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18/06/2024

DES SERVICES PUBLICS DE PIRE EN PIRE ! CE PAYS EST FOUTU ! ( H16 )

Des services publics de pire en pire

 
 
 
Publié le 16 juin 2024
 

Jadis, travailler à La Poste constituait un sacerdoce où le secret de la correspondance, la continuité territoriale et la probité se plaçaient au-dessus de toute considération de salaire, de confort ou même de carrière.

Puis, dans les années 1980, il fut expliqué qu’il fallait « bouger avec La Poste »…

Ce qui a probablement beaucoup fatigué la vénérable institution.

À partir de là, les choses se sont gâtées au point qu’on en vient à lire que La Poste perd des trouzaines de colis en toute décontraction, et qu’on en reste relativement peu ému.

Il y a trente ans, cette dernière mésaventure aurait probablement déclenché quelques articles de presse assez poivrés et quelques éclats de voix chez les politiciens. De nos jours, cela passe inaperçu

. Probablement parce que, dans le même temps, on apprend que l’assurance maladie n’indemnisera probablement plus les arrêts maladie de moins de huit jours dans un avenir proche, la Cour des comptes estimant que cette mesure permettra d’économiser quelques deniers sur ce service public déjà fort mal en point.

Bien sûr, on se doute déjà qu’il n’y aura aucune économie (les individus auparavant en arrêt pour 4 ou 5 jours verront leurs arrêts étendus à 8, voilà tout) mais au moins pourra-t-on afficher quelque part qu’une réforme et des efforts de rationalisation ont été entrepris.

Et alors que l’attention du lecteur s’éloigne fort loin des problèmes de La Poste et que ceux de l’assurance maladie commencent déjà à prendre du champ, on découvre que la SNCF, autre service public jadis renommé de par le monde, vient d’accorder une prime de 95 euros brut par jour pour ses cheminots pendant la période des Jeux olympiques, le petit chantage à la grève des syndicats du service de transport public ayant porté ses fruits : voilà un argent rudement bien gagné, d’autant que la qualité du service, la ponctualité des trains, la solidité des horaires, et la maintenance du réseau en général, n’ont jamais été aussi bonnes, comme en témoignent quelques coupures de presse prise au hasard (chaque semaine en apportant son lot presque continu).

Saperlipopette, on dirait vraiment que les services publics français ne sont plus ce qu’ils ont été, me direz-vous !

Malgré tout, il serait faux d’en déduire que la déroute est complète, totale, que tout se réduit toujours à sa plus simple expression dans le pays de Molière.

Non, ce serait exagéré.

Ainsi, loin de se réduire, le taux de smicards est passé de 10,5 % en 2017 à 17,3 % en 2023. Voilà un chiffre dont ce nigaud de Bruno Le Maire serait capable de se réjouir.

Ainsi, certains services publics sont maintenant étendus bien au-delà de leur base de contributeurs directs (les contribuables, les citoyens par exemple) : grâce à un magnifique travail de sapedes habituelles organisations non gouvernementables lucratives sans but, les étrangers en situation irrégulière bénéficieront maintenant d’une aide juridictionnelle gratuite, ce qui va grandement aider au désengorgement des tribunaux, et apporter un service juridique de qualitay à tous les Français, c’est évident.

 

En réalité, il y a bien un service public dont la productivité n’a jamais baissé : c’est celui des impôts, qui ne recule ni en quantité de travail ni en inventivité pour s’accaparer toujours un peu plus des richesses produites, allant chercher le prochain relai de croissance fiscale jusque dans les cartes Pokémon.

Et c’est tant mieux : il faut bien, d’une façon ou d’une autre, payer cette pharaonique dépense publique et cette pléthorique sphère publique qui n’a – au contraire de ce que nous serinent syndicats, associations gauchistes et politiciens menteurs – cessé d’enfler hors de proportion sur les dernières décennies.

 

Bref : la dépense publique continue d’exploser pour des services publics de plus en plus médiocres, et tous les Français s’appauvrissent visiblement.

Manifestement, le paradigme qui a consisté à calmer les tensions sociales en distribuant le pognon et les aides (basées sur la dette) arrive à son terme.

La société de consommation française, basée sur l’import et la dette, sur un affaiblissement voire une disparition de la production locale et la désindustrialisation, ne peut plus fonctionner : il n’y a plus assez de production de richesse pour arroser tout le monde.

Dès lors, les tensions qui s’observent dans la société française sont la résultante du décrochage d’une part croissante de la population de cette société de consommation qui n’est plus ouverte qu’à la caste bénéficiant des services publics, des aides et des salaires protégés (de la fonction publique ou assimilée, c’est-à-dire la myriade de professions, salariés, contractants et sous-traitants bénéficiant directement et indirectement des sprinklers d’argent public).

Avec la diminution des richesses créées (les entreprises privées ferment ou s’en vont, les prélèvements augmentent), avec les coupes claires dans les dépenses de l’État partout où il le peut (s’endetter encore devient exorbitant), avec le choix de s’endetter pour payer les avantages sociaux (CAF, AME, RSA, etc), la population s’appauvrit visiblement.

Dans ce tableau, les seuls à ne pas s’appauvrir aussi vite sont ceux qui sont totalement au crochet de l’État mais restent peu impactés par les économies car ils sont électoralement intouchables (cela représente diverses catégories, depuis les associations lucratives sans but jusqu’aux retraités, dans une certaine mesure).

S’y ajoutent ceux qui sont juste à côté du robinet public, c’est-à-dire les principales administrations d’État et ses grosses structures : elles font certes de larges économies sur l’intendance (on n’achète plus de nouveaux tanks ou de nouveaux hélicoptères, on ne refait plus les bâtiments, on bricole pour tout dans tous les services, une photocopieuse à l’école est un budget qui se planifie des années à l’avance, partout ainsi…

Mais on ne licence pas et les salaires progressent, malgré tout).

Cependant, absolument rien n’est fait pour contrebalancer les choix politiques des quarante dernières années, qui ont outrageusement favorisé la consommation au détriment de la production, défavorisé l’entreprise privée et la production locale, et favorisé l’endettement au détriment de l’équilibre.

Au contraire, même : on accélère dans la distribution de chèques bidons (reprisage, essence, culture, j’en passe).

 

Les services publics vont donc inévitablement continuer à se dégrader à mesure que les impôts, taxes, ponctions et prélèvements vont continuer d’augmenter, le tout de plus en plus vite.

Le différentiel entre ce qui sera ponctionné et les services qui seront rendus en face des ponctions va continuer à croître très défavorablement.

Ce pays est foutu.

LES " BRIGANDES " DE RETOUR ! UN PEU DE FRAICHEUR DANS LE MONDE MUSICAL .......

lundi, 17 juin 2024

Les Brigandes et le front musical pour la défense de notre identité

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Thierry DeCruzy

Polémia cliquez ici

Incapables de comprendre la musique, la dissidence comme les élus de l’opposition nationale ont quasiment abandonné ce terrain culturel.

Cette situation est d’autant plus préjudiciable que la musique est un puissant agent d’influence sur les populations.

Le front musical a été déserté, malgré les opportunités…

 

Les Brigandes, celles qui ont fait transpirer les médias

Dans la préface d’un livre consacré aux Brigandes et publié par Synthèse éditions, Brigitte Bardot affirme : « C’est “Elles” qui auraient dû être choisies pour chanter l’ouverture des Jeux olympiques de France ! »

Entre Aya et Les Brigandes, le choix est politique et a impact sur le référentiel non seulement de la France, mais de toute la francophonie, donnant la mesure de son audience et de la vision politique élyséenne.

Un contrôle similaire est opéré par l’Eurovision qui impose ses modèles sociétaux à tout un continent.

Si le concours a été créé par l’OTAN, c’est bien que la musique a une importance stratégique qui devrait être prise en compte par ceux qui ont été élus pour représenter la nation française historique.

Il ne s’agit pas de choix personnels car les choix musicaux sont conditionnés par les communautés dont sont issus les individus.

Le contrôle méticuleux opéré sur les concerts en est l’illustration.

En France, une autorisation est indispensable pour leur organisation, elle est délivrée par la mairie ou la préfecture.

Outre les questions de sécurité, le visa est d’abord politique.

Il suffit d’observer le traitement sélectif réservé aux rave parties, interdites mais encadrées par les gendarmes, et celui des concerts de groupes identitaires, traqués par les antifas et interdits par les préfectures.

À cet égard, le parcours des Brigandes est emblématique.

Ces chanteuses professionnelles ont forgé un outil musical capable de faire entendre la dissidence française jusqu’en Russie.

Leurs compétences musicales alliées à des textes engagés et mis en scène dans des vidéos soignées faisaient de leurs chansons des outils séduisants, en témoigne la censure de leur compte YouTube qui dépassait les 10 millions de vues.

La violence des attaques médiatiques avec les pires accusations (assassinat, secte…) et l’envoi d’équipes de journalistes pour faire pression sur la population de leur petit village témoignaient de leur influence.

Elles ont fait transpirer les médias pendant cinq ans.

Il a fallu un dossier de fausses accusations – aucune condamnation ne les a confirmées – pour diviser la dissidence et affaiblir les soutiens du groupe, même si d’autres ne se sont pas laissé tromper (TV Libertés, Synthèse nationale, la Ligue du Midi, Riposte Laïque, Polémia…).

Petite structure sans relais communautaires suffisants, le groupe n’y résiste pas.

Pourtant, en six ans, la production des chanteuses est exceptionnelle, avec 12 CD, 144 chansons et 104 clips vidéo.

Le combat musical est politique, comme le montre leur convocation par l’Assemblée nationale, fait unique dans l’histoire de la chanson française, sans aucun élu pour les soutenir.

La manœuvre de l’industrie musicale réussit à éliminer des chanteuses dissidentes avec l’appui d’une partie de leur propre public.


Un grand remplacement musical silencieux

Pourtant, un front musical a été tenu. Jean-Marie Le Pen avait créé une société d’édition sonore.

À son catalogue, des enregistrements de cantiques traditionnels après la prise de Saint-Nicolas-du-Chardonnet, les chansons du Chœur Montjoie Saint-Denis reprises par toute une génération.

Pierre Dudan, Lo Cicéro et Docteur Merlin y côtoyaient des disques de chants anarchistes, du IIIe Reich et des promotions d’écoles d’officiers.

Au regard de la situation actuelle, le recul de la liberté d’expression est abyssal.

Dans ses dernières années, la SERP produisait des groupes de RIF qui étaient invités aux BBR.

La musique est un marqueur qui rend compte de l’état des sociétés, ainsi le grand remplacement musical s’est opéré en simultanéité avec celui des populations, mais dans le silence.

Et il ne faudrait pas croire que tous les artistes adhèrent au projet de société conduit par le régime en place.

Ils sont simplement pragmatiques, et certains réussissent à marquer leur indépendance, comme Didier Barbelivien chantant « Vive le roi » en 1989, Alain Souchon avec « La p’tite hirondelle », Vincent Lagaf’ avec « La Zoubida », ou même involontairement Claude Barzotti avec « La France est aux Français ».

En 1975, Bouvard invitait Gainsbourg chanter « Nazi rock », avec trois choristes costumées en souris grises.

En 2014, Dieudonné était traqué par le ministre de l’Intérieur appuyé par le Conseil d’État.

En janvier dernier, le chansonnier Blagodariov était incarcéré pour quelques parodies.

En France, la liberté d’expression est un droit constitutionnel à éclipses et les rappeurs peuvent appeler dans leurs paroles à « tuer des bébés blancs » sans émouvoir la justice.

Quand on enlève le contrepoids, la balance penche toujours du même côté, c’est mécanique.

 

Viser les repères musicaux

Il est illusoire de s’en remettre à un changement de pouvoir, les repères musicaux s’installent dans la durée et sont présents dans tous les lieux publics.

Il faut agir sur les jeunes générations et les effets seront sensibles dans le temps long.

La musique est un outil d’harmonisation collectif et la fracture avait déjà été opérée par la commercialisation du microsillon.

Antérieurement, les répertoires musicaux étaient transmis dans les familles.

Avec ces enregistrements donnant la possibilité aux jeunes d’écouter une musique différente de celle de leurs parents, l’harmonie familiale était visée : « On n’écoute pas de la musique de vieux ! »

Si ces musiques étaient présentées comme subversives pour mieux séduire la jeunesse, elles visaient en réalité à détruire des repères civilisationnels historiques.

Le microsillon est commercialisé dans la période où le concile Vatican II élimine le grégorien de la liturgie.

Dans la civilisation européenne, le grégorien est le plus ancien répertoire musical vivant, et son enseignement a produit la seule écriture musicale de l’histoire de l’humanité.

La musique ne peut donc pas être reléguée à une simple question de goûts personnels.

Elle est un moyen d’expression des sociétés et relève donc d’un projet politique : les concerts de la Fête de l’Huma, les radios libres, le concert de SOS Racisme place de la Concorde, la Fête de la musique…

Ces événements illustrent une volonté de politisation des repères musicaux.

Le rouleau compresseur de l’actualité ne prédispose pas les élus au recul indispensable pour appréhender des repères inscrits dans la longue durée.

D’autant plus que ces enjeux sont sévèrement défendus.

Il est donc vital de connaître les musiques de l’adversaire pour promouvoir des repères musicaux en accord avec les programmes politiques proposés, et en soutenant les artistes qui le méritent.

 

Compétentes, créatives et engagées, Les Brigandes le méritaient.

 

Par Thierry DeCruzy, Les Brigandes, phénomène musical de la dissidence, préface de Brigitte Bardot, Synthèse éditions, 2024. cliquez ici

Thierry DeCruzy, Démondialiser la musique, La Nouvelle Libraire, 2022.

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LÉGISLATIVES DES CANDIDATS DE LA DROITE NATIONALE AVEC RECONQUÊTE !

Reconquête présente 330 candidats aux législatives

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Un communiqué de Eric Zemmour :

Pour la victoire de nos idées et contre l’islamo-gauchisme, Reconquête investit 330 candidats aux élections législatives.

Dans le grand combat qui s'annonce, toutes les forces de droite, sans exception, doivent impérativement se mobiliser.

C'est donc avec le sens du devoir que nous allons nous lancer dans cette bataille cruciale pour la survie de notre pays.

330 candidats de Reconquête plus motivés que jamais, au regard de l’espoir que suscite cette dissolution, retourneront dès demain sur le terrain pour défendre les couleurs de la France.

Nous aurions voulu faire campagne dans une véritable Union nationale, mais le Rassemblement national a refusé à plusieurs reprises notre proposition que tant de Français appellent de leurs vœux.

Cependant, après avoir examiné avec attention la carte électorale, nous avons décidé de ne nous présenter que dans 330 circonscriptions sur 577, afin d'être certains de ne pas nuire aux autres candidats de droite engagés dans cette campagne.

Nous aurions pu concourir dans toutes les circonscriptions, mais il ne sera jamais dit que nous ayons fait quoi que ce soit qui puisse favoriser une victoire de l’islamo-gauchisme que j’ai combattu sans relâche pendant 30 ans.

Nous avons également refusé d’investir des candidats devant les artisans de l’union nationale.

Reconquête apporte donc son soutien à Eric Ciotti, Nicolas Dupont-Aignan, Christelle D'Intorni, Charles Prats ou encore Guilhem Carayon.

 

Notre sérieux est indiscutable et l’intérêt de la France passera toujours avant l’intérêt d’un parti.

Ce qui se joue dans ce scrutin, ce n’est pas tant la défense de notre parti, mais la défense de nos idées.

Par ces investitures, je fais le choix de continuer d’imposer dans le débat public, aux côtés de mes 330 candidats, les vérités qui ne seront portées par personne d’autre.

La France a besoin des vérités que Reconquête a à dire. L’Union nationale en a également besoin.

C’est également notre honneur de respecter et défendre les 1,3 million d’électeurs qui ont voté Reconquête pour les élections européennes, il y a une semaine à peine, face à tant d’autres listes.

Comme tous les Français, ils ont le droit de voir leurs idées représentées.

Je m'exprimerai davantage sur tous ces sujets demain.

Les Français peuvent compter sur nous pour tout donner, assurer la victoire de la France et garantir que cette victoire soit fidèle à leurs attentes.

 

 

lundi, 17 juin 2024

Alexandre Simonnot candidat du Parti de la France et de Reconquête dans le Val d'Oise

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Alexandre Simonnot, Délégué général du Parti de la France, sera candidat aux élections législatives, dans la 3e circonscription du Val d'Oise qui comprend la commune de Taverny dont il est Conseiller municipal.

Il part sous la double étiquette Reconquête-PdF, ce qui semble être (enfin) un signe de rapprochement concret avec la formation d'Éric Zemmour.

 

Alexandre Simonnot candidat de Reconquête dans le Val d’Oise

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Alexandre Simonnot, délégué général du Parti de la France, sera candidat aux élections législatives, dans la 3e circonscription du Val d’Oise qui comprend la commune de Taverny dont il est conseiller municipal.

Il part sous la double étiquette Reconquête-PdF, ce qui semble être (enfin) un signe de rapprochement concret avec la formation d’Éric Zemmour.

 

On se souvient que si le Parti de la France a toujours soutenu Reconquête, ce soutien a dérangé les plus frileux des partisans d’Éric Zemmour.

Personne n’a oublié qu’à Callac, sur ordre de Nicolas Bay, il a été demandé aux organisateurs de ne pas accepter les banderoles du Parti de la France, ce que Bernard Germain et Pierre Cassen ont refusé.

 

Un meeting parisien du Parti de la France, à quelques semaines du premier tour des présidentielles, en soutien à Éric Zemmour, avait aussi créé la panique dans l’équipe dirigeante d’Éric Zemmour.

 

Et lors des élections européennes, Marion Maréchal avait créé une polémique suite à des affiches du Parti de la France qui la soutenaient, contestant le contenu de l’une d’elles et refusant d’y être associée.

Elle avait même menacé le parti de Thomas Joly d’un procès.

Espérons, avec la situation nouvelle de Reconquête, une normalisation entre deux partis complémentaires, même s’ils ne cachent pas leurs divergences.

Par Jeanne Bourdillon      https://ripostelaique.com

 

ET AUSSI

23:36 Publié dans Législatives 2024

Pierre-Nicolas Nups, candidat du Rassemblement de la droite nationale dans la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle

17 Juin 2024 |

Le Parti de la France n’aura qu’un seul candidat lors de ces élections législatives mais pas des moindres : Pierre-Nicolas Nups, membre du Bureau politique du PdF et Délégué régional pour la Lorraine.

Il est le candidat du rassemblement de la droite nationale dans la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle (54) qui correspond à la ville de Toul et à ses alentours.

Il aura pour suppléant Alexandre Hinger, notre délégué national à la communication.

Pierre-Nicolas Nups : « J’ai l’honneur de vous annoncer qu’en l’absence de candidat présenté par le RN et Reconquête ou de toute autre formation patriote dans la 5e circonscription de Meurthe-et-Moselle, je serai candidat.

Dans la 5e circonscription, ce sera le Front Populaire islamo-marxiste contre le Front National de Jean-Marie Le Pen.

C’est ça et rien d’autre.

Votez Nups, pas NUPES ! »

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23:48 Publié dans Législatives 2024

 

 ET AUSSI

lundi, 17 juin 2024

Notre Ami Eric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen, candidat de la droite de conviction dans la 3e circonscription de Vendée

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00:02 Publié dans Législatives 2024

17/06/2024

SITE : LE NOUVEAU " PRÉSENT " UNE AIMABLE REVUE DE PRESSE ....

Sur le site Le Nouveau Présent, une aimable revue de presse

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François Solchaga, Le Nouveau Présent cliquez ici

Le regretté quotidien Présent avait plus d’une fois alerté son public sur la quasi-impossibilité de survivre, pour un média papier, s’il n’a ni annonceurs ni mécènes.

En outre, rappelait régulièrement le quotidien fondé par Madiran et Brigneau (et quelques autres), plus la périodicité est fréquente et plus la survie est difficile.

Le quotidien papier, qui ne reste en principe en vente dans les kiosques qu’une douzaine d’heures au mieux, qui traite de l’actualité de la veille, et qui sera déjà dépassé par l’actualité du lendemain, est le plus vulnérable des médias, d’autant que ses vrais concurrents sont la radio, la télévision, les sites d’info en ligne.

C’est bien pourquoi ne survivent aujourd’hui que quelques quotidiens nationaux ou régionaux, soutenus par des milliardaires (ou par la volonté de l’Etat), et intégrés à des groupes industriels et financiers, aucun ne reflétant une ligne proche de l’opinion des 40% de Français qui ont voté Bardella ou Maréchal le 9 juin.

Mais la presse papier, expliquait toujours Présent, se vend mieux quand sa durée possible de vente est plus longue : un hebdo est mieux loti qu’un quotidien, un mensuel qu’un hebdo.

Et un trimestriel, même à tirage modeste, peut survivre, face aux médias de l’instantané comme face aux médias classiques, qu’ils soient quotidiens, hebdomadaires ou mensuel.

 

Je voudrais évoquer précisément quelques trimestriels dont la longévité témoigne de la réalité de ce constat :

Poésie et tradition

La revue Altaïr se veut « périodique trimestriel de poésie et de tradition ».

Elle est imprimée en Belgique de façon plutôt modeste.

Mais grâce à quoi elle vient de fêter son 50e anniversaire.

C’est en effet en juin 1974 que Jean-Pierre Hamblenne a lancé ce périodique, qui a sorti son 200e numéro.

Altaïr publie de la poésie, et on imagine sans peine que le public, pour cette littérature-là, n’est pas extensible à l’infini. Mais ce trimestriel constitue une précieuse tribune pour les poètes : Louis de Condé, Joël Laloux, Jean Hautepierre peuvent ainsi diffuser leurs œuvres aux amateurs de ce genre littéraire plutôt négligé.

La revue a compté aussi dans ses rangs des poètes aujourd’hui disparus mais qui méritent qu’on se souvienne d’eux : Pierre Pascal ou Pierre Dudan, bien entendu, dont les œuvres continuent à vivre, Alain Didier, qui rédigeait aussi la critique théâtrale dans Présent, Le docteur Paul Thauziès, qui signait ses recueils de poésie et ses romans du nom de Jean Rimeize. Altaïr n’oublie jamais de republier des poèmes venus d’un passé plus lointain : Maurras, Déroulède etc.

C’est pourquoi la revue n’a pas été insensible à l’édition conjointe par les amis de Brasillach et les amis de Béraud d’un recueil illustré (et inédit) rédigé dans les prisons de Fresnes et de Saint-Martin-de-Ré, lors de l’épuration.

Cette publication fait en effet une large place aux poèmes des bagnards.

La « poésie carcérale » serait presque un genre à part entière. Pour ces poètes-là, en attente de leur jugement, voire de leur assassinat légal, chaque mot comptait, et suscite donc chez le lecteur, même 80 ans plus tard, un surcroit d’émotion.

« Valeurs dégénérées »

Autre revue trimestrielle à l’impressionnante longévité : Réfléchir et Agir, La couverture de son 82e numéro présente un dessin « art déco » ou « futuriste », pour illustrer son thème central : « l’économie de la puissance ».

Un dossier d’une quinzaine de pages.

La vision des auteurs, c’est que nous allons vers un affrontement global entre « l’Occident américano-sioniste d’un côté » et les autres, à savoir « un monde multipolaire » réfractaire aux « valeurs dégénérées ».

C’est un point de vue, qui a l’avantage de permettre de trancher facilement les questions géopolitiques.

Mais quand le monde se complexifie, devient multipolaire, précisément, cette vision assez gaullienne, en fait, risque de perdre de sa pertinence.

Nous n‘en sommes pas encore là, et ce dossier a le mérite de nous pousser à prendre de la hauteur et du recul, et il donne une vision d’ensemble qui, dans le long terme, ne manque pas de cohérence.

Je vous avouerais toutefois que, pour ma part, je commence toujours par lire, dans R&A, les brèves des premières pages, et par sourire aux dessins d’Adolf…

Quand une revue peut à la fois produire des dossiers fouillés et faire rire ses lecteurs, c’est que le produit est bon.

Dommage que R&A ait cessé d’être vendu en kiosque, mais cela illustre bien la difficulté à faire vivre une telle revue, même de qualité et ne faisant pourtant appel qu’à des bénévoles.

 

L’héroïque abbé Perrot

Troisième revue trimestrielle : Synthèse nationale.

Son format est celui d’un livre, sa présentation est celle d’une revue.

Son numéro 66 laisse supposer qu’elle a donc 16 ans d’existence, si le calcul est bon.

Ce numéro est largement consacré aux élections européennes, dont le lecteur connait à présent les sidérants résultats, et le tremblement de terre que cela a déclenché ! 

Synthèse soutenait Marion Maréchal, ce qui n’était pas un mauvais choix, même si le score de la liste Reconquête a été modeste.

Mais vous vous consolerez (façon de parler !) en lisant l’article sur l’héroïque abbé Perrot, qui fut assassiné par les communistes.

C’est une revue à soutenir, le dosage des articles politiques, littéraires, d’actualité ou historique est parfait.

Et grâce à son format et son dos carré, elle peut tenir verticalement dans votre bibliothèque.

Un vrai gain de place !

Altaïr, JP Hamblenne, BP19 – 1420 Braine L’Alleud (Belgique)

R&A BP 90825 31008 Toulouse cedex 6

Synthèse nationale BP80135 – 22301 – LANNION PDC

synthesenatioanle@gmail.com

NDLR SN : merci à notre confrère et ami Le Nouveau Présent pour cet article élogieux pour notre revue.

 

12:36 Publié dans Revue de presse

ÉCONOMIE ET ENVIRONNEMENT : LE SOLAIRE ET L' ÉOLIEN CONTRE PRODUCTIF ........

Le solaire et l’éolien sont contre-productifs pour l’économie et l’environnement

 
 
Eoliennes-Tétard Olivier-(CC BY-SA 2.0)
 
Publié le 16 juin 2024
 

Comment faut-il le dire ou l’écrire ? Comment argumenter, alors que c’est tellement simple à comprendre ?

Avant 2015, en France, on n’avait quasiment pas de panneaux solaires et pas d’éoliennes.

On avait du nucléaire, de l’hydraulique, des stations de pompage/stockage, et un peu de gaz et des restes de charbon.

En Europe, la France était de loin l’un des pays où l’électricité était la moins chère et émettait le moins de gaz à effet de serre (après les pays comme la Norvège, peu peuplés et riches en hydraulique).

En 2012, on a battu le record de production, à 102 GW. On pouvait encore améliorer ça à la marge, en arrêtant le charbon et installer un peu de gaz.

On peut alors se poser une question très simple : pourquoi fallait-il absolument changer la situation ?

Lorsque la question est posée aux institutions, comme par exemple lors de la précédente consultation sur la Programmation pluriannuelle de l’Énergie, il y a toujours le même élément de langage qui est servi, et qui a même été repris plusieurs fois par le président de la République.

« Il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier, et avoir des filières de secours en cas de risque systémique sur le nucléaire »

Cet argument est absurde : le solaire et l’éolien sont intermittents et aléatoires, en aucun cas ils ne peuvent secourir une filière qui, par ailleurs, a alimenté les Français sans problèmes depuis 40 ans.

Car on ne le répétera jamais assez : il y a des nuits d’hiver sans vent sur toute l’Europe. Il suffit de consulter « eCO2 mix » (RTE) ou « Energy charts » (Fraunhofer) pour le constater.

Ce qui compte, c’est d’avoir un réseau pilotable à tout moment, et dimensionné pour assurer la totalité des besoins à la pointe (en général une nuit d’hiver froide).

Cela résulte du caractère physique de l’électricité : à tout instant, l’offre doit égaler la demande. On doit construire des kW pilotables, (la puissance) et les kWh (l’énergie) suivront.

D’ailleurs, à long terme, à combien compter la puissance installée en éolien et en solaire ? 

La plupart des pays la compte quasiment à zéro.

À titre d’exemple, avec 158 GW de solaire et d’éolien, l’Allemagne a gardé 86 GW de puissance pilotable (charbon, lignite, gaz, hydraulique, fioul, biomasse…) pour une consommation à la pointe d’un peu plus de 80 GW.

Une autre antienne entendue souvent : c’est trop long de construire du nucléaire, donc dépêchons-nous d’ériger des éoliennes et des panneaux, car c’est rapide.

Oui, mais ça ne change rien quand il n’y a pas de vent la nuit !

 

Alors, finalement, à quoi ça sert ?

Sur le plan économique

On voit une convergence des coûts entre le nucléaire et l’éolien, de l’ordre de 80 euros/MWh, encore qu’il faudra regarder de près les coûts de maintenance de l’éolien en mer.

Pour le solaire, on est encore à 110 euros/MWh, malgré le dumping des chinois.

Mais on ne peut comparer un MWh pilotable à un MWh fatal et intermittent. Il faudrait sans doute affecter à sa valeur sa probabilité de faire défaut à tout instant d’un horizon  temporel donné (on a vu qu’à très long terme, elle est certaine).

Rappelons d’ailleurs que lorsqu’on veut comparer les investissements, le MWh nucléaire est bâti pour 60 ans ou plus, l’éolien et le solaire pour 30 ans, au mieux.

Et le rapport entre investissement (les GW) et production (les GWh), est de 90 % pour le nucléaire, 25 % pour l’éolien et 12 % pour le solaire…

On ne voit donc pas d’intérêt économique aux ENR intermittentes en France. Pire, leurs caractéristiques de variabilité va, à terme, nous imposer des centrales pilotables spécialement dédiées pour suivre cette variabilité.

Bref, on va investir deux fois : une fois en moyens pilotables (y compris stockage, si un jour c’est possible, ce dont on peut douter), une fois en ENR.

Les moyens pilotables étant indispensables, les ENR apparaissent comme un surinvestissement. Elles rapporteraient si leur coût complet par MWh (investissement plus exploitation) était inférieur au coût marginal des moyens pilotables.

Comme ceux-ci sont à majorité nucléaires, leur coût marginal (maintenance et combustible) est très faible. L’intérêt économique des ENR est donc très faible, voire nul.

Pire, tout kWh produit par les ENR ne sera pas produit par les centrales pilotables. Celles-ci, produisant moins, rentabiliseront moins bien leurs investissements, et leur coût complet par MWh augmentera.

Pour les contribuables et les consommateurs, c’est la double peine !

Sur le plan environnemental

Le bilan est catastrophique. Les émissions de CO2/MWh sont de 6 g pour le nucléaire et l’éolien, plus de 30 g pour le solaire, si on tient compte des émissions à la construction. Il n’y a donc pas de gain en matière climatique.

Et c’est bien pire en consommation de matière. D’abord à cause du doublement effectif de l’investissement, mais surtout à cause du caractère diffus de la production des ENR et de l’intermittence.

Non seulement il faut géographiquement plus de câbles, de postes haute tension etc. mais en plus ils sont mal rentabilisés, puisqu’on installe des capacités quatre ou dix fois ce qu’elles vont vraiment transporter par rapport aux moyens centralisés pilotables.

Que d’acier, de cuivre, de matériaux composites, de béton gaspillés !

 

Un sujet technique dans le champ politique

Le sujet est technique et factuel.

Contrairement aux débats de choix de société, pour lesquels il n’existe pas de réponse rationnelle, le choix de notre mix énergétique devrait rejoindre le champ du factuel et du réel ; or, les quelques arguments ci-dessus sont sans appel : avec du nucléaire, nul besoin d’énergies intermittentes. Et même sans nucléaire, il est facile de montrer que les énergies fossiles demeurent indispensables : l’Allemagne en est l’exemple criant.

Il est extrêmement dommageable pour la politique qu’un sujet technique devienne clivant. Les gagnants à terme seront ceux qui auront défendu ce que le mur des réalités ne manquera pas de démontrer. Indépendamment de leurs propositions politiques et sociétales, qu’on les approuve ou pas.

 

Dès lors, il est important  de se poser une question très simple, encore et encore : pourquoi fallait-il absolument changer ce qui nous allait très bien ?

TRAGI-COMÉDIE : LA DISSOLUTION , UNE CHANCE POUR LA FRANCE ?

DISSOLUTION : UNE CHANCE POUR LA FRANCE


 

Après la gifle électorale des élections européennes, nous voici pas loin de la tragi-comédie (lire les articles de Jean Goychman et Gilles La Carbona)

Spontanée ou planifiée, épidermique ou stratégique, la décision de Macron de dissoudre l’Assemblée Nationale n’aura pas manqué de surprendre. 

Il s’agit maintenant de s’organiser pour optimiser cette situation nouvelle.

Car elle peut être la meilleure ou la pire des choses.

Le système électoral majoritaire à 2 tours avait pour vocation initiale d’éviter les crises parlementaires telles que la France en avait connues sous la IV° République, obligeant les partis à s’organiser avant le scrutin pour conclure des accords de gouvernement. 

Ne restent en effet en compétition au 2ème tour que les 2 candidats arrivés en tête au premier tour.

Ce qui présuppose une répartition modulée et optimale des candidats, circonscription par circonscription, et donc éventuellement un accord global avant le 1ertour.


Experts en tripatouillage en tous genres, Mélenchon et sa clique vont s’efforcer d’organiser en quelques jours la résurrection de la NUPES, sous une forme ou sous une autre, la volonté des sortants de conserver leur siège faisant office de motivation principale. Objectif : être présent au 2ème tour pour avoir des chances d’être élu !

Le tout agrémenté d’un peu de sauce antisémite pour complaire à leurs nouveaux amis antisémites…

Je leur propose un titre « Gauche Unie du 7 octobre ».

Pour ce qui concerne la Droite, qui, espérons le, va perdre à cette occasion son titre de « plus bête du monde », il lui faut un puissant moteur, un objectif commun et surtout, impérativement, la mise au rebut des rancœurs et des règlements de comptes. 

 

Pour réussir, l’objectif doit être bien plus noble à cette occasion, et susceptible d’être compris par le cœur du Peuple Français qui n’attend que ça, après tant d’années années de misères et de désespérance. 

Non pas un programme ; encore moins un slogan ; mais un PROJET. 

Un PROJET ambitieux et à la mesure de la situation : SAUVER LA FRANCE.

Tout le reste en découlera naturellement. La politique migratoire, la gestion budgétaire, la politique sociale, la santé, l’éducation nationale, la politique étrangère, la sécurité intérieure, l’apurement de la dette… 

Observez et analysez bien attentivement, mes chers compatriotes : partout, quel que soit le sujet, tout ce qui a été fait depuis Hollande – et pire encore sous Macron -, tout a eu pour effet de détruire encore un peu plus notre pauvre France…

« Tout ce qui monte converge », écrivait Teilhard de Chardin.

Écoutons pour une fois cette inspiration spirituelle et ne plongeons pas dans de minables petits accords précipités et opportunistes entre partis. 

En ayant, comme les meilleurs de nos illustres prédécesseurs, la France comme boussole, nous ne pourrons pas nous tromper. Tous les patriotes sensés savent d’ailleurs maintenant très bien ce qu’il convient de faire.

Il suffit d’observer combien notre Patrie, en un demi-siècle, s’est effondrée sur tous les plans ; combien la violence s’est abattue sur nos villes, nos villages et nos campagnes ; combien la qualité de vie s’est dégradée ; et ne parlons pas de l’effondrement de notre ancienne puissance industrielle et économique…

Ne passons pas à côté de l’Histoire, nous rappelle prosaïquement Éric Zemmour. J’ajouterais qu’il n’est pas nécessaire d’espérer pour entreprendre, ni de réussir pour persévérer !


PS… Aux dernières nouvelles on apprend que Macron aurait mis dans la confidence Ursula von der Layen de sa décision de dissolution de l’Assemblée Nationale (information parue dans le magazine allemand Bild). Si cette information était confirmée, voilà qui en dirait long sur la perversion voire la trahison du chef de l’État.

 

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Ce texte est une Tribune Libre qui n’engage que son auteur donc en aucun cas Observatoire du MENSONGE

 

La dissolution de tous les périls

La dissolution brutale voulue par Emmanuel Macron est un coup de poker dangereux.

Par Le Citoyen Lambda


La dissolution brutale voulue par Emmanuel Macron est un coup de poker dangereux.


En effet, la gauche radicale, raciste, nihiliste et antisémite pourrait ainsi accéder au pouvoir.


Ce serait la pire des catastrophes envisageables aujourd’hui, surtout lorsque l’on sait la situation économique de la France actuellement.

Dans une ère marquée par l’instabilité politique, l’émergence d’une opposition fragmentée soulève des menaces tangibles.

L’inaction de la présidence actuelle alimente les débats, tandis que le souffle ardent contre la gauche et la quête effrénée pour une nouvelle force de contestation dominent le paysage public.

Les périls de l’opposition

La dissolution de tous les périls n’est pas un rêve facile à réaliser. En particulier, lorsque ces dangers proviennent d’un des piliers essentiels de notre société : l’opposition politique.

D’après une enquête menée par Science Daily en 2018, l’opposition est souvent perçue comme une menace pour la structure sociale existante.

Cela est attribuable au conflit généré par le clash des idées divergentes et contradictoires qui sont inévitablement présentes dans une démocratie dynamique.

Ce conflit interne peut rapidement se métamorphoser en antagonisme manifeste, compromettant ainsi la cohésion de la société.

  • Bien que cette force contestatrice soit nécessaire.
  • Elle engendre un désaccord sur divers sujets politiques.
  • Générant ainsi un sentiment général d’insatisfaction et de fracture sociale.
  • Non seulement du côté de ceux fermement opposés à tout ce que propose le gouvernement.
  • Mais aussi parmi les citoyens ordinaires dont certains éprouvent des difficultés à trouver leur place dans cette lutte constante entre points de vue conservateurs et progressistes.

On ne peut faire abstraction du rôle croissant des mouvements citoyens dans l’opposition notamment à gauche.

Ces derniers insufflent encore plus d’énergie conflictuelle dans la politique contemporaine, rendant plus délicate toute tentative pacifique pour résoudre le problème.

L’idéal serait d’orienter cette énergie vers un dialogue constructif plutôt qu’un affrontement destructeur. Malheureusement, il semble que nous soyons très loin d’atteindre cet objectif aujourd’hui.

 

L’analyse de la présidence actuelle

Le décryptage des faiblesses du pouvoir

Avec l’avènement d’un gouvernement qui semble obscurci par les ombres de ses propres insuffisances, il est impossible de passer sous silence la critique acerbe de la politique actuelle.

Les lacunes sont tellement profondes qu’elles paraissent avoir suivi le sentier tortueux de la spirale descendante. Le président, au centre de cette tempête, lutte sans grande conviction pour maintenir une illusion d’équilibre. L’étatisme chronique et une obsession inhabituelle pour l’élection ont conduit à un ensemble de décisions politiques déconcertantes.

L’examen du discours présidentiel

En analysant attentivement le discours présidentiel, il apparaît clairement que sa rhétorique cherche à camoufler les incohérences du gouvernement derrière un voile habilement tissé de belles phrases.

Ses engagements non tenus suscitent cynisme et méfiance chez ceux qui perçoivent clairement son stratagème.

Son style oratoire raffiné peine à masquer l’inertie politique derrière chaque mot prononcé.

C’est un exercice dangereux que celui où nous naviguons en eaux troubles tout en cherchant désespérément la dissolution totale des risques.

La mobilisation contre la gauche

L’écho de la dissolution de tous les périls est une symphonie lointaine face à la mobilisation contre la gauche.

Ces réactions collectives, gravées dans l’histoire politique française, sont marquées par une contestation silencieuse et un boycott massif des urnes.

La résistance se niche profondément dans le tissu social français pour affirmer son existence. Cette tendance appelle à une insurrection citoyenne face au visage progressiste et libéral de Macron déterminé à poursuivre un conflit sans trêve.

Une étude publiée en 2020 par Harvard Business Review établit un lien entre polarisation politique et performances économiques nationales.

La crise actuelle en France pourrait donc être perçue non seulement comme un combat idéologique mais également comme potentiel vecteur ou frein économique pour notre pays.

L’idéal serait d’avancer vers une société où le dialogue prime sur les oppositions radicales afin d’améliorer le climat socio-économique français.

Aucune voix ne peut prédire l’issue de ce spectacle électoral atypique. Nous pourrions assister à l’émergence d’un nouveau paradigme politique, ou être contraints de revivre des schémas incessants de contestations.

Seul le temps répondra à ces questions cruciales pour l’avenir national.

La promotion d’une nouvelle opposition

Consolidation du Dialogue Interne

L’heure est à l’alternance. Confrontée aux défis, la nouvelle opposition opte pour le renouvellement et l’apaisement des interactions.

Elle promeut le dialogue interne comme un outil essentiel pour la transition vers une organisation plus robuste.

  • Priorité au débat constructif
  • Résolution des différends internes
  • Partage de perspectives diversifiées
  • Inclusion de toutes les tendances d’opinion
  • Mise en commun des compétences individuelles

 

Valoriser nos Atouts

Cette transformation n’est pas une négation totale du passé à condition que la droite remporte largement cette nouvelle élection :

À condition qu’une fois au pouvoir, elle fasse une nouvelle politique et ne cède ni à la rue ni aux médias.

Seul un vrai changement pourra apporter un vrai plus aux Français désabusés et pour beaucoup en colère de constater que leur pays s’écroule sous les coups de la gauche. Et là, il y a véritablement urgence à agir!

 

Par Le Citoyen Lambda

 

Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier: Le Citoyen Lambda pour Observatoire du MENSONGE

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LÉGISLATIVES : HARO SUR LE MACRONISME ET LES ISLAMO-GAUCHISTES ......

Législatives : le Parti de la France appelle à faire battre islamo-gauchistes et macronistes

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Un communiqué du Parti de la France :

Mercredi 12 juin, le Bureau politique du Parti de la France s'est réuni pour faire le bilan des élections européennes et se positionner dans le cadre des élections législatives provoquées par la dissolution de l'Assemblée par le Président de la République dès dimanche soir.

En quelques jours, nous assistons à une recomposition fulgurante de la classe politique française sur fond de trahisons, émancipations, tragi-comédies et autres séquences lunaires relevant parfois du Vaudeville ; notamment l'implosion spectaculaire mais tellement prévisible de Reconquête.

 

Trois pôles se dégagent : la gauche hétéroclite qui rassemble de Trotsky à Mahomet, une solide coalition RN-LR qui incarne désormais la droite, les débris agonisants du macronisme et des Républicains émasculés dont l'union est loin d'être faite.

Pour des raisons financières, logistiques et même stratégiques, le Parti de la France n'aura pas de candidats lors de ces élections législatives provoquées à la hâte et pénalisant lourdement les petites formations.

Le Parti de la France a donc pris la décision d'inviter ses adhérents et sympathisants à apporter leur suffrage, au 1er tour le 30 juin, au candidat qu'ils estiment être le plus radical face au Grand Remplacement qui demeure l'enjeu essentiel pour la survie de notre civilisation.

Pour le 2nd tour, il faudra impérativement faire barrage aux candidats islamo-gauchistes ou macrono-centristes en votant pour le représentant de la coalition RN-LR, quels que soient les doutes que l'on peut avoir sur ces deux formations.

Au cours de cette campagne-éclair, le Parti de la France ne manquera pas d'occuper le terrain avec une nouvelle campagne d'affichage choc sur ses thématiques identitaires.

Ces élections législatives, qui suscitent un immense enthousiasme populaire auprès de l'électorat patriote, peuvent être l'opportunité d'un bouleversement politique historique. C'est peut-être une occasion qui ne se représentera pas de sitôt et il serait criminel de ne pas la saisir.

 

19:06 Publié dans Communiqués de presse, Législatives 2024

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L' ENTRETIEN DE MARION MARÉCHAL DANS LA PRESSE .....;

samedi, 15 juin 2024

Entretien avec Marion Maréchal publié dans Valeurs actuelles

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Par Sébastien Lignier

Valeurs actuelles cliquez ici

Que ressentez-vous après la décision d’Eric Zemmour de vous exclure de Reconquête ?

Des regrets face à ce qui a ressemblé à un grand déballage en public ou un soulagement de mettre derrière vous une aventure qui aura été douloureuse ?

 

Marion Maréchal. C’est évidemment un immense gâchis, mais aussi beaucoup de tristesse.

Je n’avais pas fait un choix aussi difficile lors de la présidentielle de 2022, en imaginant une telle issue.

Néanmoins j’assume mes responsabilités.

Oui après le malheureux échec d’un accord entre le RN et Reconquête deux options s’offraient à nous : soit nous présentions malgré tout un maximum de candidats Reconquête aux législatives au risque que ces candidatures de division renforcent la coalition des macronistes et celle de l’extrême gauche, soit nous renoncions à présenter des candidats et nous soutenions les candidats de la coalition Bardella-Ciotti.

Éric Zemmour a choisi unilatéralement la première option.

J’ai choisi la deuxième car je considère que l’intérêt du pays doit primer sur l’intérêt des partis.

Je ne prendrai pas la responsabilité que des candidatures Reconquête coûtent les quelques députés qui pourraient faire la différence pour que le bloc national l’emporte.

 J’ai passé la campagne des européennes a alerté les Français sur le risque de disparition de notre pays.

Il faut être cohérent et nous hisser à la hauteur des évènements.

La menace est immense, le 7 juillet ce sera soit le bloc national soit l’extrême gauche coalisée.

L’espoir ou le cauchemar.

 

A titre personnel, je regrette les mots inutilement blessants de « trahison » et de « regroupement familial des Le Pen » employés par Éric, tout comme je regrette qu’il ait tenté de ramener un désaccord politique de fond entre nous à une simple question familiale entre Marine Le Pen et moi.

C’est sans doute facile à vendre, et plus confortable, mais ça n’en est pas moins faux. 

Laurence Trochu, Nicolas Bay ou Guillaume Peltier ne sont pas les neveux et nièces de Marine Le Pen ; deux d’entre eux sont issus de LR et ont occupé des fonctions auprès de Nicolas Sarkozy ou François Fillon.

Et pourtant, tous les trois étaient à mes côtés pour lancer notre appel à refuser la division et à soutenir les candidats d’union LR-RN pour battre Macron et la coalition d’extrême gauche.

 

Le président de Reconquête vous accuse d’avoir négocié « en catimini » avec le RN, sans jamais lui en avoir rendu compte.

Que répondez-vous à ces accusations ?  

Il a été informé immédiatement de ma volonté de négocier puisque j’ai lancé un appel à Marine Le Pen, Éric Ciotti et Nicolas Dupont-Aignan le soir même de mon élection, dimanche soir.

Dès lundi je rencontrai publiquement Marine Le Pen et Jordan Bardella tandis que la direction de Reconquête, sans nous prévenir, mobilisait déjà les fédérations du parti pour préparer des candidatures.

J’ai réclamé la réunion d’un Bureau exécutif de Reconquête! dès lundi soir pour justement faire état des échanges lors de cette rencontre.

J’ai dû insister pour qu’il soit réuni, et lorsque ce fut finalement le cas mardi après-midi, c’était en fait déjà trop tard : malgré mes efforts, l’accord n’avait pas pu aboutir.

 

Éric Zemmour est-il devenu selon vous un frein à « l’union nationale » qui s’organise autour du Rassemblement national ?

Pendant toute la campagne des élections européennes, j’ai souhaité concentrer mon énergie et mes attaques vers le camp macroniste et les candidats de gauche.

J’ai toujours distingué les concurrents des adversaires, ce qui ne m’a pas empêché de marquer clairement ce qui nous distingue politiquement du RN.

Dans une forme de campagne parallèle, assez désagréable et brouillant le message, des attaques bien plus violentes, parfois même caricaturales ou outrancières, ont été développées dans les médias ou sur les canaux numériques du parti par la présidence du mouvement et une partie de la direction.

Je considérais pour ma part qu’elles étaient non seulement inopérantes électoralement – cinq minutes passées sur un marché suffisaient à convaincre que ce n’était pas ce que souhaitaient les électeurs – mais qu’en plus cela pouvait contribuer à rendre difficiles les nécessaires synergies à venir.

Je ne peux que constater que la suite des événements, et le refus du RN de conclure un accord avec Reconquête en raison de l’attitude d’Éric Zemmour, m’ont donné raison.

Je le regrette profondément car les électeurs de Reconquête auraient mérité d’être représentés dans cette coalition des droites par un accord électoral respectueux du courant de pensée que nous représentons.

 

Combien de personnalités politiques issues de l’écosystème Reconquête sont prêtes à vous rejoindre ?

Les cadres, militants et adhérents de Reconquête sont des gens admirables.

Cette rupture soudaine est humainement très difficile pour beaucoup, surtout après 9 mois d’une campagne européenne où ils se sont beaucoup donnés.

Je comprends que certains aient encore besoin de temps pour mesurer les enjeux et prendre position.

 

Depuis notre appel à refuser la division et soutenir les candidats de l’union nationale, désormais relayé sur le site jesoutienslunion.frdéjà près de la moitié des délégués départementaux ont manifesté, à divers degrés, leur soutien.

Certains ont démissionné, en réaction à notre exclusion, d’autres encore ont fait part de leur refus de présenter des candidats dans leur département.

 

Par ailleurs, notre appel a aussi été rejoint par de nombreux élus de Reconquête, parmi lesquels le sénateur des Bouches-du-Rhône, Stéphane Ravier.

Au-delà des cadres, nous avons eu des milliers de témoignages spontanés de soutien, venant d’ailleurs bien entendu de nos rangs, mais aussi de sympathisants RN ou LR.

 

À titre personnel, vous avez annoncé votre intention de ne pas vous présenter aux législatives. Pourquoi ?

Quelle sera votre place dans la campagne qui s’ouvre ?

Je ferai campagne, tant dans les médias qu’auprès des Français, pour faire gagner le bloc national et battre le bloc macroniste et l’extrême gauche.

Je ne serai en revanche pas candidate, car j’ai été élue au Parlement européen par 1,4 million de Français voici à peine 5 jours.

C’est cette mission qu’ils m’ont confiée que je veux assurer en priorité.

Avec nos trois autres députés européens, je ferai la semaine prochaine mes premiers pas à Bruxelles, où j’ai hâte de retrouver nos alliés du groupe des Conservateurs et de me mettre au travail pour défendre notre civilisation et les intérêts de la France.

Dans tous les cas, je n’abandonne pas les Français qui m’ont fait confiance et continuerai de mener les combats nécessaires.

 

Vous avez toujours assumé votre refus de revenir au RN.

Votre position peut-elle évoluée au vu de la situation politique inédite ?

Je le redis clairement : mon soutien aux candidatures du bloc national ne signifie pas mon ralliement au parti Rassemblement national, contrairement à ce qui a pu être dit par certains.

Je n’ai pas dévié de mon projet :  bâtir la force de droite authentique qui manque à notre pays.

Une force clairement attachée à la préservation et la transmission de notre identité, tout en assumant une vision économique de droite et défendant nos valeurs face à toutes les formes de déconstruction.

Une force qui travaille à l’union nécessaire pour assurer la victoire, comme c’est le cas dans tous les pays d’Europe où des coalitions des droites, portant des idées proches des nôtres, gouvernent désormais.

C’est dans cette optique que j’ai rejoint Eric Zemmour lors de l’élection présidentielle, c’est dans cet objectif que je me suis investie dans Reconquête! ensuite, c’est pour cela que j’ai mené notre liste lors des élections européennes.

 Et je continuerai à travailler dans cette direction avec tous ceux qui partagent cet objectif.

 

En faisant le choix de l’union, je reste fidèle à la promesse initiale de Reconquête et comprends d’autant moins mon exclusion du parti suite à ce choix. 

Personne n’oublie qu’Éric Zemmour, lui-même et c’est tout à son honneur, a prôné pendant vingt-cinq ans l’union des droites.

Je regrette qu’en cet instant historique où il faut la mettre en place en unissant les forces et les votes, il veuille l’empêcher en présentant malgré tout des candidats Reconquête.

 

Comment réagissez-vous à la décision d’Eric Ciotti de s’allier au Rassemblement national…et au psychodrame au sein des Républicains à la suite de cette annonce ?

L’heure de vérité a-t-elle sonné pour la droite ?

Je salue cette décision courageuse, attendue par de nombreux électeurs de LR et démontrant le fossé existant désormais avec la majorité des dirigeants de ce parti, y compris ceux qu’on aurait imaginés plus solides et cohérents face aux événements.

 

Désormais les masques tombent chez LR entre ceux qui ont vraiment à cœur l’intérêt de leur pays et ceux qui en sont encore aux petits calculs personnels et politiciens.

 

21:32 Publié dans Législatives 2024, Revue de presse

 

Le sénateur Stéphane Ravier soutient la démarche de Marion Maréchal

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Source :  http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2024/06/15

EMANNUEL MACRON LE MACHIAVEL DE LA 5ème RÉPUBLIQUE !

Comment Machiavel pourrait entuber tout le monde

Ceci n’a rien d’un article de fond, mais une simple réflexion.

Évidemment, vous allez me dire que je suis un abominable complotiste.

Admettons. Mais je vous pose deux questions :

– Pensez-vous vraiment que Macron va se laisser humilier une deuxième fois après une nouvelle victoire du RN aux élections législatives, en acceptant une cohabitation ?

– Ne trouvez-vous pas bizarre que Hollande, ancien président de la République, décide soudain de briguer un siège de député en Corrèze, le nombril du monde comme chacun sait, en clamant que la France est en danger ?

Il a été investi le jour même de sa candidature par le Front populaire bis. Ce retour en politique par la petite porte est curieux.

On sait que la majorité sortante n’a aucune chance de rafler la mise le 7 juillet. Tout va donc se jouer entre le RN, crédité de 35 % et le Front Populaire donné à 25 ou 28 %.

Ce que Macron n’accepte pas.

 

Il a déclaré récemment :

“Ce ne sont jamais les formations politiques qui dictent  le choix du président de la République”

On l’a vu avec Jean Castex et Élisabeth Borne qui n’appartenaient pas à la majorité quand Macron les a placés à Matignon.

En effet, ce dernier n’est nullement obligé de choisir comme Premier ministre le leader du parti arrivé en tête.

Quel que soit le gagnant, RN ou Front de gauche, Machiavel peut très bien désigner Hollande comme Premier ministre.

Et Macron aura sauvé son mandat en plaçant un homme à lui à Matignon.

Et qui va s’y opposer ? Personne, par peur des extrêmes.

Les LR anti-Ciotti applaudiront, ainsi que toute la gauche si le RN arrive en tête.

Toute motion de censure déposée par Marine Le Pen n’aura aucune chance d’aboutir.

Chez les députés, le front anti-RN fera barrage.

Vous y voyez un viol de la démocratie ?

Franchement, c’est le cadet des soucis de Macron, qui gouverne contre le peuple depuis sept ans.

https://www.nordlittoral.fr/213005/article/2024-06-14/leg...

 

Tout cela n’est qu’un délire de complotiste ?

Possible, mais depuis l’affaire Benalla et l’escalade que mène Macron contre Poutine, sans l’aval du Parlement ou du peuple, tout le monde sait que la République et la France se résument à Macron et lui seul.

Rien ne l’arrête.

S’il est persuadé d’avoir pris la bonne décision en choisissant la dissolution, c’est qu’il va nous sortir un lapin de son chapeau pour reprendre la main et éviter une humiliante cohabitation.

Par Jacques Guillemain

 

ET AUSSI

 

Des élections législatives impossibles ?

Macron annonce la dissolution de l

La presse ne dit pas tout, très loin de là. Après les deux premiers recours contre la tenue des élections législatives, les journalistes nous ont annoncé d’autorité que l’élection aurait lieu.

Pourquoi ? Parce que les quelques contradictions avec le code électoral n’avaient pas d’importance. Le droit constitutionnel du Président est, de droit, supérieur. Circulez !

Si la chose était si simple, le Conseil constitutionnel aurait sans doute déjà donné son avis depuis mardi dernier.

Le premier mensonge tient au nombre des recours. On nous a parlé du 3e de LFI, mais pas du 4e ou du 5e et des suivants. La Gazette du Palais, toujours bien informée, annonce 8 recours supplémentaires soit au total une dizaine. Cela fait beaucoup et les sujets abordés sont complexes, techniques et mettent le Conseil constitutionnel en difficulté.

Le deuxième mensonge tient à la complexité de l’affaire des 20 jours. Sans entrer dans le détail des controverses juridiques, le délai de 20 jours pleins ne serait pas tenu pour les territoires ultramarins.

Il faudrait invoquer l’intérêt général pour que les ultramarins ne bénéficient pas du délai légal et universel au nom de l’égalité pour avaler la couleuvre. Difficile !

Le troisième mensonge tient à la faisabilité matérielle de l’élection. Les syndicats des imprimeurs et le ministère de l’Intérieur travaillent, parait-il, à vérifier sa faisabilité.

La France produit peu de papier. Elle l’achète à l’étranger, dont les pays scandinaves. Il faut les stocks, la production, puis le transport pour approvisionner les imprimeurs, puis imprimer, mettre sous pli et envoyer aux électeurs et transporter vers les bureaux de vote.

Il semblerait que le syndicat ait annoncé que la chose était impossible. Il semblerait que les discussions tiennent à la réalité des opérations. Cela expliquerait la prudence du Conseil constitutionnel.

Il ne peut se ridiculiser en congédiant les recours, puis constater que les élections sont faussées par l’absence d’envoi des enveloppes et l’indisponibilité des bulletins de vote dans des circonscriptions.

Le quatrième mensonge tient à la sincérité de la démarche présidentielle. Pourquoi dissoudre là et choisir les 20 jours, soit une précipitation bien antidémocratique puisqu’elle interdit, une fois encore, un débat serein ?

En effet, si la logistique s’avère impossible ou si la qualité des recours est réelle, le Conseil constitutionnel devra juger que le délai n’est pas tenable ni légal. Toutefois, il faudrait respecter l’injonction présidentielle.

Tenez-vous bien. Il faudrait voter un jour férié, le 14 puis le 21 juillet. Pourquoi ?

Parce que le 28 juillet est hors délai des 40 jours.

Dans une telle circonstance, l’insincérité folle du Président serait manifeste, puisqu’elle obligerait les électeurs de voter un jour férié, beaucoup étant déjà en vacances, et les délais pour faire des procurations individuelles impossible à tenir. Le vote serait confisqué !

Le cinquième mensonge tient à la volonté présidentielle.

Avons-nous face à nous un président encore responsable avec une telle situation ?

Avons-nous un malade qui est prêt à mettre en péril tout un pays qui a osé le contrarier ? Il est évident que tout cela démontre que Macron sème le chaos, indigne de sa fonction et dangereux pour le pays.

J’en retiens pour ma part quelques idées simples.

La première, que nous devons urgemment quitter définitivement un régime présidentiel qui nous fait dépendre de la volonté d’un seul homme. Au 3e millénaire, c’est inacceptable.

La deuxième, que nous devons lui infliger la plus grande sanction possible lors de ces élections.

La troisième, que tout cela démontre qu’il sera impossible de cohabiter ; il faut le contraindre à la démission ou le destituer. La dernière, que face à tant de malhonnêteté, il faudra limiter les pouvoirs du Conseil constitutionnel aussi ; car comme nous il sait, depuis mardi.

Par Pierre-Antoine Pontoizeau

 

Source et Publication : https://ripostelaique.com/

 

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