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29/05/2024

ÉLECTIONS EUROPÉENNES : LA CAMPAGNE DE LFI FINANCÉE PAR L' UNIVERSITÉ .........?

 

VERS UN RETOUR DES MILICES EN NOUVELLE-CALÉDONIE OU MÉTROPOLE ?

Métropole ou Nouvelle-Calédonie : serait-ce le temps des milices ?

 
 
Publié le 28 mai 2024
 

En une semaine, on découvre par exemple que des récidivistes multi-condamnés sont trimballés dans de petites fourgonnettes de prisons en tribunaux avec une protection minimaliste, ceci permettant les actions les plus violentes aboutissant à la mort de trois personnels pénitentiaires lors d’une évasion sanglante.

On découvre de même qu’étrangler une contrôleuse SNCF peut entraîner de la prison avec sursis à condition d’être un migrant irakien déjà mis en cause dans cinq faits précédents (normalement, c’est de la prison ferme – la République s’adapte).

On découvre aussi que les règlements de compte continuent jusque dans les rues de la capitale, en plein jour, avec cet homme abattu de plusieurs balles tirées par un assaillant repartant sur un scooter, sous le regard médusé des habitants de ce quartier « pourtant tranquille » du XXe arrondissement.

Heureusement que le port d’arme est sévèrement contrôlé en France, sinon ce genre de fusillades aurait lieu plus souvent.

Tout ceci en quelques jours, on ne pourra qu’apprécier la performance du pays qui semble actuellement au taquet pour occuper ses habitants.

 

Mais ce n’est pas tout, puisque les festivités dépassent largement le cadre de la Métropole puisqu’on découvre enfin que le processus démocratique entraîne parfois quelques petites frictions du côté de la Nouvelle-Calédonie.

Sur cette province française de l’autre bout du monde, depuis 1988, ne peuvent voter que les habitants (français) qui justifiaient déjà de dix années de présence sur l’île au moment de l’accord de Nouméa, et leurs descendants, en excluant les habitants arrivés après 1988, alors que le nombre de ces « nouveaux » arrivants ne cesse de croître jusqu’à représenter plus de 20 % du corps électoral ordinaire.

Or, le gouvernement a déposé fin janvier un projet de loi qui mettrait en place un corps électoral « glissant », pérennisant l’existence de citoyens français « de seconde zone » dans un en même temps si délicieusement macronien qu’on ne peut s’étonner qu’il explose ainsi en vol avec dégâts

. On pourra lire avec profit l’article de Contrepoints consacré à la question.

C’est en tout cas, et officiellement, ceci qui a déclenché les émeutes qui mettent actuellement le Caillou à feu et à sang : plusieurs gendarmes et civils ont été tués dans ce qui ressemble de plus en plus à une véritable insurrection armée.

 

De façon comique, ce qui se passe du côté de Nouméa, à quelques semaines d’élections européennes déjà fort polarisées, pousse certains politiciens dans des retranchements idéologiques de plus en plus exigus : on comprend sans mal que, pour eux, il est absolument indispensable de soutenir cette partie des Kanaks qui, pour lutter contre leur grand remplacement par des étrangers français, européens et maintenant asiatiques et australiens, réclament essentiellement la mise en place d’un droit du sang, et veulent donc interdire le droit de vote des étrangers aux élections locales.

 

Cependant, les mêmes gauchistes se retrouvent alors entortillés dans leurs contradictions lorsqu’on leur fait remarquer qu’un nombre croissant de Français métropolitains réclament essentiellement la même chose (le droit du sang et l’interdiction du droit de vote des étrangers dans les élections locales) pour essentiellement les mêmes raisons, une lutte contre un grand remplacement que ces gauchistes n’hésitent pas alors à qualifier de théorie du complot, avec l’aplomb que seuls les cuistres imbéciles et les idéologues peuvent se permettre…

Mais au-delà de ces considérations politiques, il apparaît que les violences locales se développent à la faveur de la même impuissance des autorités que celle qu’on avait pu observer, consternés, en juin de l’année dernière lors des émeutes des quartiers émotifs en métropole.

Et cette impuissance des autorités ou, au moins, leur sous-estimation assez régulière des capacités des engeances violentes à occasionner des dégâts, maintenant largement intégrée par la population, entraîne à son tour la création de milices locales.

Eh oui : lorsque la force n’est plus du côté des autorités, ces dernières se dissolvent commodément et laissent à chacun, avec une décontraction typique des irresponsables, la charge de sauver ses propres miches, illustrant fort bien qu’après le Quoi Qu’il En Coûte débridé et le En Même Temps systématique de la Macronie triomphante survient le Démerdez-Vous Sans Nous des mêmes clowns à roulettes.

Ce n’est pas une exagération.

 

Comme un précédent billet de 2016 en faisait mention notant qu’à mesure qu’augmentent les exactions des populations turbulentes, on observe la mise en place – certes ponctuelle et localisée – de groupes de citoyens de moins en moins passifs destinés à faire régner un peu d’ordre, alors que les forces de police sont débordées par les plans Vigipipeau Écarlate Clignotant et autres festivités plus ou moins bien organisées et ne répondent plus guère aux appels de détresse devenus habituels.

À mesure (lente mais croissante) que les Français se rendent compte de l’inanité des sanctions et peines distribuées par un appareil judiciaire de plus en plus ridicule et laxiste, on se rend compte que la Justice – normalement encadrée dans les sociétés civilisées – doit se distribuer de façon directe et rapide pour obtenir un résultat palpable.

Par exemple récent, des Français d’origine tchétchène font comprendre que les agressions subies par des racailles locales ne peuvent rester sans réponse, alors même que les autorités, saisies, n’ont pas jugé nécessaire d’intervenir : « Nous nous excusons auprès des Français qui verront ces tweets.

Cependant, étant donné que ni la police ni la justice n’ont fait leur travail pour appréhender ces voyous, alors même qu’ils ont failli tuer un adolescent, il a fallu recourir à un langage qu’ils comprennent mieux. »

Bref, on observe que d’un côté, la France apaisée de Macron l’est de moins en moins, et que de l’autre, l’envie de milice se fait de plus en plus fort.

Dans quelques semaines, avec les Jeux olympiques de Paris, la mobilisation des forces de l’ordre sur un événement ponctuel et concentré va drainer les troupes d’endroits où elle sert manifestement de seul vague obstacle entre la société et le chaos.

Le pays, déjà bien mûr pour des émeutes comme le prouva le mois de juin l’année dernière, n’attend manifestement qu’une opportunité pour en remettre une couche.

La démonstration d’impuissance néocalédonienne fournit de nouveaux arguments tant à ceux, peu nombreux mais très vocaux, qui ne cherchent plus que le chaos qu’à ceux qui comprennent que sans le concours de citoyens responsables, ce pays est foutu.

 

Décidément, les prochains mois vont être sportifs.

 

28/05/2024

DARMANIN ET LA DISSOLUTION D' ASSOCIATIONS ! SURTOUT DE DROITES !

Darmanin et la dissolution d’associations

La gauche a tous les droits notamment d’être raciste, antisémite et de tout saccager en toute impunité, mais la droite, elle, n’a aucun droit !



A chaque manifestation, l’immonde GAUCHE   saccage en toute impunité avec le niveau de groupuscules Totalitaires  les édicules et les vitrines des magasins sur le parcours.

Les heurts avec la police sont aussi réguliers.

 Le gouvernement Macron  laisse plus ou moins faire et en tout cas ne punit jamais ces délinquants.

 En revanche Gérald Darmanin souhaite urgemment dissoudre les associations patriotes à Lyon que sont La Traboule et L’Agogé.

Depuis Génération Identitaire scandaleusement dissoute, toute association contre le multiculturalisme et l’islamisme sont  dans le collimateur du ministre de l’intérieur.


Il n’a pourtant jamais grand chose contre elles.


La préfète du Rhône déclarait il y a peu que la fermeture du bar associatif La Traboule nécessitait “un travail solide”, sous entendu sous peine d’être retoquée en justice.


Autant dire qu’elle n’avait rien mais qu’elle cherchait à monter un dossier justice des plus bidonné .
. La Traboule est victime du délit d’opinion.


Quant à la salle de sport L’Agogé, elle serait supposée former des champions de boxe pour des attentats d’extrême droite à venir!


Ne riez pas!     L’extrême centre totalitaire est à la manœuvre.


L’association Les Remparts qui chapeaute un peu tout ça à Lyon vient d’avoir le tort de coller des affiches déclarant que Matisse a été victime du laxisme judiciaire.


Au début de l’année, elle avait déployé une banderole au dessus du périphérique de Lyon : “Soutien aux agriculteurs.

Les nôtres avant les autres”.


Crime de lèse majesté, ses membres osent demander aussi plus d’argent pour les paysans et moins pour les migrants.

Début décembre 2023, le collectif citoyen contre l’ensauvagement de nos villes et de nos villages lançait un appel à rassemblement place Bellecour suite à l’assassinat de Thomas et à l’attaque islamiste du week-end précédent.


La liberté ne s’use que si l’on ne s’en sert pas disait le gauchiste Guy Bedos.


Ce serait bien que ce soit vrai aussi pour les associations patriotes.

Le collectif antifasciste Jeune Garde soutenu par le MAIRE vert de gris Grégory Doucet peut lui aboyer en toute tranquillité dans les rues de Lyon pour demander la dissolution de tous ses concurrents.


Décidément la démocratie n’est pas un système qui convient du CENTRE à la GAUCHE FRANCAIS !

En fin Français c’est vite dit.

Darmanin on attend avec impatience aussi la dissolution des ASSOCIATIONS ETRANGERES des FRERES MUSULMANS , ASSOCIATIONS PRATIQUANT L’ENTRISME ISLAMIQUE RADICAL DANS NOS INSTITUTIONS Afin D’implanter l’ISLAM POLITIQUE et à terme la Charia et UN KALIFA SUR NOTRE SOL !

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VERS LA DESTRUCTION DES EUROPÉENS D' europe !

La destruction des Européens d’Europe (Renaud Camus).

L’application de la manipulation, la construction européenne.

Ci-dessous la première partie de l’analyse (en quatre parties) du dernier livre de Renaud Camus, la Destruction des Européens d’Europe, analyse signée Matisse Royer pour Breizh-info.com

(voir ici la partie 1 et la partie 2)

 

 

La logique camusienne, développée précédemment, met en lumière la nécessité du renversement de l’antiracisme ainsi que la constatation du Grand Remplacement, par opposition à la théorisation.

Cette approche critique s’oppose à la logique du bloc génocidaire, symbolisé par l’expression “plus jamais ça”, comme discuté dans la première partie.

Dans cette partie, Camus montre le lien entre l’idéologie du « plus jamais ça » et l’émergence de la davocratie par la construction européenne.

En effet, les fondements idéologiques conduisent à la destruction des Européens d’Europe, à l’image d’un des pères de l’Europe ne se cachant pas de vouloir une Europe métissée.

Renaud Camus met en lumière le rôle central de la Fondation Ford, établie en 1937 sous la houlette d’Henri Ford, conférant ainsi une dimension mondiale à l’entreprise.

Dès ses débuts, Ford fait appel aux compétences d’Horace Rowan Gaither, avocat et investisseur spécialisé dans les processus décisionnels, ardent défenseur des sciences sociales.

Ce fervent adepte d’une approche taylorienne aspire à former une nouvelle génération de cadres selon une approche scientifique reposant sur des méthodes quantitatives et des théories de la décision, évoquant ainsi le travail novateur d’Edwards Bernays.

 

La Fondation Ford et son rôle dans la construction européenne

Cette fondation Ford s’intéresse beaucoup à la construction européenne, comme le démontre son soutien financier massif à l’American Committee on United Europe (ACUE). L’ACUE finance aussi le Mouvement Européen International, fondé en 1948, et dont les travaux ont permis de créer le Conseil de l’Europe.

La majorité des membres de l’ACUE appartenaient à la CIA, ses deux fondateurs, ont été successivement les directeurs de la CIA, William J. Donovan et Allen Dulles. L’ACUE a trois membres européens : Winston Churchill, Joseph Rettinger et Coudenhove-Kalergi.

Ces structures visaient à promouvoir à la fois un mouvement pro-européen et pro-américain.

Les personnes gravitant autour de ces cercles ont aussi permis l’avènement du cercle Bildeberg.

Il s’agit d’un rassemblement annuel et informel entre des membres de gouvernements, diplomates, économistes, scientifiques, journalistes.

C’est un forum d’échange sur les principaux sujets d’actualité, il préfigure le Forum de Davos.

Le débat autour du “plan Kalergi”

L’accusation de complotiste fait frémir même les plus virulents antiremplacistes les empêchant de trop insister sur l’existence d’un « plan Kalergi » destiné à assurer au continent européen un radical changement de population, un Grand Remplacement avant la lettre.

D’ailleurs, il ne s’agit pas d’un plan. Lorsque Kalergi publie ses ouvrages, il ne dispose d’aucun pouvoir pour imposer ses vues.

Néanmoins, il va tâcher d’exposer ses volontés politiques à travers ses essais, mais aussi de les diffuser par ses conférences dans les divers mouvements européistes d’entre-deux-guerres

. Il est considéré comme l’un des pères fondateurs de l’Europe.

L’un de ses plus grands livres, Praktischer Idealismus est un essai exposant clairement ses idées :

« L’humain du lointain futur sera un métis, les races et les castes d’aujourd’hui seront victimes du dépassement toujours plus grand de l’espace, du temps et des préjugés.

La race du futur, négroïdo-eurasienne, d’apparence semblable à celle de l’Égypte ancienne, remplacera la multiplicité des peuples par une multiplicité des personnalités. »

«  De l’européenne humanité de quantité, qui ne croit qu’aux chiffres et qu’à la masse, se distinguent deux races de qualité, la noblesse de sang et le judaïsme.

Séparées l’une de l’autre, chacune demeure fixement rivée à sa croyance, en sa plus haute mission, en son meilleur sang, en une différence de rang humaine.

Dans ces deux races avancées hétérogènes réside le noyau de la noblesse européenne du futur : dans la noblesse de sang féodale, si tentée qu’elle ne se laisse pas corrompre par la cour, dans la noblesse cérébrale juive, si tentée qu’elle ne se laisse pas corrompre par le capital ».

« C’est ici que grandit au rang de symbole la communauté entre Lénine, l’homme de la petite noblesse rurale, et Trotsky, le lettré juif : ici se réconcilie l’opposition entre le caractère et l’esprit, le junker et le lettré, les humains rustiques et les humains urbains, les païens et les chrétiens, en une synthèse créatrice de l’aristocratie révolutionnaire » Praktischer Idealismus, Paneuropa Verlag, Vienne, Leipzig, 1925. P55

Il est troublant de constater que très tôt dans l’histoire de la construction de l’Union européenne, elle est associée à l’origine à un désir, un fantasme d’un changement de peuple.

Cela révèle une trame complexe où les idéaux européens semblent manipulés dans un dessein plus vaste.

Cette manipulation des convictions se poursuit à travers les cercles de pouvoir influents, comme celui de Klaus Schwab, professeur de management industriel, membre du comité directeur de Bildeberg, qui fonda le World Economic Forum, sous le patronage de la Commission Européenne, réunissant à Davos les 444 dirigeants d’entreprises européens.

 

L’influence des cercles de pouvoir sur l’Union européenne

De cette manière, pour Renaud Camus, les USA représente un adversaire.

L’Union européenne politique a été créée sous leur égide, suffisamment libre pour ne pas avoir l’impression d’être enchainée.

Camus poursuit par une critique de Jean Monnet, père de l’Europe et “qui repose assez abusivement au Panthéon ».

C’est un « homme des Etats-unis » représentant la petite bourgeoisie et ainsi ce Petit remplacement, un homme méprisant la culture, glorifiant la finance et les livres de comptes.

Camus reproche à ces gens d’avoir préféré l’industrie, la banque, le commerce. L’Europe s’est donc réduite à ce marché commun étriqué sortant ainsi de l’histoire.

Davos, référence davocratique.

Renaud Camus date l’avènement de la Davocratie dans les années 70, qu’il caractérise par « gouvernement de remplacement par le remplacement pour le remplacement. 

» Pour l’auteur, le Grand Remplacement n’est qu’un des effets de ces révolutions conceptuelles et techniques qui transforment « la nature et des peuples et l’âme des êtres ».

Davos, successeur de Bilderberg, est le porteur de ces révolutions conceptuelles. Davos, forum européen d’américanisation, aura tôt fait de devenir un forum mondial de gestion du parc humain

. De plus, pour l’auteur, la colonisation dont sont victimes les Européens est singulière en ceci qu’elle est triangulaire : « Le colonisateur n’est pas le colon, l’occupateur n’est pas l’occupant, le remplaciste n’est pas le remplaçant ».

En effet, il y a d’un côté la Davocratie avec les BigTech, les BigStates, la Machination et de l’autre côté l’islamisme, l’Afrique, les migrants.

 

Conclusion de cette partie :

Cette exploration des fondements de la Davocratie, initiée par Renaud Camus, met en lumière les mécanismes complexes qui ont façonné la construction européenne.

À travers l’examen des acteurs clés tels que la Fondation Ford, la figure controversée de Kalergi, ou encore les cercles de pouvoir influents comme Davos, nous sommes confrontés à une réalité où les idéaux européens semblent manipulés dans un dessein plus vaste.

Cette manipulation des convictions, amplifiée par des figures emblématiques et des organisations aux intérêts multiples, nous amène à réfléchir sur la nature même de l’Union européenne et sur les forces qui la guident.

En définitive, cette analyse nous invite à questionner les dynamiques de pouvoir à l’œuvre dans la construction et la gestion de notre société, soulignant ainsi l’importance de rester critiques et vigilants face aux évolutions politiques et sociales.

Par Matisse Royer

Crédit photo : DR

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ÉCONOMIE : LA FRANCE AU BORD DE L' ABÎME ! LE RÉQUISITOIRE ÉDIFIANT...........

LECTURE !

La France au bord de l’abîme : le réquisitoire édifiant d’un économiste

La France au bord de l’abîme : le réquisitoire édifiant d’un économiste

par |

23 mai 2024 |

 

Économie, Médiathèque

 

La France au bord de l’abîme : le réquisitoire édifiant d’un économiste

De prime abord, le livre de l’économiste André-Victor Robert, La France au bord de l’abîme – Les chiffres officiels et les comparaisons internationales, paru aux éditions de l’Artilleur[1], pourrait dissuader les petits lecteurs : ne comprend-il pas 450 pages de commentaires de tableaux chiffrés et de graphiques ?

Pourtant il n’en est rien car ce livre est intelligemment construit et l’on se trouve vite emporté par ce réquisitoire implacable à l’encontre des dirigeants qui conduisent la France à la catastrophe.

 

Un réquisitoire fondé sur des données officielles

Dans cet essai, André-Victor Robert ambitionne de dépasser les déclamations politiciennes auxquelles nous sommes habitués, pour analyser la situation française à partir des données officielles des organismes nationaux, européens ou internationaux, sans négliger pour autant les limites de tout appareil statistique, que l’auteur aborde d’ailleurs avec honnêteté.

André-Victor Robert s’appuie également sur les publications scientifiques, parlementaires ou universitaires relatives aux questions qu’il aborde.

D’où un important appareil statistique et référentiel, puisque tout ce qu’il avance est sourcé, mais présenté heureusement de façon pédagogique et lisible.

L’auteur prend donc le Système à son propre piège, en se fondant sur ses propres données.

 

Un essai unique en son genre

La France au bord de l’abîme peut se lire comme une sorte de dictionnaire argumenté du déclin français mais aussi comme un programme d’action.

Car André-Victor Robert ne se contente pas de décrire : il trace aussi des perspectives de renouveau pour mettre un terme à l’effondrement français.

Des perspectives sans démagogie en outre car l’auteur précise à chaque fois quels obstacles institutionnels ou juridiques il faudrait lever.

Et il ne cache pas qu’il sera parfois très difficile de remonter la pente tant notre situation est critique.

La France au bord de l’abîme est donc un livre unique en son genre : précis, documenté, sourcé, synthétique, concret et opérationnel.

Bref, tout ce qui manque en général à l’univers politico-médiatique officiel…

 

La crise française est systémique

Mais pourquoi le titre La France au bord de l’abîme ?

Parce que les domaines qu’analyse l’auteur avec précision – l’Éducation nationale, la productivité du travail, les comptes publics, le commerce extérieur, l’immigration, le marché du travail, l’énergie, l’Europe ou les institutions – présentent tous une même inclinaison catastrophique

. Car la crise française revêt désormais un caractère systémique.

Ainsi « en matière de croissance et de productivité, la France est de plus en plus pénalisée par les performances médiocres de son système éducatif[2] », ce qui la différencie notamment de l’Europe du Nord et la rapproche des pays du Sud.

En outre, un redressement du système éducatif « même engagé dès à présent, ne portera ses fruits en termes de croissance et de niveau de vie que très progressivement[3] » : il est donc probable que le niveau moyen de formation des générations arrivant sur le marché du travail continuera de baisser dans les dix ou vingt prochaines années…

Comme si cela ne suffisait pas, depuis la réforme des 35 heures, la classe politique a pris le parti de promouvoir la réduction de la durée du travail comme modèle de société.

 

À rebours du discours officiel, André-Victor Robert prouve donc que la crise sanitaire « est venue dégrader une situation économique déjà peu reluisante[4] ».

La convergence des catastrophes

La France au bord de l’abîme démontre que les crises françaises sont contenues les unes dans les autres, comme des poupées russes.

Ainsi, les faibles gains de productivité pèsent non seulement sur le niveau de vie mais aussi sur la compétitivité des entreprises, et donc sur notre commerce extérieur, en déficit depuis 1999, et finalement sur l’emploi.

Et le déficit du commerce extérieur a évidemment pour contrepartie un endettement accru de la France, puisque, dans la zone euro, le levier monétaire ne peut plus être utilisé.

Si l’on ajoute à ces constats préoccupants le fait que le solde primaire[5] de nos finances publiques est nettement moins bon que celui de nos voisins, malgré un niveau élevé de prélèvements obligatoires, « la France est à la merci d’une remontée des taux d’intérêt qui l’exposerait à un risque de défaut de sa dette souveraine[6] ».

Pour André-Victor Robert, la France présente en effet la particularité, en Europe occidentale, d’un niveau élevé de dépenses publiques en proportion du PIB, de forts prélèvements publics et d’une forte insatisfaction des usagers.

Et à la différence de ses voisins, notre pays a choisi de financer ses dépenses publiques à la fois par l’impôt et par l’endettement, et cela dans des proportions inégalées.

Comme l’écrit l’auteur, « on ne pouvait pratiquement pas faire pire ; c’était presque inconcevable d’atteindre un résultat aussi calamiteux et pourtant nos dirigeants l’ont fait[7] ».

 

Les mauvais choix politiques français

Ce constat, André-Victor Robert le renouvelle malheureusement lorsqu’il aborde d’autres domaines : la France accumule en effet les mauvais choix.

L’immigration ? Les flux migratoires sont « maintenant hors de contrôle[8] » et notre pays est bien peu regardant quant à la qualification des immigrants, lesquels peinent de plus en plus à s’intégrer (« on ne parle même plus d’assimilation qui n’est plus qu’un lointain souvenir[9] »), que ce soit sur le marché du travail, en termes de dépendance aux prestations sociales ou de comportement.

Alors que depuis la chute du mur de Berlin l’Allemagne s’efforce au contraire d’attirer sur son sol les travailleurs les plus qualifiés de l’Europe de l’Est.

L’Europe ? La France est contributeur net au budget européen (dix milliards par an en moyenne), elle a pris le parti d’en « rajouter » systématiquement sur les règlements européens, et notre pays soutient maintenant un « plan de relance » qui lui coûtera plus qu’il ne lui rapportera.

« Comment notre gouvernement a-t-il pu accepter un plan de relance aussi contraire aux intérêts nationaux ? », s’interroge André-Victor Robert.

L’énergie ? La France a misé à la fois sur les éoliennes et le nucléaire, deux sources entre lesquelles il n’y a pourtant aucune complémentarité. De fait, « les milliards dépensés dans notre pays pour l’équiper en éoliennes ont été dépensés en pure perte[10] »….

Les concessions d’autoroutes ?

Bien que peu favorables au budget, elles ont pourtant été renouvelées en 2016 comme si de rien n’était, le pilotage public du dispositif apparaissant des plus défaillants.

 

La France, homme malade de l’Europe occidentale ?

Pour André-Victor Robert, au terme de son enquête détaillée et argumentée, « la situation de la France s’est considérablement dégradée au cours des dernières décennies et la France fait pâle figure comparativement à la plupart des autres pays d’Europe de l’Ouest[11] ».

Et chacun commence à s’en rendre compte, malgré tous les mensonges du système, dont l’auteur démontre la vanité.

Il y a quand même une bonne nouvelle, écrit-il ironiquement : nos résultats sont tellement mauvais qu’il ne devrait pas être trop difficile de faire mieux ou moins cher, notamment en nous inspirant de ce que font nos voisins.

Ce n’est finalement qu’une question de volonté politique, de volonté populaire, et souvent de simple bon sens et d’humilité.

Comment expliquer par exemple que nos gouvernants soient incapables de négocier à Bruxelles une réduction de notre contribution, comme le font par exemple nos voisins allemands, danois et néerlandais, et comme l’ont fait en leur temps les Anglais ?

La France au bord de l’abîme pose donc évidemment et souvent fort explicitement la question de nos élites dirigeantes, si imbues d’elles-mêmes mais manifestement si éloignées de l’intérêt national et si incapables de garantir le bien commun.

Au moment où se profilent les élections européennes, l’ouvrage d’André-Victor Robert, La France au bord de l’abîme, nous incite donc à la réflexion et surtout à l’action.


N’est-il pas temps, en effet, d’envoyer un sévère avertissement électoral à tous ceux qui nous poussent vers l’abîme ?

Par Michel Geoffroy
23/05/2024

Notes

[1] Robert (André-Victor), La France au bord de l’abîme – Les chiffres officiels et les comparaisons internationales, L’Artilleur, 2024, 22 euros.
[2] Ibid., p. 101.
[3] Ibid., p. 95.
[4] Ibid., p. 107.
[5] Hors intérêts de la dette.
[6] Robert (André-Victor), op. cit., p. 131.
[7] Ibid., p. 344.
[8] Ibid., p. 239.
[9] Ibid., p. 240.
[10] Ibid., p. 392.
[11] Ibid., p. 446.

 
 
Michel Geoffroy, énarque, essayiste et contributeur régulier de Polémia depuis sa création, a notamment publié, en collaboration avec Jean-Yves le Gallou les différentes éditions du Dictionnaire de Novlangue, ainsi que La superclasse mondiale contre les peuples, La Nouvelle Guerre des mondes ou encore Le crépuscule des Lumières (Via Romana).

LA FIN APPROCHE DANS L' INDIFFÈRENCE DU PEUPLE !

La fin approche dans l’indifférence du peuple, c’est hallucinant



 

Tous les éléments sont présents pour que la France soit désormais islamique.


J’en suis sûr d’autant que malgré tous les récents événements, les gens n’ont pas évolué et continuent à croire dur comme fer la propagande des médias donc à avoir peur de la fameuse extrême droite.


Après le débat Bardella face à Hayer, cette dernière de l’avis général s’est montrée nulle et incohérente.


On pouvait se dire alors que Bardella en profiterait pour faire la différence.


illusion d’optique car au contraire les gens disaient que le RN est et serait dangereux.


Pour qui ? Pourquoi ? Cela ils ne peuvent pas l’expliquer.


Et je ne vous parle pas de Reconquête, considéré comme encore plus à droite.


La sémantique utilisée par les médias porte ses fruits et la désinformation totale fonctionne toujours aussi bien.

Comme l’aurait écrit Uderzo, les Français sont d’irréductibles Gaulois.


Sauf qu’ils risquent fort de ne plus du tout l’être Gaulois !

Les journalistes sont tellement à gauche qu’ils en oublient de faire leur métier qui est, rappelons-le, d’informer. C’est pourquoi je ne regarde plus cette télé pourrie et quelques autres aussi.

Pourquoi, pour qui ?

Pourquoi ? Pour qui voulez-vous qu’on aille voter ? 

En effet, tous les politiques n’en ont rien à faire du peuple donc des électeurs.

Je connais personnellement pas mal d’entre eux, des politiques, je peux vous dire que leurs seuls intérêts sont : 
les honneurs, la place, et le qu’en-dira-t-on.


Et c’est tout !

Le Français ne les intéressent pas, sauf a-à prendre quelques voix pour garder toutes ces avantages qu’ils ne peuvent pas perdre car s’ils les perdent, c’est très dur ensuite  de revenir.

 

Comme en cadeau, ultime cadeau s’ailleurs, on assiste à la libanisation totale du pays un peu partout, cela ne s’arrangera pas.
Pour ceux qui ont connu le Liban, il était surnommé « La Suisse du Moyen-Orient !


 Aujourd’hui le Liban est devenu un pays islamisé, pauvre et où il ne fait plus bon vivre.



La France va suivre, en compagnie de quelques autres états européens qui, comme la France, ont tout accepté de cette religion qui n’est vraiment pas d’amour.


La lâcheté, l’indifférence permettront que notre nation s’écroule comme prévu dans les deux ou cinq ans à venir.
désolé d’être aussi réaliste, mais tout ce que je vois, que j’entends et qui m’est rapporté vont dans ce sens unique d’un grand désastre humain.



Alléluia !

Tout cela fait que Macron risque fort d’avoir encore de beaux jours politiques devant lui…

Les Européennes vont lui permettre de rebondir suite à la défaite qu’il va subir.

C’est même inespéré pour lui.

En attendant :

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La France exprime ses condoléances à la famille du boucher de Téhéran !

Après la minute de silence respectée à l’ONU, on en programme une à l’assemblée nationale pour l’anniversaire de la mort d’Hitler?

Sophia Aram

 

LE COMMUNIQUÉ DE L' INSTITUT POUR LA JUSTICE !

Lisez ce message quand vous serez bien assis
 

Chère Madame, cher Monsieur, 
 

Fabrice et Arnaud sont morts le 14 mai. 

L’un était capitaine pénitentiaire et l’autre surveillant brigadier. 
 

Fabrice allait fêter les 21 ans de ses jumeaux le 16 mai. 

Arnaud, âgé de 34 ans, attendait la naissance de son premier enfant. 
 

Fabrice et Arnaud, deux Français honnêtes, travailleurs, à la vie de famille épanouie ont été abattus par le pire visage du crime. 
 

Laissez-moi vous expliquer en quelques mots pourquoi l’évasion de Mohamed Amra est encore plus grave que l’on imagine. 
 

Êtes-vous déjà passé au péage d’Incarville ?
 

Le mardi 14 mai à 10h57, une voiture bélier fonce sur le camion de transport pénitentiaire dans lequel est escorté Mohamed Amra. 
 

Quasiment au même moment, plusieurs hommes armés prennent d’assaut l’arrière du convoi. Ils tirent sur les deux véhicules de l’administration pénitentiaire. 
 

Ils blessent gravement 3 agents et en tuent 2.
 

Les assaillants sont vêtus de noirs et sont armés de fusils d’assaut semi-automatiques, des AR 15. 
 

1 minute 50 après le début de l'attaque, Mohamed Amra sort du fourgon, les assaillants mettent le feu à la voiture bélier et prennent la fuite avec lui. 
 

La voiture qu’ils ont utilisée pour s’enfuir est retrouvée brûlée. Puis, plus aucune trace des fugitifs. 
 

L’enquête a été confiée à 3 juges d’instruction qui ont déjà annoncé qu’elle serait longue. 
 

Et aujourd'hui Mohamed Amra est probablement déjà loin.

Un chef d’entreprise clandestine hors paire

 

Mohamed Amra a 30 ans, il est né à Rouen. Et tous les journalistes s’accordent à dire qu’il est bien plus dangereux que le pensait l’administration pénitentiaire. 
 

C’est le moins que l’on puisse dire. 
 

S’il a réussi à s’évader lors d’un transfèrement, c’est parce qu’il a un réseau et des moyens à la hauteur de sa criminalité. 
 

Mohamed Amra a commencé la délinquance très jeune. De 11 à 14 ans, il est mis en cause à 19 reprises pour des faits de port d’arme prohibée, vol par ruse, extorsion, violences, trafic de stupéfiants, association de malfaiteurs. 
 

Mais, comme d’habitude, les affaires sont toutes classées sans suite. Sa première vraie condamnation arrive en octobre 2009, lorsqu’il a 15 ans. 
 

A partir de 2020, les condamnations pleuvent :
 

  • 3 mois de prison pour rodéo urbain,
  • 3 ans de prison pour « vol par effraction, association de malfaiteurs en vue de la commission d’un crime, extorsion par personne dissimulant son visage, destruction par moyen dangereux, vol en bande organisée ».
  • 18 mois de prison ferme pour « vol par effraction dans un local d’habitation, aggravé par une autre circonstance ». Concrètement, il est accusé d'avoir commis 7 vols entre le 13 août et le 19 octobre 2019 dans le département de l'Eure, notamment dans des supermarchés de la banlieue d'Évreux. 
     

Au moment de son évasion, Mohamed Amra totalise 13 condamnations et 2 mises en examen supplémentaires.

 

C’est déjà énorme, mais connaissant le fonctionnement de la Justice de prime abord, on se dit que Mohamed Amra est un délinquant récidiviste qui profite, comme tant d’autres, du laxisme de la justice. 

 

Il est en réalité bien plus que cela. 

 

L’office anti-stupéfiants (OFAST) le considère même comme un baron de la drogue capable d'acheminer de la drogue depuis les Antilles jusqu’à Marseille. 

 

Mohamed Amra serait en fait un chef de gang, sans foi ni loi. Un monstre engendré par le narcotrafic. 

 

Vous savez ce narcobanditisme qui a fait 47 morts à Marseille en 2023, qui brasse des milliards d’euros, et qui prolifère désormais partout en France : de Marseille à Niort, en passant par Saint-Malo et Angoulême. 

 

On impute à Mohamed Amra une importation de cocaïne par le port du Havre, il est soupçonné d’avoir commandité 2 tentatives d’assassinats et tout ça depuis sa cellule !
 

En prison, il a plusieurs téléphones et agit comme un chef d’entreprise. Il a installé dans “son bureau” une chicha et se fait livrer de la nourriture par un “jetteur” depuis l’extérieur. 
 

La belle vie en somme ! 
 

Le petit délinquant était en fait…un baron de la drogue 
 

D’après les enquêteurs, Mohamed Amra a grandi sous les radars. Le journaliste Frédéric Ploquin explique : “il y a 3 ans, il volait des ordinateurs dans les supermarchés”. 
 

Oui mais voilà, le pouvoir de la drogue est immense. Et Mohamed Amra est devenu une “comète”. Pour les policiers les comètes sont les gens “qu’on ne voit pas arriver” mais qui deviennent riches très vite grâce au trafic. Et ensuite ils règnent par la terreur. 
 

C’est exactement ce que révèlent les écoutes, entendues trop tard… 
 

Sur le coran de la Mecque, wallah, vous allez me respecter, vous êtes des fous mais je vous montrer que je suis plus fou que vous, vous vouliez voir ma chienneté, je vais vous montrer, tu vas me payer.
 

(On passera sur les invocations à Allah, devenues pratiquement systématiques et emblématiques d’une certaine catégorie de délinquants…). 
 

Écrire ces lignes me fait enrager, et j’imagine que leur lecture vous agace aussi.

La vérité sort de la bouche de Charlotte d’Ornellas
 

Car au final, le “cas” Mohamed Amra pointe TOUS les problèmes de notre système judiciaire et carcéral. La talentueuse et courageuse Charlotte d’Ornellas, amie de l’Institut pour la Justice, résume très bien les choses :
 

Mohamed Amra, c’est une impunité au-delà de l'imaginable, sans peur de rien ni personne : mais qui peut se dire réellement surpris ? Ces individus sont toujours perçus comme des victimes de la société. 19 délits commis entre 11 et 14 ans, classés sans suite. Résultat : il gère son trafic de drogue et d'armes en visio depuis sa cellule, sans peur de rien ni personne. Et qui est intervenu ? Personne.”
 

Elle enfonce le clou : “On découvre des moyens et une organisation professionnels : combien de policiers ont dénoncé une procédure pénale qui les paralyse pendant que les trafiquants s'espionnent, usent de détournements pour communiquer, balisent la voiture du voisin, filment à leur insu, achètent qui ils veulent ?
 

Et coup de grâce : “Il bénéficie d'un réseau servile ou terrorisé : l'ancienne préfète de Marseille avait donné une interview où elle affirmait, par exemple, que des enfants appelaient eux-mêmes la police par peur de leurs supérieurs. Combien de jeunes sont visés sur les points de deal, combien de rapports témoignent du rajeunissement des recrues corvéables à merci, piégées par ces criminels sans limites ?
 

Il y a de quoi être très inquiet. Etienne Blanc, sénateur LR du Rhône vient de rendre un rapport très fouillé sur le narcotrafic. 

 

L’IPJ l’a rencontré, et voilà ce qu’il nous a dit : “la France est submergée par le narcotrafic, avec « un marché criminel » dont le « chiffre d’affaires » est estimé, en fourchette basse, à 3,5 milliards par an. Avec à sa tête « des trafiquants tout aussi rationnels et ingénieux que violents et corrupteurs ».

 

La messe est dite. 

 

Mais pouvons-nous vraiment rester les bras croisés ? 

 

Tant que la Justice sera laxiste, que les délinquants, même jeunes, même pour de petits délits, ne seront pas punis, nous ne pouvons pas espérer que la situation s’améliore. 

 

C’est impossible.

 

Charles Pasqua disait “il faut terroriser les terroristes”. L’époque a bien changé puisque aujourd’hui, ce sont les criminels qui terrorisent la Justice. 

 

C’est la justice qui capitule. Et ce sont les agents pénitentiaires qui meurent. 

 

Je le répète tous les jours, je ne le dirai jamais assez et vous devez le dire autour de vous, l’inaction de l’Etat nous met en danger. 

 

Aidez-moi à faire comprendre à nos dirigeants qu’ils se trompent. Que les bons sentiments n’ont pas leur place dans le combat contre le crime. Que ce que le ministre de la Justice voit comme de l’humanisme, les criminels le voient eux comme de la faiblesse. 

 

Aidez-moi à faire comprendre à nos juges que les criminels les méprisent, qu’ils profitent d’un système qui ne les punit JAMAIS à la hauteur de leurs actes. 

 

Aidez-moi à faire comprendre à la Justice que les victimes sont les Français honnêtes. Toujours. Les gens ordinaires sans histoires. Les contribuables discrets. 

 

Alors, soyons David contre Goliath. Aidez-moi à nous faire entendre, à les faire plier. 

 

Je n’ai pas la main qui tremble en vous écrivant, mais j’ai besoin de vous. Faites un don à l’Institut pour la Justice pour m’aider à poursuivre le travail. 

 

Personne d’autre que nous ne le fera. Alors aidez-moi, faites un don, même minime, à notre association.

JE FAIS UN DON

Un immense merci d’avance,  

Axelle Theillier
Présidente de l'Institut pour la Justice

POUR VOTRE SÉCURITÉ , VOUS NE ROULEREZ PLUS !!! STOP AUX MANGE-FRIC !

TRIBUNE LIBRE !

Pour votre sécurité, vous ne roulerez plus

Entre les grenades qui explosent, les règlements de comptes par arme à feu, les viols, le deal de drogue, les coups de couteaux… grâce à de bonnes œillères sur mesure, l’État ne voit qu’un seul domaine où il faut faire régner la sécurité, c’est la route.

Malgré un nombre de morts très bas, si bas qu’il faut mélanger toutes les catégories, autos, motos, piétons, cyclistes, pour atteindre un nombre de morts significatif, la terreur va régner de plus en plus sur nos routes.

Et notre sécurité sert d’alibi à une spoliation avec option de surveillance de masse, ceci alors qu’il ne faut pas imaginer un seul instant qu’il pourrait y avoir zéro mort dans les déplacements, compte tenu de l’intensité du trafic.

 

Mais la sécurité a bon dos, et à la fin, pour ne pas mourir sur la route, on ne conduira plus.

Ne seront plus autorisés en automobiles personnelles que les membres d’une oligarchie triée par l’argent et encore, sous très haute surveillance.

Et donc, les voitures à radars automatiques embarqués vont redoubler d’efforts, passant à un flicage, 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, de 200 000 kilomètres en trois ans par voiture  à 200 000 kilomètres par mois, grâce à des conducteurs privés qui se relaieront au volant de ces machines à cash.

L’investissement est lourd mais le jeu en vaut la chandelle, avec des bénéfices substantiels pour l’État, espérés bien au-dessus du milliard, et des émoluments conséquents pour les actionnaires des boîtes privées chargées du job.

À la tête desquelles on retrouve, sans réelle surprise, des hommes politiques, à commencer par le commissaire européen Thierry Breton, un temps patron d’Atos, qui avait obtenu le marché de la gestion des PV.

Justement, ces marchés, parlons-en : attribués de manière opaque, au point que des procès sont en cours, avec des appels d’offres peu visibles et des bilans comptables que personne, ou pas grand monde, ne connaît.

On sait juste que c’est très rentable. Invoquer la sécurité est donc un bon plan pour racketter les automobilistes.

La méthode est connue, on invoque l’extrême droite pour rester au pouvoir et la contamination des grands-parents pour inciter à la vaccination.

Les épouvantails font toujours recette.

Chaque année, 220 000 personnes perdent leur permis, point par point, pour de tout petits dépassements qui constituent l’essentiel, 95 % des flashes des radars et donc, sans jamais avoir été dangereux.

Ils perdent aussi, souvent, leur travail, ce dont le législateur se fiche.

On se demande bien d’ailleurs en quoi il serait dangereux de rouler à 60 pour 50, dans une sortie d’agglomération avec des voitures désormais bardées de systèmes de sécurité et qui sont la composante essentielle de la baisse du nombre de morts sur les routes.

En réalité, les courbes statistiques montrent qu’il n’y a aucune corrélation entre la baisse du nombre de morts et l’arrivée des radars automatiques. Ils sont donc une composante inutile du système de sécurité global des routes, juste d’odieux mange-fric.

 

Par contre, la France, première en 2008 pour la qualité de son réseau routier, se classe désormais à la 18e place.

Le Président Hollande, le premier, a tapé dans les caisses de l’entretien des routes et son successeur lui a emboîté le pas.

Mieux vaut maintenant avoir des voitures avec de bonnes suspensions, les nids de poules sont légion, mais l’État n’en a cure, il ne les rebouche pas, il achète des voitures radars, c’est hautement plus rentable.

Mais on va aller plus loin, avec l’installation, sur les voitures neuves, de systèmes d’alerte et de localisation en tous genres, trente au total, promus par la sacro-sainte Europe, qui bien sûr, ne nous flique pas, mais « veille sur notre sécurité ».

 

La voiture va devenir plus chère, à acheter, à entretenir.

Le marché du neuf, déjà sinistré, ne va pas s’en remettre et il s’agit évidemment d’une mort largement planifiée, avec l’argument massif du carbone qui est une triste farce, servant comme toujours, d’épouvantail. Avec l’objectif hypothétique de zéro mort sur les routes en 2050.

Que les profs se fassent décapiter, ou que de braves gens meurent dans des agressions à répétition n’a pas spécialement d’importance.

Ne sont graves que les morts sur les routes.

De quoi achever le secteur déjà mal en point de l’automobile et perdre jusqu’à la compétence d’en fabriquer.

Pour les quelques-uns qui, grâce à leurs capacités financières, pourront continuer à rouler, on s’oriente vers un système, déjà au point, de prise de contrôle des véhicules à distance, par une intelligence artificielle, de manière à les caler autoritairement sur la vitesse limite.

 

Pour mémoire, au RPF, nous défendons la voiture individuelle comme outil de travail, de loisirs et de liberté pour les familles.

Le retrait du permis à point.

Un contrôle technique ramené aux stricts éléments de sécurité mécaniques.

La conservation des savoir-faire et la relocalisation du secteur industriel de l’automobile, le ferroutage des camions qui ne font que traverser la France, l’entretien et la remise à niveau des routes et ouvrages d’arts, le nettoyage systématique des abords de routes devenus des dépotoirs et la sortie de la fable du carbone d’origine humaine comme fautif du dérèglement climatique planétaire.

 

On ne peut incriminer les véhicules particuliers quand des milliards de tonnes de marchandises traversent les océans et que se développe le tourisme spatial.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com      https://t.me/R_P_France

Par Pierre Duriot

AVEZ-VOUS LU " TRANSMANIA " ? IL N' EST JAMAIS TROP TARD !

“Transmania”, une lecture de salubrité publique

C’est un livre qu’il fallait écrire, sur un sujet dont j’ai pu mesurer toute l’ampleur de visu, depuis les cas d’enfants de proches jusqu’à la manifestation de l’activisme trans dont j’ai été témoin lors de plusieurs rassemblements où ils s’incrustaient.

Ce livre est-il « transphobe » ?

Oui, dans la mesure où il apporte un regard critique et documenté sur un phénomène que je juge pour ma part très inquiétant.

Mais aux yeux de tous les intégristes, la moindre contestation de leur dogme est « phobe ».

Toutefois, plusieurs fois, les deux auteurs manifestent des marques d’empathie réelles pour les trans dont elles n’ignorent pas les souffrances réelles.

Entrons maintenant dans le vif du sujet, en mettant de côté les aventures de Robert/Catherine, cet archétype trans qui nous suit tout au long de l’essai et qui, pour autant qu’il est amusant, n’est pas, selon moi, d’une grande nécessité pour servir le propos. Idem, ce tutoiement intempestif adressé au lecteur est quelque peu infantilisant, voire pénible.

Mais passons, puisque le reste est extrêmement pertinent.

Mesdames Moutot et Stern sont des femmes, c’est-à-dire, suivant la perception trans, des êtres qui jouissent d’un « bioprivilège » qu’elles ne mériteraient pas car elles n’ont rien fait pour, ça leur est tombé tout cuit.

Les femmes afghanes sous le joug des Talibans sont donc des privilégiées et elles se plaignent, les ingrates !

 

Les deux auteurs, donc, sans être véhémentes, sont ici sans concession.

Il faut dire qu’elles ont ce tort d’étudier leur sujet sans carapace idéologique, sinon celle d’être des « fachos », comme nous le sommes tous lorsque nous n’adhérons pas à 100% au wokisme, dont les trans sont une composante essentielle.

Oui, il y a peut-être un risque à s’injecter des hormones dans le corps : « Nous sommes peut-être à la naissance d’un énorme scandale sanitaire », explique d’ailleurs l’urgentiste Patrick Pelloux, cet autre « facho » dont les copains de Charlie Hebdo sont morts sous les balles de djihadistes en 2015, pour mémoire !

Oui, encore, on peut éventuellement parler de mutilation en ce qui concerne les vaginoplasties, phalloplasties   et autres mammectomies.

Ne faudrait-il pas plutôt privilégier des aides psychologiques afin de comprendre pourquoi des jeunes gens en arrivent à rejeter à ce point leur corps d’origine naturelle, rappelons-le ?

Nonobstant le réel – qu’on tord comme serpillière de nos jours ! –, les praticiens cèdent aux injonctions trans de peur d’être estampillés « transphobes ».

Pourtant, les « clients » du transgenrisme, comme l’expliquent les auteurs, souffrent pour beaucoup de troubles psychiques graves.

N’est-ce pas alors une forme d’emprise que de les convertir à ce dogme fantasmatique ?

« Un nombre conséquent de sources indiquent que les personnes trans souffrent de comorbidités psychiatriques. »

 

Arme redoutable envoyée au parents qui hésiteraient, dans l’attente que leurs enfants n’aient plus besoin de leur demander la permission de se mutiler grâce à des lois complaisantes : le chantage au suicide.

« La Punchline préférée des médecins trans affirmatifs.

 » Certaines cliniques se sont même lancées dans des expériences abjectes, dont la clinique Tavistock au Royaume-Uni, spécialisée dans la transition de genre et où l’on pratiquait « l’expérimentation médicale sur mineurs ».

Environ mille familles ont depuis porté plainte contre cet établissement pour avoir été trompées par les praticiens qui y sévissaient.

Hélas, fort du militantisme trans, les dérives arrivent en France.

Pourtant : « Les transitions restent des pansements sur des plaies béantes », confie aux auteurs une « femme » trans, Madeline.

 

Et l’Éducation nationale d’en rajouter une couche en favorisant l’entrisme trans dans les écoles, les collèges et les lycées : « Comment les enfants peuvent-ils apprendre à raisonner si on leur sert du révisionnisme scientifique à l’école ? » Une école qui « propage elle-même des élucubrations anti-réalité ».

Voici donc venue l’ère de la cancel réalité.

Cependant : « Comment se fait le développement cognitif quand on ne met pas de limites matérielles à nos fantasmes et qu’on ne nous dit pas qu’il faut apprendre à gérer nos frustrations ? »

Les adolescents étant particulièrement touchés par le transgenrisme, les auteurs avancent une idée qui tombe un peu sous le sens : « Transitionner est souvent une façon de se démarquer et d’échapper aux normes majoritaires tout en se conformant à d’autres normes perçues comme plus subversives. »

Pire : « À l’heure de la transmania, pour atteindre le summum de la popularité à l’école, il faut se dire non binaire. »

Ou quand la conviction n’est motivée que par les apparences. De là sans doute une sorte de psychose collective qui s’empare de nos jeunes, lesquels perdent alors le sens commun, « aidés » en cela par une mouvance terriblement sectaire.

Et évidemment : « La secte transmaniaque aspire les plus fragiles. »

Des êtres fragiles qui ont été des proies faciles durant les confinements où ils n’avaient plus de vie sociale qu’à travers les écrans.

Une évidence saute alors aux yeux : « Les enfants doivent rester en dehors des lubies identitaires et sexuelles des adultes. »

Puis les deux auteurs enfoncent encore plus profond le clou, soulevant un lièvre de la taille du l’Hydre de Lerne : « Il existe indéniablement un courant sous-marin pédophile en lien avec le transgenrisme », explique la fondatrice du média Reduxx, un site qui prend la défense des femmes et des enfants, donc un site… « transphobe » et « facho », faut suivre, hein ?!

 

Ah, il y a aussi ce petit détail qui m’a interpellé : « En Iran, où l’homosexualité est punie [souvent de mort ! NdA], les transitions sont encouragées.

 » Cela fait toujours un homo en moins !

Ceci expliquerait sans doute pourquoi les trans activistes manifestent aux côtés des pro-Hamas, comme j’en ai été témoin maintes fois à Paris.

Il faut dire que les trans sont comme des poissons dans l’eau dans la mouvance Ultragauchiste, et ils en adoptent tous les codes, dont celui-ci : « L’esthétique de la violence et de la défense armée fait partie de la culture trans. »

Mais comment cela a-t-il été rendu possible ?

C’est là que le travail de Dora Moutot et Marguerite Stern devient effrayant, parce qu’il lève le voile sur le cynisme ultralibéral, celui-là même qui anéantit en toute décontraction les peuples du monde entier.

Car c’est essentiellement la nébuleuse ultralibérale qui finance la propagande agressive transgenre, via des associations, des campagnes de lobbying, des menaces contre les récalcitrants universitaires, du matraquage dans les films et séries, etc.

Ce « mouvement est soutenu par la crème du capitalisme » : Soros évidemment (il est de tous les mauvais coups celui-là !), l’ex-madame Bezos (le fondateur d’Amazon), le rejeton du milliardaire Warren Buffet, les Gates et même la famille Disney.

Cerise sur le gâteau, lorsque vous faites un don à Wikipédia, il y a de fortes chances pour qu’une partie de la somme file entre les mains de la holding trans, un peu moins dans celles des chrétiens d’Orient ou des Tibétains !

Car les trans sont une manne financière, particulièrement pour Big Pharma : ce sont des milliards qui sont en jeu.

Ceci expliquerait peut-être cela…

 

Comment lutter contre les milliards de ces gens-là qui, par la voie d’une association pro-trans (GLAAD) ont annoncé la couleur : « Mener la conversation. Former le narratif médiatique. Changer la culture. »

Au cas où certains s’interrogeraient, ce n’est pas une citation d’un ministre allemand de la propagande !

Et bien sûr les trans sont anticapitalistes !

Au fait, s’interrogent encore les deux auteurs, puisque être trans n’est plus considéré comme une affection – un « délire pathologique », disait Lacan –, comment se fait-il qu’en France leur transition puisse être remboursée à 100% ?

Rebroussement auxquels s’ajoutent les financements avec les deniers publics de la propagande trans ?

 

Une telle soumission idéologique passe nécessairement par le langage.

Par exemple, exit le « lait maternel », on lui préférera désormais le « lait humain » ou le « lait des seins/du torse ».

Le vagin deviendra le « trou du devant ».

Question, si le trans est oriental, on pour dire « trou du Levant » ?!

Quant au mot « femme », c’est presque un tabou.

 

Les femmes, justement, bien loin de proposer une sororité dont ils se vantent trompeusement, les trans les agressent violemment lorsqu’elles affichent un féminisme trop radical à leur goût en ne souhaitant pas de vestiaires communs, par exemple.

Dans le jargon trans, ces femmes-là sont des TERF – Trans-exclusionary radical feminist, c’est-à-dire des femmes qui n’incluent pas les « femmes » trans dans leurs combats féministes.

La féministe Janice Raymond l’affirmait déjà à la fin des années 1970 : « Tous les transsexuels violent le corps de la femme en réduisant la véritable forme femelle à un artéfact, s’appropriant leur corps pour eux-mêmes. »

Et les auteurs d’ajouter à raison que le transgenrisme est : « Un projet misogyne qui efface les femmes. »

Puis vient une question très intéressante : « Est-ce possible que les perturbateurs endocriniens, qui causent des changements chez les animaux, aient un impact similaire sur les humains ?

L’explosion des cas de dysphorie de genre pourrait-elle être liée à une forme d’intoxication ? »

Attendons de voir ce qu’en dira la science, si elle a encore le droit de s’exprimer bien entendu.

 

Et si le transgenrisme cachait quelque chose d’encore plus sordide ? s’interrogent encore les auteurs, apportant un début de réponse –  qui leur vaudra d’être traitées de complotistes, elle s’y préparent : « Le transgenrisme est en fait la première étape d’un projet de société où l’humain se confondra avec la machine, et où la technologie et la biologie synthétique permettront de modeler à l’envi nos caractéristiques les plus fondamentales, la modification de la sexuation n’étant qu’une première étape. »

 

Ces apprenti-sorciers, qui se servent de nos enfants pour assouvir leur délire de toute-puissance, ce sont eux les monstres et pas ces pauvres gosses qu’il faut aider sans les juger, ce que, à leur manière, Dora Moutot et Marguerite Stern ont essayé de faire i

 

Nous autres, à Riposte laïque, nous tentons régulièrement d’alerter sur ce fléau qui frappe les plus vulnérables d’entre nous et dont, semble-t-il, les pouvoirs publics n’ont cure.

Les mêmes pouvoirs publics qui les envoient se faire égorger dans les marécages du vivre-ensemble, il faut dire, sans leur accorder une minute de silence comme à Nahel .

Passons…

(Transmania, enquête sur les dérives de l’idéologie transgenre – éditions Magnus)

 

Par  Charles Demassieux    

 

 

 ET AUSSI

Centre d’art LGBTQIA+ et égalité des droits : réponse à Pierre-Yves Bournazel

Dans son allocution, Pierre-Yves Bournazel prétend que le nationalisme et le populisme « sont en train de démolir l’idée d’égalité des droits.

 

L’argument d’égalité prôné par la communauté LGBTQIA+ est-il recevable ?

Les patriotes et nationalistes s’opposent-ils à l’égalité des personnes ?


Actuellement, en Occident, l’égalité fait l’objet d’une religiosité sécularisée.

La ferveur actuelle pour l’égalité se rattache au règne de la religion de l’humanité.

La religion de l’humanité est construite sur une croyance en un sens de l’histoire.

 

Selon cette idéologie, l’humanité cheminerait vers une ère radieuse de bonheur.

Les idées fondatrices de cette religion de l’humanité proviennent du millénarisme et de la gnose.

Après l’effacement de la religion chrétienne et de l’espérance d’une vie céleste éternelle, une religion terrestre de l’égalité prolonge les hérésies de jadis.

Dès la Révolution dite française, l’égalité prend les caractéristiques d’une religion séculière et politique en action.

Au XIXè Siècle, Auguste Comte fonde sa propre religion de l’humanité. Ses disciples, les philosophes positivistes, doivent diriger les sociétés humaines en s’appuyant sur les prolétaires.

Ferdinand Buisson, maître d’œuvre de la construction de l’école publique, instaure cette religion républicaine sous le nom de laïcité. Sa morale laïque se veut une religion civile.

Au XXe siècle, la religion de l’humanité revêt deux formes principales, le socialisme, notamment dans sa version communiste, et le droits-de-l’hommisme.


En ce début de XXIe siècle, la religion de l’humanité rend un culte aux droits de l’homme, en association avec le wokisme.

La religion séculière socialo-communiste et la religion séculière droits-de-l’hommiste-wokiste ont le même objectif : l’émancipation de l’individu par une égalité parfaite.

Les idéologues du genre et les membres de la communauté LGBTQIA s’appuient sur l’argument d’égalité et sur le rejet des discriminations. Ils déconstruisent la réalité sociale et promeuvent une plus grande égalité effective.

Dans ce milieu, les « entre-deux refusent de se ranger dans une vision binaire de la société, l’hermaphrodite ou intersexuel, entre le mâle et la femelle, le transsexuel, entre l’homme et la femme, le bisexuel, entre l’homosexuel et l’hétérosexuel, l’androgyne, entre le masculin et le féminin.

L’égalité leur permet d’exister et d’être respectés au même titre que les autres.

L’égalité est un facteur d’équilibre de la société, un facteur incontournable de l’Etat de droit. Elle permet à chacun de disposer des mêmes droits en échange des mêmes devoirs.

L’égalité, valeur républicaine, a gommé le privilège de la naissance. Elle a permis le développement et le progrès. Elle fut le levain de la France du XIXe Siècle, le levain de l’ascenseur social du XXè Siècle.

Elle porte en elle des valeurs morales, philosophiques, plus que matérielles.

L’égalité a construit une société dynamique, une société de progrès.

Dans cette société, les différences, même sociales et pécuniaires, n’étaient pas vécues comme une atteinte à l’égalité, n’étaient pas rédhibitoires et insupportables, car le brassage des classes et l’ascenseur social ne fixaient pas ou peu les lignes.

Mais l’argument moral d’égalité cache d’autres buts inavouables. Derrière la vitrine de l’égalité se cachent d’autres finalités d’essence totalitaire.


Les réformes sociétales ont pour objectif de répandre, de diffuser, de généraliser le sexualisme, c’est-à-dire la pratique sexuelle, toutes les pratiques sexuelles, à tous les âges de la vie.


Une minorité subversive et militante, emmenée par le lobby homosexuel et le mouvement LGBTQIA+ utilise l’idéologie. La confusion sexuelle influence nos sociétés actuelles.

En pratique, la reconnaissance normative de l’homosexualité promeut de nouveaux concepts et de nouveaux modèles de couples et de filiation : parentalité, homoparentalité, famille homoparentale, individus transgenres …

Sous la pression des groupes, le mariage homosexuel, le droit à l’enfant, la PMA, la GPA, sont officialisés.

L’argument de l’égalité est mis en avant pour promouvoir une sexualisation précoce des enfants, pour favoriser la banalisation de l’homosexualité.

La croisade du genre vise à déconstruire l’hétérosexualité et respire la haine. Haine de la nature. Haine de la réalité avec la négation du sexe biologique. Haine de l’autre en tant qu’hétérosexuel, et spécialement comme homme hétérosexuel.

La théorie du genre prétend donner la liberté de choisir d’être homme ou femme, indépendamment du sexe biologique. En réalité, cet hyper égalitarisme forcené est une dérive marxiste dont le but est la déconstruction de la société et de toute notion de différence entre les humains.

Le remplacement des institutions privées et familiales par l’État-mère qui s’occupe de tout et nivelle tout est une variante de l’état fasciste.

 

Ce remplacement s’impose par l’idéologie plutôt que par la force, quoique certaines interventions policières relèvent de la force. Il s’agit d’une révolution culturelle coercitive. Il s’agit d’entrer les idées dans la tête des gens, comme le conseille Gramsci.
Antonio Gramsci, écrivain et théoricien politique italien (1891-1937), déplace la cible de la critique du champ de la lutte des classes au champ de la culture et des mœurs.

Le pouvoir réel ne peut être acquis que s’il repose sur un contrôle complet des esprits et des intelligences.

C’est ce qui a été progressivement mis en œuvre au lendemain de Mai 68.

Le contrôle des esprits, la manipulation idéologique, la prise en main des consciences, deviennent des objectifs prioritaires.

Alors commence à s’imposer la pensée unique.

La pensée unique : une idéologie de substitution pour les orphelins du marxisme et de l’espérance communiste, idéologie qui est un mélange d’individualisme absolu, d’égalitarisme radical, de libéralisme économique et de libertarisme sociétal.

 

Ainsi, Gramsci élabore une doctrine dont le concept-clé est l’hégémonie, c’est-à-dire une relation de domination qui repose sur le consentement et la coercition des exploités.

L’aliénation culturelle et morale devient le centre de l’arène de la lutte sociale. Le combat marxiste se déplace dans l’arène des mœurs, de l’identité individuelle, de la façon de penser.

La culture du quotidien devient l’enjeu de la lutte progressiste pour l’émancipation humaine. Et l’émancipation humaine passe par la théorie du genre, par la sexualisation à outrance, par la LGBTisation des esprits, par le transgenrisme.


Pour Alain Finkielkraut, le genre est une « théorie et même une métaphysique » dont l’objectif est de déconstruire les fondements de notre société au nom du principe d’égalité entre hommes et femmes jusqu’à l’interchangeabilité.

Au dessein de détruire la société, se plaque le dessein de détruire l’homme. L’idéologie du genre, dont se revendique le mouvement LGBTQIA+, est une anthropologie destructrice de l’identité de l’homme.

D’après Monique Wittig, théoricienne française, (1935-2003), « Il s’agit de détruire le sexe pour accéder au statut d’homme universel ».

La doctrine du genre aboutit au déni du réel. Elle ne laisse d’autre issue qu’un constructivisme abusif au nom d’un messianisme délirant.

Cette doctrine salvatrice et libératrice mettra fin à un ordre présent considéré comme mauvais et instaurera un ordre nouveau dans la justice et le bonheur.

En définitive, l’idéologie du genre et LGBTQIA+ consacrent l’auto-émancipation de l’homme par rapport à la Création et au Créateur, d’où la haine inexpiable envers l’Eglise catholique. Et l’homme déconstruit devient un post-humain.

 

Depuis les années 1970, les renoncements nombreux ont abouti chaque fois à effacer un peu plus l’homme ancien, l’homme révolté cher à Albert Camus, au bénéfice d’un être unidimensionnel à la Marcuse.

Mais la volonté de transformer, de maîtriser la nature se termine toujours mal. Un monde privé de toute morale, de tout principe, un monde où règne liberté-anarchie, ce monde-là produit la mort.


Les apprentis sorciers ont toujours provoqué des catastrophes.

Destruction de l’hétérosexualité. Destruction de la société. Destruction de l’homme et de l’humanité.

Tel est le programme soigneusement camouflé, déguisé et maquillé du mouvement LGBTQIA. Programme appliqué au nom de l’égalité et du progrès, ou plutôt du progressisme.


Une égalité totale, absolue, sélective, subjective, intolérante, despotique. Une égalité qui sépare les bons et les mauvais. Une égalité totalitaire qui respire la mort.

En effet, l’égalité génère sa propre perversion, l’égalitarisme. L’égalitarisme annihile l’aspect devoir de l’égalité pour ne retenir que sa composante droits.

L’égalitarisme n’a qu’un caractère essentiellement matériel. En matière économique, il prône une redistribution égale de la richesse aux individus. Mais les privilégiés ne se sentent pas concernés.

En matière scolaire, il prône l’égalité des chances, c’est-à-dire un abaissement drastique du savoir et des connaissances et un nivellement par le bas.

En matière sociale et sociétale, il prône l’égalité totale homme-femme, l’égalité totale des identités sexuelles, en attendant l’égalité totale de toutes les pratiques sexuelles.

 

Aux origines du wokisme, on retrouve la vieille revendication d’une égalité parfaite venue du millénarisme révolutionnaire, et véhiculée par les doctrines socialistes.

Le marxisme était la référence première des principaux idéologues à l’origine du wokisme, les Jacques Derrida, Michel Foucault, Gilles Deleuze. Le wokisme est fondé sur la croyance en un « droit à l’égalité réelle philosophiquement déduit du socialisme » et recyclé dans la lutte contre les discriminations.

Le wokisme situe la revendication d’égalité entre catégories antagonistes : exploités contre exploiteurs, classe ouvrière contre classe bourgeoise, Noirs contre Blancs, ex-colonisés contre ex-colonisateurs, ex-esclavagisés contre ex-esclavagistes, musulmans contre populations occidentales, femmes contre hommes, homosexuels contre hétérosexuels, transgenres contre binaires, règne animal contre homo-sapiens, plantes, rochers et eau contre genre humain.

Le dogme de l’égalité des civilisations vient de l’anthropologie, doctrine en pointe en matière de relativisme, et qui préfère parler de cultures. Alors, tout devient culture.

Le mot culture inclut la totalité de la vie quotidienne, jusqu’aux « diverses manières de déféquer ».

Tous les groupes humains sont gratifiés d’une culture.

Et au début du XXe siècle, ces cultures sont décrétées égales, sous l’influence de l’anthropologue américain Franz Boas, fondateur du relativisme culturel.

Au nom de l’obsession d’égalité droits-de-l’hommiste, l’État offre tous les avantages aux minorités raciales, ethniques, religieuses, sexuelles, minorités sacrées victimes.

L’État instaure une police humanitaire de la pensée. Cette législation punit pénalement toute critique concernant ces minorités.

La religion des droits de l’homme, en symbiose avec le wokisme, s’acharne contre le mâle blanc hétérosexuel occidental.


Au nom de l’égalité, le législateur et le juge ont créé une infinité de droits subjectifs qui paralysent toute politique d’intérêt général et détruisent la liberté commune, au bénéfice de libertés particulières opposées au bien commun.

L’égalité réelle pour tous procède de la tyrannie socialiste.

L’idéologie socialiste totalitaire use toujours de la rhétorique de l’égalité et du bonheur des hommes.

Elle impose à la population un style de vie égalitaire en flattant les bas instincts matériels, du pain, des jeux, du sexe, de la drogue, du foot, en agréant les dérives des minorités, conduites délinquantes, comportements socialement irresponsables, pratiques sexuelles jugées immorales.

La religion de l’égalité réelle est une idéologie d’inspiration soviétique.

La tyrannie de l’égalité réelle manifeste la perversion des idéaux de l’égalité.

Et on retrouve cette religion de l’égalité réelle dans les « démocraties » occidentales.

 

Les résultats de l’égalité réelle et de l’égalitarisme sont catastrophiques. Désindustrialisation. Chômage de masse. Paupérisation des citoyens.

Saccage de l’enseignement et baisse du niveau d’instruction. Destruction des peuples blancs. Division de la société.

Accroissement des inégalités de toutes sortes.

Dictature d’une oligarchie de privilégiés.

Suppression de l’égalité des droits. Justice à deux vitesses. Perte des libertés.

Contrôle idéologique de l’État. Disparition des inutiles.


Aujourd’hui, les idéologues mondialistes vouent un culte impératif à cette passion d’égalité, impossible à satisfaire.

En réalité, l’égalité est pour l’Occident un talon d’Achille, un cheval de Troie, un danger mortel.

Monsieur Bournazel, l’argument d’égalité prôné par vous-même et par les LGBTQIA+ n’est pas recevable.

 

Ce ne sont pas les nationalistes et les populistes qui détruisent l’idée d’égalité des droits, mais vos amis mondialistes.

Par Jean Saunier

 

  Source :   https://ripostelaique.com/

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