contraire.

Ferment de la société multiculturaliste souhaitée par les nouvelles élites, cet Autre présente également l’avantage d’être corvéable à merci dans les métropoles gentrifiées, au service des classes aisées ou mondialisées.

Le Picard n’a aucun avenir. L’Autre interchangeable est le futur.

 

Cet intellectuel mondain et mondialiste habitué à l’entre-soi des salons médiatiques ne s’intéresse que modérément aux difficultés quotidiennes des Français.

Sait-il seulement ce qu’ils vivent réellement ? Il est permis d’en douter.

Les résultats amers de l’immigration massive – son coût, son impact sur nos mœurs, ses conséquences délétères, l’insécurité et l’islamisation galopante de la société entre autres – sont des sujets qu’il n’aborde que difficilement et toujours pour considérer que, si problème il y a, la seule réponse envisageable est eu-ro-pé-en-ne.

De toute façon, comme la majorité des élites bruxelloises, Glucksmann pense que l’immigration extra-européenne est inévitable, nécessaire, voire indispensable.

Sa priorité n’est pas de défendre la France mais de favoriser l’immigration massive tout en osant affirmer qu’elle n’existe pas – « l’Europe n’est pas le véhicule de la submersion migratoire. C’est un mythe. »et en maniant l’habituel discours culpabilisateur : « Tout le monde s’est habitué à ce que notre mer soit devenue un cimetière.

Il n’y a pas un mot dessus dans ce pacte (celui de l’UE sur l’immigration). Il faut relancer les opérations de sauvetage. 

» Frontex, devenu organisme d’accueil des migrants plutôt que de défense des frontières européennes, répond aujourd’hui à ses attentes.

Avec des députés européens comme Glucksmann, les flux migratoires ne sont pas prêts de se tarir.

Raphaël Glucksmann, qui se réclame de Delors, ce qui est en soi un motif d’inquiétude, est un être composite qui tient tout à la fois d’Emmanuel Macron et de BHL, avec un zeste de Bernard Kouchner pour ajouter à l’aspect humanitaire de théâtre et une pincée de Daniel Cohn-Bendit pour fortifier le côté révolutionnaire de salon.

 

Ce portrait hybride met en évidence la dangerosité d’un individu prêt à tout pour désintégrer la France en tant qu’État-nation.

Depuis le début de la guerre russo-ukrainienne, Glucksmann jette de l’huile sur le feu et semble espérer un embrasement total de l’Europe en vue de détruire la Russie – et gare à ceux qui osent rappeler que l’Ukraine n’est pas pour rien dans le déclenchement de ce conflit (6).

Ce belliciste est prêt à engager la France dans un conflit qui aurait pu cesser depuis longtemps : le quotidien allemand Die Welt vient de révéler la teneur exacte du projet d’accord de paix envisagé dès la fin mars 2022 – une rencontre entre Poutine et Zelensky étant même alors prévue afin d’en finaliser les points cruciaux – et de confirmer, via le témoignage du négociateur ukrainien David Arakhamia, la venue de Boris Johnson à Kiev le 9 avril 2022 pour faire capoter cet accord et demander à Zelensky de poursuivre le combat tout en l’assurant du soutien des Britanniques et, vraisemblablement, des Américains – on imagine mal Boris Johnson se lancer de son propre chef et seul dans cette délicate manœuvre (7).

Foncièrement dégoûté par le nationalisme français mais opportunément charmé par le nationalisme ukrainien, le va-t-en-guerre Glucksmann réclame à cor et à cri que l’économie française passe « totalement en économie de guerre » pour soutenir l’Ukraine et confiait récemment ne pas être fondamentalement opposé à la proposition d’Emmanuel Macron concernant l’intégration de la puissance nucléaire de la France dans une stratégie globale de défense européenne.

On ajoutera à ce tableau déjà sombre, la promesse de Glucksmann de tout faire pour que l’Ukraine intègre l’OTAN et l’UE, ce qui serait, pour la France, un désastre, tant au niveau géopolitique qu’au niveau économique.

 

L’électeur potentiel de la liste PS-Place publique conduite par Glucksmann ne devra pas oublier que les actions de ce dernier ne sont motivées que par deux obsessions : la première est de tenter d’affaiblir la Russie par tous les moyens possibles, y compris une guerre engageant militairement la France ; la seconde est de dissoudre la France dans une mosaïque de territoires européens dépendant d’un pouvoir central bruxellois lui-même aux ordres des nouvelles élites de l’empire davosien, diversitaire, immigrationniste et multiculturaliste en cours de construction.

 

Dans tous les cas, l’objectif glucksmannien est, d’une manière ou d’une autre, la disparition de la France. Autant le savoir avant d’aller voter.


(1) https://www.marianne.net/monde/exclusif-rwanda-le-documen... 

(2) https://www.marianne.net/monde/geopolitique/militante-de-... 

(3) https://www.marianne.net/monde/rwanda-noel-en-avance-pour... 

(4) https://www.marianne.net/politique/gauche/conseiller-de-s... 

(5) https://www.lefigaro.fr/international/etats-unis-le-senat... 

(6) La journaliste et reporter de terrain Anne-Laure Bonnel a réalisé deux documentaires sur le Donbass, l’un en 2014 et l’autre en 2022, quelques semaines avant le début de la guerre.

Ces documentaires n’ayant pas eu l’heur de plaire à M. Glucksmann, celui-ci a affirmé sur Sud Radio que la journaliste travaillait « au service des intérêts russes ».

« M. Glucksmann, vous m’avez mis une cible sur le dos », a déclaré, une semaine plus tard, Anne-Laure Bonnel au micro d’André Bercoff.

(7) https://www.lefigaro.fr/international/le-document-secret-... 

 

Source et Publication  :  Causeur;fr

 

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