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20/05/2024

CHRONIQUE ET ENTRETIEN AVEC PHILIPPE RANDA .......

REVUE DE PRESSE !

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lundi, 20 mai 2024

Après la « question juive » de funeste mémoire, la « question antisémitisme » de funeste actualité

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Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne Eurolibertés.

(Propos recueillis par Guirec Sèvres)

Une tentative d’incendie de la synagogue de Rouen a été évité de justesse ; encore une fois – une fois de plus – l’incendiaire était un étranger dont sa mise sous OQTF n’était pas la première de ses préoccupations : la société française est-elle en train de se résoudre à un « vivre ensemble » avec de telles « malchances pour la France », comme vous les nommez ? Est-ce forcément une fatalité pour certains ?

On peut s’imaginer que certains de nos compatriotes s’y sont résolus, persuadés que « c’est comme ça, tout est foutu », tandis que d’autres se persuadent que « c’est exceptionnel, l’avenir sera chantant, forcément chantant, tout le monde s’aimera sinon d’amour tendre, du moins de repentance et d’aides sociales inépuisables » : deux réactions assez similaires, finalement, comparables aux autruches qui enfouissent leur tête dans le sol ; une façon de se croire ainsi ne pas être obligé de se défendre ou plus encore d’être à l’abri de tout danger en refusant de le voir. Je répète beaucoup ces temps-ci une belle phrase de Charles Péguy : « Il faut toujours dire ce que l’on voit : surtout il faut toujours, ce qui est plus difficile, voir ce que l’on voit »…

On peut tout de même espérer qu’une majorité de Français commencent à ouvrir les yeux et que cela se traduira au moins dans les urnes le mois prochain lors des élections européennes, qu’ils sanctionneront sans pitié les partis responsables de ce délitement de notre société et apporteront leurs soutiens à ceux qui dénonce le laxisme judiciaire lié aux mirages de l’immigration-invasion.

 

À Rouen, le pire a été évité et l’incendiaire abattu par un policier ; Gérald Darmanin a même annoncé qu’il allait décorer l’auteur du tir… Peut-être le signe –enfin ! – d’un changement au plus haut niveau de l’État, non ?

Effectivement, on ne peut que se réjouir qu’un lieu de prière n’ait pas été détruit et que les dégâts soient limités.

On peut également être soulagé que le criminel ait été mis hors d’état de nuire définitivement avant qu’une horde maléfique d’avocats, de psy-machins chose et de juges proches du Syndicat de la magistrature n’entre en action pour permettre sa future remise en liberté tôt ou tard. Félicitations donc à ce policier qui a fait le bon choix

. Quant à l’initiative de Gérald Darmanin de le décorer, sans aller jusqu’à le lui reprocher, on peut tout de même soupçonner là surtout des raisons politiques, à quelques semaines, rappelons-le, d’une échéance électorale : montrer qu’il apporte officiellement le soutien de l’État à un policier qui n’a fait que son devoir dans l’exercice de ses fonctions, même si c’est le minimum qu’on demande à tous les fonctionnaires de police ; bravo, oui, mais vu les circonstances, il ne s’agit tout de même pas d’un « exploit ».

Ce policier a protégé sa vie, celles de ses collègues et éventuellement d’autres vies, incontestablement…

Au moins, l’attitude du Ministre lui permettra-t-il d’échapper au sort de son collègue qui avait tout autant, l’année dernière, protégé sa vie, celle de ses collègues et sans doute potentiellement d’autres vies innocentes, en mettant tout comme lui définitivement hors d’état de nuire le délinquant Nahel, voulant échapper à un contrôle de la police, conduisant à toute vitesse une voiture sans permis, ne respectant aucune règle de conduite et « à fond la caisse » : ce policier-là a été mis en examen et incarcéré pour meurtre pendant plus de cinq mois avant d’être tout de même remis en liberté sous contrôle judiciaire dans l’attente de connaître à quel sort judiciaire il sera sacrifié par l’État, après sa damnation médiatique.

 

Pour vous, il s’agit donc de deux poids-deux mesures pour des circonstances, à défaut des intentions, finalement similaires ?

Oui, les deux policiers, l’un toujours mis en examen et l’autre bientôt décoré, ont fait leur devoir, tout leur devoir, mais que leur devoir : cela mérite nos félicitations, incontestablement, mais ni le lâche déshonneur pour l’un, ni cet honneur en l’occurrence excessif pour l’autre.

On peut également soupçonner que pour le ministre de l’Intérieur, cette affaire d’incendie criminel de la synagogue de Rouen tombe opportunément bien pour faire oublier le scandale de l’embuscade meurtrière de l’attaque du fourgon pénitentiaire au péage d’Incarville ; il a révélé au public les risques encourus par le personnel pénitentiaire, disposant de  moyens matériels qui ne souffrent guère la comparaison avec ceux de criminels pour lesquels la vie humaine n’est souvent qu’une simple variable d’ajustement.

Revenons à cette tentative d’incendie d’une synagogue en France, n’était-elle pas aussi une conséquence de l’explosion de l’antijudaïsme en France, un antijudaïsme parfaitement décomplexé, que ce soit des membres de la France insoumise ou des militants pro-Palestiniens dont on a vu les blocages et les manifestations, après Science Po à Paris, s’étendre à travers la France ?

Il est certain que parmi ceux que vous citez, un certain nombre se seraient sinon réjouit si la synagogue de Rouen avait disparu dans les flammes, du moins auraient assurément expliqué le plus sérieusement du monde comprendre le geste de l’incendiaire… et qu’un « tas de pierre » en moins à Rouen n’aurait finalement pas été grand-chose comparé aux destructions dans la bande Gaza et que s’il fallait en passer par de telles actions pour attirer l’attention du Monde sur les exactions de Tsahal, ça pouvait se discuter, non ?…

Ah bon ! Personne n’aurait pensé cela ? N’aurait dit cela ? Et ne l’a sans doute pas déjà plus ou moins exprimé ? Vraiment ? Cherchez bien…

 

En tout cas, on peut remarquer que, face à la réalité, aux faits et aux déclarations de l’extrême gauche, l’« antisémitisme » est plus vivace que jamais en France…

Je parlerais pour ma part « d’antijudaïsme » et non d’« antisémitisme », les Arabes étant tout autant des sémites que les Juifs, je le rappelle…

Ce qui est assez étonnant, c’est qu’on pose rarement la simple question « Qu’est-ce qu’un anti-judaïque ? »…

Est-ce simplement quelqu’un qui n’aime pas les Juifs ? Et alors ?

Tout le monde est-il forcé de les aimer ?

Parce que tout le monde serait forcé d’aimer tout le monde ?

D’aimer les Bretons, les Marseillais, les Siciliens ou les Guatémaltèques ?

On peut ne pas « aimer » untel ou untel, cela n’a rien de scandaleux, c’est finalement la liberté de chacun…

 

En revanche, il est inadmissible et évidemment condamnable, du moins dans une société de droit, d’injurier, de diffamer, de menacer, d’agresser, de contester leurs droits à quiconque pour des raisons d’origines ethniques, religieuses ou de mœurs… et pour ce que font à l’autre bout du monde ceux qui auraient de mêmes origines ethniques ou religieuses.

C’est le devoir de tout État digne de ce nom de défendre tous ses compatriotes, sans exceptions, menacés de quelque façon que ce soit, pour les raisons évoquées précédemment.

On ne peut alors que constater, effectivement, que l’« antijudaïsme » de l’extrême gauche s’exprime désormais dans les médias, à la tribune de l’Assemblée nationale, dans les universités et dans la rue en quasi toute-impunité. Impunié dont n’a pas profité l’OQTF fanatisé de Rouen, tant mieux, mais cela reste, hélas !, exceptionnel !

 

Au moins, ne nous bassine-t-on plus avec les fantasmes tant rabachés de l’antisémitisme – ou antijudaïsme, si vous préférez – d’extrême droite…

Ça, c’est vous qui le dîtes… et je ne suis pas d’accord. Au contraire, même. Encore récemment, dans l’émission « L’Heure des Pros » le 17 mai dernier, l’ancien député socialiste André Valini, particulièrement pathétique, a dénoncé les « antisémites » toujours présents au sein du Rassemblement national.

Cela provoqua une stupéfaction générale, certes, et lorsque Pascal Praud lui a demandé s’ils considérait vraiment Marine Le Pen comme antisémite, il a bafouillé que non, pas elle, peut-être, mais d’autres, « comme tout le monde le sait »… « Qui ? a insisté l’animateur. Donnez-nous leurs noms… »… « Je ne suis pas là pour donner des noms, mais tout le monde le sait… tout le monde le sait… »…

 

On se doute que Pascal Praud équilibre politiquement son plateau avec ce qu’il peut, ceux qu’il trouve et à qui il donne, pour certains, charitablement une occasion d’exister, mais avec d’André Valini et sa langue de bois, on touche tout de même le fond…

 

À part anciens socialistes ou extrémistes de gauche, admettez que c’est une rengaine qui fait long feu aujourd’hui…

Pas autant que vous semblez le croire…

Ne serait-ce que parce que les accusations d’antijudaïsme – ok, d’« antisémitisme » comme passé incorrectement dans le langage courant, je vous l’accorde – sont désormais pour beaucoup un « fait acquis » concernant le Front national sous la présidence de Jean-Marie Le Pen. Un « fait acquis » parce que, justement « tout le monde le saurait », pour reprendre l’argument sectaire d’André Valini.

Si tout le monde est sensé le savoir, la cause est entendue… tout comme il fut un temps, rappelons-le, où « la terre était plate », c’était alors également un « fait acquis » parce que « tout le monde le savait », n’est-ce pas…

Et pourtant la terre, elle tournait déjà, à l’époque. Et, aux dernières nouvelles, elle continue, d’ailleurs…

 

Il n’y avait donc pas d’antisémites/antijudaïques au Front national d’antan, pas même Jean-Marie Le Pen, son président, de sa création à son éviction ?

J’ai fréquenté, en « compagnon de route » et en collaborateur de l’hebdomadaire National hebdo ce mouvement politique. Vous aussi, un temps, si je me souviens bien…

L’antijudaïsme était-il l’obsession des militants, des cadres et des élus du FN ? Le fil rouge des motivations de tout ce monde-là ?

En aucune façon, je peux en témoigner, vous aussi… Jean-Marie Le Pen a certes été condamné en 1986 pour « antisémitisme insidieux » parce qu’il avait dédié l’accueil enthousiaste de ses partisans à l’occasion d’un meeting à « Jean-François Kahn, Jean Daniel, Ivan Levaï, Jean-Pierre Elkabbach ».

Quatre journalistes certes d’origines juives, mais qu’il avait cité non pour cette raison, bien sûr, mais surtout et principalement parce que ces quatre-là se déclaraient eux-mêmes avant tout comme ses ennemis politiques et qu’il répondait ainsi à leurs attaques incessantes.

On peut donc à notre tour juger une telle condamnation judiciaire – comme d’autres qui ont ensuite été prononcées à son encontre avec un identique esprit partisan des juges qui ont rendu les verdicts – comme « insidieusement politique », non ?



L’histoire rendra un jour justice à Jean-Marie Le Pen, aux élus frontistes d’alors et aux cadres de ce mouvement qu’aucun d’eux, jamais, n’a fait la moindre déclaration, et encore moins commis le moindre écrit, sous-entendant qu’un Français d’origine ou de confession juive puisse ne pas avoir les mêmes droits que les autres Français ; jamais sous-entendu qu’il puisse être un « citoyen de seconde zone » ; jamais envisagé qu’un jour qu

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’il ne puisse plus être français pour la simple et unique raison de ses origines ethniques ou religieuses…

De même, Jean-Marie Le Pen ou un élu ou un cadre du FN a-t-il jamais remis en cause l’existence de l’État d’Israël ?

 

 

Poser la question, c’est y répondre… 

 

Par Philippe Randa a récemment publié :

 

Coups d’œil & Tirs à vue (Chroniques barbares XXI), Philippe Randa, Dualpha, préface d’Alain Sanders, 186 pages, 25 €. Pour commander ce livre, cliquez ici

La désinformation autour de l’écologie, Philippe Randa (présente), Dualpha, 198 pages, 25 €… Avec les contributions de Francis Bergeron, Jean de Saint-Houardon, Richard Dessens, Michel Festivi, Nicolas Gauthier, Philippe Joutier, Aristide Leucate, Olivier Pichon, Éric Pinel, André Posokhow, Bernard Plouvier, Claude Timmerman, Jean-Michel Vernochet.

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00:06 Publié dans La chronique de Philippe Randa

 

ET AUSSI

 

vendredi, 17 mai 2024

A-t-on le droit en France d’être « islamophobe » et penser que l’islam veut conquérir le monde ?

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Michel Festivi 

Cette question est de plus en plus prégnante, et les nombreuses attaques judiciaires des associations militantes, grassement gavées à l’argent public par nos impôts, contre celui qui ose brandir le danger de l’islam et de l’islamisme en sont la preuve formelle, avec très souvent à la clef de très lourdes condamnations, bien plus importantes que les « sanctions » qui frappent certains agresseurs ou manieurs de couteau.

Tout dernièrement, dans le Figaro Live du 16 mai, Philippe Val, l’ancien directeur de Charlie Hebdo, a déclaré « oui je suis islamophobe ».

Bizarrement, ces vidéos et articles ont été supprimés et ne sont plus visibles, sauf le titre.

Il y expliquait que l’on pouvait être « phobique » à une religion quand elle commence à exister par la terreur et la contrainte.

Philippe Val, ancien de Charlie Hebdo et de France Inter n’est certainement pas ma tasse de thé, mais ses propos sont frappés au coin du bon sens, et venant d’un homme de gauche, cela, que l’on le veuille ou non, leurs donnent plus de poids médiatique que des paroles lancées par des personnalités de droite, selon le deux poids deux mesures trop bien connu.

Un exemple de ces contraintes, menaces, qu’impose l’islam en France.

Les premiers attaqués sont des musulmans qui n’entendent pas pratiquer leur religion à la lettre, et nous savons que l’islam n’est pas une religion de la Liberté, mais de la soumission au texte.

Toujours dans le Figaro du 16 mai, un article intitulé « Ces français d’origine maghrébine qui vivent sous la pression des musulmans radicaux », qui fourmille d’exemples de menaces, d’injures, d’insultes, d’agressions que subissent notamment des filles qui ne portent pas le voile, qui s’habillent comme des « européennes », ou qui mangent ou boivent de l’alcool pendant le ramadan.

Tout cela est archi connu mais pas assez fustigé, notamment par les chefs des gauches, du PS à LFI en passant par les écolos, qui ont la dénonciation à sens unique.

Pourtant ces personnes sont traitées de « chiennes », « d’arabes de service », « d’enfants de harki », « de faire valoir de l’extrême droite », sans que cela n’émeuve beaucoup nos macronistes ou gauchistes de service.

Le Parlement régional de Hambourg, cité-État, vient d’interdire tout vêtement dissimulant le visage dans les écoles, collèges et lycées de la ville, il était grand temps.

Cette décision a été prise par le SPD et les verts et votée aussi par la CDU et l’AFD. Bien sûr l’extrême-gauche allemande représentée par Die Linke a voté contre.

En Allemagne, comme l’éducation est de la compétence des Länders, chaque région a sa propre réglementation qui peut beaucoup varier.

Une très bonne nouvelle du côté des Pays-Bas, un accord gouvernemental de coalition a été trouvé, six mois après la victoire du parti PVV de Geert Wilders.

Quatre partis de droite dont le PVV se sont unis pour gouverner.

La presse annonce des mesures restrictives à l’immigration, l’annulation de certaines taxes et la construction de quatre centrales nucléaires, que du bon sens. A quand une même coalition chez nous ?

 

Chez nous justement, la presse vient d’annoncer comme en 2019, une liste musulmane pour les élections européennes « L’union des démocrates musulmans français », une tautologie de mensonges et de tromperies visiblement.

Leur seul programme, « libérer la Palestine », et renforcer « l’éthique musulmane ».

Comme quoi l’intrusion de la religion dans la politique n’en finit pas.

Et comme le détaille Naëm Bestandji « Le voile est aussi un outil politique à la fois contre les musulmans, pour faire de l’intégrisme une norme et assigner à toutes les musulmanes à la frange extrémiste de l’islam par le voilement ; et contre la société, au service de la stratégie victimaire. ».

Comme en écho à cette liste, en Iran la chasse aux femmes mal voilées redouble de brutalité.

Le régime totalitaire théocratique islamiste a bien compris que sa perte viendrait de la libération des femmes, et accentue sa pression, par le biais de sa police des mœurs, sans qu’aussi personne ou presque ne s’en offusque.

C’est cela qu’on veut nous imposer chez nous par l’entrisme islamiste.

Le combat patriote sera long, très long pour parvenir à mettre un terme à cette tentative de « totalitarisation » islamiste.

Cela passe impérativement tout d’abord par un vote massif de sursaut national, utile et efficace, le 9 juin prochain.

 

18:03 Publié dans Michel Festivi

 

Source et Publications :  http://synthesenationale.hautetfort.com/

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19/05/2024

ÉLECTIONS EUROPÉENNES : UNE PLACE D' HONNEUR À UNE MÈRE VICTIME DE L' ISLAMISME !

Européennes : Marion Maréchal donne la « place d’honneur » à une mère de victime de l’islamisme

« C’est pour elle, pour la mémoire de son fils, pour toutes les victimes, que nous nous battons », écrit Marion Maréchal.

Par Julien Tellier


Européennes : Marion Maréchal donne la « place d’honneur » à une mère de victime de l’islamisme

« Je ne veux pas que qui que ce soit s’approprie la mort de Matou, de quelque bord que ce soit », déclarait, à France 3, Christophe Marchais, ce père déchiré par la mort de son fils Matisse, garçon de 16 ans tué par un mineur afghan de 15 ans, à Châteauroux. D’autres proches de victimes vivent leur deuil d’une bien différente manière.

C’est le cas d’Évelyne Reybert. Placée en 81e position de la liste Reconquête pour les européennes – « la place d’honneur », rappelle Marion Maréchal sur X -, cette femme est, elle aussi, mère d’une victime de la barbarie.

En plein confinement, le 4 avril 2020, son fils Julien Vinson, habitant de Romans-sur-Isère, ouvre les volets de son habitation.

Au même moment, Abdallah Ahmed-Osman, migrant soudanais, djihadiste revendiqué, lui assène vingt-deux coups de couteau au thorax et à l’abdomen sous les cris d’« Allah Akbar ! ».

Un drame dont Évelyne Reybert avouait ne jamais s’être remise. «

C’est pour elle, pour la mémoire de son fils, pour toutes les victimes, que nous nous battons », écrit Marion Maréchal.


Un engagement qui ne date pas d’hie

Chaque année depuis 2020, une cérémonie d’hommage est organisée à Romans-sur-Isère. Invitée, le 4 avril dernier, par Évelyne Reybert elle-même, Marion Maréchal s’y était rendue pour soutenir cette dernière, qu’elle décrit comme « un modèle de force pour nous tous ». Une présence de la candidate Reconquête massivement rejetée par des militants d’extrême gauche. Venus manifester en nombre, ceux-ci se disaient « outrés de cette récupération immonde, électoraliste et démagogique », troublant sans aucun scrupule ni respect le recueillement du moment, piétinant le choix de la mère de Julien Vinson.

En réalité, l’histoire qui lie Évelyne Reybert et le parti d’Éric Zemmour date de la dernière campagne présidentielle.

C’est le 27 mars 2022 que sympathisants et militants de Reconquête ont découvert le témoignage poignant d’Évelyne Reybert : « Moi, je pense qu’avec Éric Zemmour, tout serait différent. Il faut vraiment qu’il passe parce que la France devient vraiment une poubelle. »

 Un cri du cœur, largement applaudi par les 50.000 personnes présentes, place du Trocadéro, à Paris.

 

Une histoire pas si nouvelle pour Reconquête

Ce n’est pas la première fois que Reconquête met en avant le parent d’une victime d’attentat. En effet, le cas d’Évelyne Reybert n’est pas unique et rappelle celui de Patrick Jardin.

Père d’une régisseuse victime de la barbarie islamiste du 13 novembre 2015 au Bataclan, celui-ci avait été investi par Reconquête dans la quatrième circonscription du Nord pour les législatives.

N’ayant recueilli que 3,8 % des suffrages, soit 1.126 voix,

Patrick Jardin voulait avant tout s’engager pour « faire changer les choses ».

Face à nos confrères de BFM TV, l’ancien dirigeant d’entreprise expliquait se battre « depuis cinq ans […] pour que plus jamais il n’y ait d’attentat comme j’ai subi en France ».

Comme Évelyne Reybert, Patrick Jardin ne voulait pas que la mort de son enfant soit vaine. 

« Si je peux, par mon action, si petite soit-elle, empêcher d’autres attentats, ma fille ne sera pas morte pour rien », déclarait-il encore  à La Voix du Nord.

 

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Boulevard Voltaire

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CES 10 FRANÇAIS RECHERCHÉS PAR INTERPOL ! QUI SONT-ILS ?

 

Mohamed AMRA décrit par Libération : “Dans tous les médias

s’est affiché le visage poupin du trentenaire d’1,85 m” (sic)

Sans risque d’être traîné devant les tribunaux pour “haine xénophobe” ou “amalgame nauséabond” ou “complotisme d’extrême-droite“, MPI offre à votre sagacité quelques noms qui n’ont – bien sûr – rien à voir avec l’immigration subversive que nous subissons.

 

Voici donc la liste des délinquants pour lesquels l’Organisation internationale de police criminelle, Interpol, a émis une notice rouge : 

– Mohamed Amra, 30 ans : né le 10 mars 1994 à Rouen. Il est surnommé « La Mouche », mais aussi « Yanis », « Momo » ou « Schtroumpf ».

De ses 11 à ses 14 ans, il est mis en cause à 19 reprises pour des faits de « port d’arme prohibée, vol par ruse, extorsion, violences, trafic de stupéfiants, association de malfaiteurs… ».

 

Systématiquement, les affaires sont classées sans suite et il n’échoie de sa première condamnation qu’à l’âge de 15 ans, en octobre 2009.

– Mamadou Sakho, 29 ans : Né en avril 1995, cet individu est recherché pour violence sur personne dépositaire de l’autorité publique (PDAP) sans incapacité, refus, par le conducteur d’un véhicule, d’obtempérer à une sommation de s’arrêter et conduite d’un véhicule à une vitesse excessive eu égard aux circonstances.

– Badiss Mohamed Bajjou, 23 ans : Cet homme est accusé d’extorsion en bande organisée commise avec une arme, participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d’un crime, arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire d’otage pour obtenir l’exécution d’un ordre ou d’une condition, commis en bande organisée et blanchiment en bande organisée de biens ou de fonds provenant d’un crime d’extorsion en bande organisée.

– Kevin Kimuina Kumbi, 35 ans : né en avril 1989 dans le 10e arrondissement de Paris, le trentenaire est accusé de différentes infractions liées au trafic de drogue. Parmi celles-ci, on note la détention non autorisée de stupéfiants en récidive, l’offre ou cession non autorisée de stupéfiants en récidive, le transport non autorisée de stupéfiants en récidive et l’acquisition non autorisée de stupéfiants en récidive.

– Wissem Chibouni, 19 ans : Agé de 19 ans, Wissem Chibouni, originaire de Thonons-les-Bains (Haute-Savoie). Le jeune homme est en effet recherché pour «tentative de meurtre».

– Achref Belguidoum, 19 ans : natif de Bougaa, en Algérie, il est accusé de tentative de meurtre.

– Rachid Maarouk, 56 ans : originaire de Lyon (Rhône), il est accusé de vol avec arme et arrestation, enlèvement, séquestration ou détention arbitraire d’otage pour faciliter un crime ou un délit, suivi de libération avant 7 jours.

– Yaniv Mizrahi, 47 ans : franco-israélien de 47 ans, né en septembre 1976 à Beer Yakov, en Israël, accusé d’escroquerie en bande organisée et blanchiment en bande organisée d’escroqueries commises en bande organisée.

– Mehdi Mimoun Maroc, 29 ans : Mehdi Mimoun Maroc, 29 ans et originaire d’Angers (Maine-et-Loire), est recherché notamment pour recel en bande organisée de bien provenant d’un délit, abus de confiance commis en bande organisée et usage de faux en écriture. Selon Interpol, le jeune homme est aussi accusé d’exécution en bande organisée d’un travail dissimulé.

– Boubakar Magassa, 23 ans : accusé de tentatives de meurtre en bande organisée et association de malfaiteurs criminelle, Babakar Magassa, 23 ans est originaire de la région parisienne (Ivry-sur-Seine).

 

Une découverte ?

Non, puisque déjà en 2021, L’Obs avait publié une autre liste : celle du Top 10 des plus gros trafiquants de drogue de France (1).

Là aussi, les patronymes révélés laissaient peu de doute quant à l’origine des malfrats : Nordine, Rachid, Abdelrani, Younès, Bouchaïb, Nasserdine, Reda, Ali, Messaoud…

Tous les prénoms (ou presque) du calendrier islamique y étaient.

Mieux encore, grâce à une étude de l’an 2000, menée par le sociologue Sébastian Roché, professeur à l’IEP de Grenoble, et reprise dans un rapport du Sénat qui attestait de la nette sur-délinquance des jeunes d’origine étrangère, et surtout maghrébine, par rapport à ceux d’origine française, nous pouvions lire ce que le directeur de recherche au CNRS, Hugues Lagrange,  affirmait  :

« les adolescents éduqués dans des familles du Sahel sont 3 à 4 fois plus souvent impliqués comme auteurs de délits que les adolescents élevés dans des familles autochtones ; et ceux qui sont éduqués dans des familles maghrébines, deux fois plus ».

 

Oculos habent, et non videbunt, […] aures habent, et non audient [Psaume115] : ils ont des yeux et ne voient pas, ils ont des oreilles et n’entendent pas…

 

Sources : Boulevard Voltaire / Cnews / L’Obs

Par Paul DEROGIS

 

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LE PETIT REMPLACEMENT , C'EST LE CHANGEMENT DE CULTURE ! ( MATISSE ROYER )

TRIBUNE LIBRE

De la bataille pour une nouvelle anthropologie politique : déconstruire le mirage égalitaire

 

Depuis de nombreuses années, la gauche, parfois aidée par la droite, défend une conception égalitariste des relations humaines.

Selon eux, il n’y aurait aucun déterminisme biologique, seulement un déterminisme social, liée au hasard et à éducation qu’il faut convient d’apporter.

De cette manière, les inégalités sont conditionnées par la société, la société construit les inégalités.

Par exemple, le rapport inégal entre les hommes et les femmes, les différences de réussites entre des individus ou des groupes, cela ne serait pas dû à des facteurs biologiques, mais uniquement à l’existence de rapports inégalitaires au sein de la société, d’un facteur social.

A partir de cette pensée, il y a la ferme conviction que tous les humains sont égaux à l’état de nature, c’est la société qui conditionnerait les rapports inégalitaires.

En conséquence, les défenseurs de cette conception combattent pour une égalité dans la société, leur aspiration est de supprimer les rapports inégalitaires dans la société.

 

La révolution anthropologique post-moderniste.

Cette nouvelle anthropologie a une base philosophique qu’il convient d’analyser pour mieux s’y opposer.

Elle provient des Lumières, mettant en avant que les Hommes naissent libres et égaux en droit.

Ces idées mettent la liberté et l’égalité comme valeurs absolues. Cet absolutisme de la liberté et de l’égalité venue des Lumières a été repris par Lénine, les révolutions marxistes puis surtout aujourd’hui le post-modernisme.

Cette philosophie permet de mieux comprendre cette révolution anthropologique.

Le postmodernisme est une réponse à la pensée des Lumières.

Ce n’est pas qu’une simple suite, c’est un aboutissement.

Premièrement, le post-modernisme critique le manque de cohérence dans l’application des idées des Lumières, notamment sur la liberté et l’égalité.

En effet, la plupart des penseurs des Lumières étaient objectivement antisémites, racistes et machistes. Ainsi, les post-modernes remettent en question la prétention des Lumières sur ces idées.

Les Lumières ont mis l’accent sur la rationalité, la certitude, le progrès.

Le postmodernisme remet en question ces idéaux en mettant en avant la relativité, la complexité, la multiplicité des perspectives.

En fait, elle remet en question la notion de vérité absolue, de rationalité universelle et de progrès linéaire, elle remplace cela par la diversité, la contingence et la subjectivité des expériences.

L’exemple parfait est celui de Sartre, penseur de l’existentialisme, « l’existence précède l’essence ».

Il affirme que les individus créent leur propre identité à travers leurs choix, sans déterminisme.

On peut donc changer de sexe ou de pays. L’homme se crée par son activité subjective. « L’homme existe d’abord, se rencontre, surgit dans le monde, et […] il se définit après ». (L’existentialisme est un humanisme, coll. Folio essais, p. 29). C’est le règne du subjectivisme, il n’y a plus d’objectivité, car il n’y a plus d’essence.

De cette manière, cette liberté (désincarnée) conduit à la négation des réalités élémentaires, comme les différences biologiques : « On ne naît pas femme, on le devient ». Simone de Beauvoir.

Le postmodernisme est donc une réaction à la modernité qui entend aller plus loin, se manifestant à travers le post-structuralisme, l’existentialisme, le déconstructivisme, il se caractérise par une approche sceptique envers les récits historiques, les discours de pouvoir, les structures sociales et linguistiques et la vérité scientifique.

Tout cela serait conditionné par notre société, Européenne ; il s’agirait d’une construction qu’il faudrait déconstruire afin de permettre l’abolition des rapports inégalitaires.

Heidegger montre bien que cette anthropologie postmoderniste est une révolution, car la technique à modifier le rapport de l’Homme à son Etre, cela le transforme en produit interchangeable.

La négation des rapports inégalitaires est une négation des différences.

L’Homme n’existe que par ce qui le différencie des autres.

Ainsi, la négation des différences par l’égalité, c’est la confusion des Hommes, c’est la mise en disponibilité, Bestellenbarkeit, conditionnant ainsi l’Ersetzbarkeit, l’interchangeabilité de l’Homme.

 

Un mirage nocif.

Le résultat politique est fort.

En effet, cela s’articule autour d’une pensée d’un Etat interventionniste ne se privant pas de méthodes coercitives, et d’atteintes à la liberté, pour garantir l’éducation pour tous, faisant de l’égalité un horizon, présenté même comme une réalité de l’état de nature que l’on devrait poursuivre, alors qu’il n’est qu’un mirage.

Ainsi, les défenseurs de l’égalité partent d’une conviction utopique.

En tentant de l’appliquer, en allant toujours plus loin, elle produit plus de torts qu’elle n’en corrige.

Cette recherche d’égalité ne pourra jamais être aboutie, car elle induit, mécaniquement, une radicalité croissante dans l’égalité, rien n’est assez égal pour eux.

L’éloge de l’égalité amène un ressentiment contre l’héritage et la transmission.

Il y a un nivellement par le bas au nom de l’égalité. A partir de cette pensée, c’est la loi Haby et le collège unique, c’est la suppression croissante des épreuves écrites au bénéfice des épreuves orales, ce sont les multiples attaques contre l’enseignement privé, contre les classes de niveau entre autres. «

C’est une entreprise de destruction des anciens privilégiés par les nouveaux » Camus.

Dans nos sociétés, l’exigence d’égalité vient d’en haut, c’est-à-dire des nouvelles élites, la Petite Bourgeoisie à l’image de Sartre, Derrida, Foucault entre autres.

L’égalité n’est qu’une égalité dans la masse ; l’égalité rigoureuse n’est appuyée que dans la perspective où la nouvelle élite, ce Petit Remplacement dit R. Camus, permet l’inégalité maximale entre elle et le pouvoir.

Renaud Camus, l’explique bien dans ses écrits : « Le Petit Remplacement, c’est le changement de culture.

Le Grand Remplacement, c’est le changement de civilisation.

Le Petit Remplacement, c’est le changement de sens.

Le Grand Remplacement, c’est le changement de sang.

Le Grand Remplacement n’est rendu possible que par le Petit. »

Le grand remplacement « ne procède pas d’une intentionnalité », mais plutôt d’une logique.

 

Cette logique se base sur l’anthropologie postmoderniste, c’est-à-dire la négation des différences entre des peuples entiers, cela conditionne l’interchangeabilité permettant le remplacement.

Tout comme le Bestellenbarkeit conditionne l’Ersetzbarkeit,  le Petit Remplacement conditionne le Grand.

Le nationalisme civique est le nationalisme de cette anthropologie. Ainsi, il est négatif pour lutter contre la disparition des Européens.

En effet, le peuple est compris uniquement comme l’ensemble des individus vivant sous le même État. De quel changement de peuple parlez-vous, puisqu’il n’y a en Europe que des Européens ?

Le constat d’un changement, c’est avouer de faire une différence entre les individus, donc de briser l’égalité, sur des critères ethnoculturels.

Dès lors, toute objection est vaine, car l’opposition est informulable en raison de son « racisme », le crime est parfait.

C’est en luttant contre la source de ces deux remplacements, c’est-à-dire de s’opposer à leur conception de la liberté et de l’égalité, que nous pourrons répondre à ce problème en décalant ce spectre politique beaucoup trop étroit.

Ce faisant, il y a immédiatement, l’insulte de « racisme » et de « fascisme » ; c’est la labellisation en « extrême droite » par la gauche libérale à l’égard des personnes combattant la source de ce changement anthropologique.

De cette manière, nous devons construire des principes de manière à simultanément combattre ces conceptions, en réalité négatives, tout en donnant une image positive de notre combat politique.

La Junge Alternative, le mouvement jeune de l’AfD, a trouvé la bonne méthode.

Le refus de l’extrémisme sans perdre en radicalité.

Nous sommes l’opposition, jeune et dynamique, qui a tout un avenir devant elle pour ériger un contre modèle cohérent.

Par Matisse Royer

 
[cc] Breizh-info.com, 2024, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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RETOUR SUR L' AFFAIRE DES SMS : URSULA VON DER LEYEN ET PFIZER .......

Pfizergate/SMSgate : von der Leyen peut-elle toujours être candidate à sa réélection ?

 
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Ce 17 mai, au tribunal de Liège (Belgique), l’affaire des « SMS de von der Leyen » - échanges présumés de SMS entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, et Alberto Bourla, PDG de Pfizer, au cours des négociations pour l’achat de vaccins contre le Covid-19 - est revenue au cœur de l’actualité. Frédéric Baldan, lobbyiste belge, poursuit en Justice Ursula von der Leyen, Alberto Bourla ainsi que les compagnies Pfizer et BioNtech pour corruption, usurpation de fonction, destruction de documents publics et immixtion dans des titres et fonctions.

L’activiste belge reproche, notamment, à la présidente de la Commission d’avoir présumément supprimé des SMS afin de ne pas dévoiler la méthode employée pour conclure un accord de près de 35 milliards d’euros avec le géant pharmaceutique Pfizer.

Plusieurs parties civiles se sont jointes à son action, dont la Pologne, la Hongrie ou encore Les Patriotes, le parti fondé par Florian Philippot.

Dans le huis clos de la salle d’audience, le juge devait statuer pour savoir qui, du parquet européen ou de la Justice belge, était compétent sur ce dossier.

Le président des Patriotes, partie civile, craint que le parquet européen, en récupérant l'affaire, n'enterre le dossier.

L'audience a, cependant, été ajournée au 6 décembre.

À la sortie du tribunal, Florian Philippot s'est tout de même dit soulagé et satisfait des débats.

Il ajoute : « Je ne vois pas comment elle peut être candidate à sa succession. »

 

Des SMS introuvables

Cela fait, maintenant, trois ans que cette affaire, comme le sparadrap du capitaine Haddock, colle tenacement à la réputation d’Ursula von der Leyen.

Tout commence au printemps 2021.

Au plus fort de la pandémie, l’Union européenne cherche à obtenir des vaccins.

La présidente de la Commission intervient alors et l’Union signe un accord pour 1,8 milliard de doses du vaccin Pfizer, soit, selon les estimations, environ 35 milliards d’euros.

Le nombre de doses, qui semble aujourd’hui bien trop important, et le contrat aux contours opaques laissent planer de nombreux soupçons.

Au même moment, le New York Times publie une enquête intitulée : « Comment l’Europe a négocié les vaccins Pfizer avec des SMS et des appels ».

« Pendant un mois, Madame von der Leyen a échangé des SMS et des appels avec Albert Bourla, le PDG de Pfizer.

Et au fil de leurs échanges, deux choses sont devenues claires : Pfizer pourrait offrir davantage de doses - beaucoup plus. Et l’UE serait ravie de les accepter », explique la journaliste.

 

Intrigué par cette diplomatie personnelle, Alexander Fanta, un journaliste allemand spécialisé sur les problématiques bruxelloises, réclame ces échanges et le contrat négocié, en vertu des règles de transparence en vigueur au sein de l’UE.

Il n’obtient qu’un document caviardé.

Les échanges de SMS n’auraient pas été identifiés.

Déçu, il dépose une plainte auprès de la médiatrice de l’Union en janvier 2022.

Celle-ci rappelle alors à l’ordre la Commission européenne et lui demande d'« effectuer une recherche plus approfondie des messages pertinents ». Impuissante, elle n’obtient aucun résultat.

« Le traitement de cette demande d’accès à des documents laisse la regrettable impression d’une institution européenne qui n’est pas franche sur des questions d’intérêt public majeures », regrette la médiatrice, qui dénonce alors une mauvaise gestion administrative.

 

Procédure devant les tribunaux

Refusant de baisser les bras, Alexander Fanta encourage le New York Times à saisir la Cour de justice de l’Union européenne afin de faire la lumière sur cette affaire.

C’est chose faite, en janvier 2023.

Parallèlement, le parquet européen, saisi par de nombreux citoyens européens qui dénoncent un manque de transparence, lance des investigations sur les achats de vaccins par l’UE.

L’enquête suit son cours et aucune information n’a été communiquée.

Las de ces procédures qui lui semblent sans issue, Frédéric Baldan a donc décidé d’attaquer au pénal la présidente de la Commission européennes.

Avec les nombreuses parties civiles, il espérait sans doute que la Justice aurait fait la lumière sur cette affaire avant le 9 juin, date des élections européennes.

Mais les délais semblent, aujourd’hui, trop courts.

 
 
 
Clémence de Longraye
Par Clémence de Longraye
 
 
Journaliste à BV      https://www.bvoltaire.fr/
 
 
 
ET AUSSI
 
 
 
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TOUS LES FRANÇAIS DEVRAIENT ASSUMER PUBLIQUEMENT LEUR ISLAMOPHOBIE ! ( PHILIPPE VAL )

REVUE DE PRESSE !

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Comme Philippe Val, tous les Français devraient assumer publiquement leur islamophobie


Le Grand Recteur de la Mosquée de Paris, que des blasphémateurs appellent le Grand Rectum, porte plainte contre Philippe Val.

Mais mon coco, être islamophobe n’est pas encore interdit par la loi, que je sache !

Ah ! Il paraît que ce Grand Rectum est un modéré, la preuve, quand Salmane Rushdie a failli se faire assassiner par un de ses coreligionnaires, il a dit, de manière certes plus élégante, que c’était bien fait pour lui, et qu’il l’avait bien cherché. Il n’empêche que le successeur de l’ineffable Dalil Boubakeur est toujours un interlocuteur privilégié du pouvoir, et qu’il nous vend l’islam de France…

Rappelons d’ailleurs, puisqu’on évoque cet autre Grand Recteur modéré Dalil Boubakeur, qu’il avait déposé plainte contre Charlie Hebdo, qui avait publié les caricatures des dessinateurs danois.

En attendant, la meilleure façon de soutenir Philippe Val serait que tous les Français qui ont la possibilité de s’exprimer publiquement aient le même courage que lui, et se disent ouvertement islamophobes.

Nous, cela fait vingt ans que nous le disons, cela nous a coûté quelques procès, mais nous assumons et continuons : on a le droit de se dire islamophobe, et quand on connaît l’islam, ce n’est pas seulement un droit, mais un devoir.

Donc, pourquoi, en soutien de Philippe, comme cela avait été fait à l’occasion des caricatures, l’ensemble des médias français ne titreraient-ils pas : M. le Grand Recteur, moi aussi, comme Philippe Val, je suis islamophobe !

Et M. le recteur de la Mosquée de Paris, si tu veux nous traîner devant la 17e Chambre, pour ce soutien à Philippe Val, c’est quand il veut…

Rappelons que quand Christine Tasin avait affirmé, devant des musulmans en furie : “Oui je suis islamophobe, et alors ?”, ponctué par cette phrase historique “L’islam est une saloperie”, elle avait été condamnée en première instance par des juges collabos, et relaxé en appel par des vrais magistrats.

Je suis profondément choqué et consterné par les déclaration au Figaro de Philippe Val.
 
Affirmer ouvertement son islamophobie, une haine irrationnelle d’une religion entière, est non seulement irresponsable mais également dangereux.
Philippe Val semble confondre les actes criminels d’une minorité d’extrémistes avec les croyances de millions de musulmans pacifiques à travers le monde.
 
En tant que journaliste expérimenté, il devrait pourtant savoir que de telles déclarations font l’impasse sur l’histoire complexe et les véritables responsabilités dans la naissance et la propagation des mouvements fondamentalistes islamistes en Europe. Réduire ce phénomène à une simple question de religion est non seulement simpliste, mais aussi trompeur et malhonnête.
 
J’ai personnellement accueilli Philippe Val à la mosquée, malgré ses positions extrémistes, dans un effort d’établir un dialogue et de montrer que la porte des musulmans est toujours ouverte à la discussion. Malheureusement, il semble que cela ait été en vain.
Tenter d’expliquer à quelqu’un rongé par la haine que cette haine est immorale est une cause perdue.

Il ne me reste donc plus qu’une chose à faire : faire appel à la loi.

Je vous annonce que je vais déposer plainte contre Philippe Val.

Ces propos sont inacceptables et doivent être sanctionnés pour protéger notre société contre de tels discours @GDarmanin, @E_DupondM,

 

LES NOUVEAUX AVENTURIERS

4e jour d’évasion de Mohamed Amra, toujours pas retrouvé. https://www.bfmtv.com/police-justice/fourgon-penitentiaire-attaque-dans-l-eure-quatre-jours-apres-l-evasion-de-mohamed-amra-ou-en-est-l-enquete_VN-202405180071.html

Avec le Yéti, on se demande pourquoi attaquer des fourgons, on peut se retrouver en liberté, quand on est chef dealer, sans le moindre effort. https://www.laprovence.com/article/faits-divers-justice/1...

Algérien en situation irrégulière abattu après avoir voulu mettre le feu à la synagogue. Bravo les flics, pas de prisonniers ! 93 % des OQTF non appliquées par l’incapable Darmanin, qui s’abrite derrière les lois de l’UE. Hypocrisie de la gauche, qui se la joue “l’antisémitisme c’est affreux”, mais qui souffle sur les braises depuis le 7 octobre et alimente l’antisémitisme dans les quartiers. Par ailleurs, beaucoup plus de réactions de la classe politique quand c’est une synagogue qu’une église. https://www.bvoltaire.fr/rouen-un-homme-abattu-apres-avoir-tente-de-mettre-le-feu-a-une-synagogue/

La famille, c’est sacré. https://www.lefigaro.fr/actualite-france/il-m-a-lu-le-cor...

 

LES NOUVEAUX TERRAINS DE JEUX

Nouvelle-Calédonie : Le foutoir continue, malgré l’État d’urgence et les mesures du gouvernement. 150 entreprises pillées et brûlées. Un mort de plus, apparemment un Gaulois. Déjà 200 millions de dégâts, on est parti pour le milliard, comme pour les émeutes Nahel Marzouk.

Toute la gauche et Macron souhaitaient un vote pour l’indépendance, ce qui constitue une véritable trahison, au vu des enjeux stratégiques et énergétiques de l’île. Les ingérences étrangères (Chine, Azerbaidjan, Australie, Etats-Unis) n’ont pas rencontré les mises au point nécessaires. La gauche, au nom de l’anticolonialisme, se place résolument dans le camp des traitres à la France. https://www.lefigaro.fr/conjoncture/c-est-une-situation-d-apocalypse-l-economie-de-la-nouvelle-caledonie-plonge-dans-le-chaos-20240517

https://www.bvoltaire.fr/entretien-nouvelle-caledonie-veut-on-renoncer-a-etre-une-grande-puissance/

https://www.bvoltaire.fr/nouvelle-caledonie-ingerences-etrangeres-tout-le-monde-savait-sauf-le-gouvernement/

Retour du discours “dominant-dominé” qui autorise à dire le contraire en Nouvelle-Calédonie que ce qu’on dit en France. https://www.bvoltaire.fr/nouvelle-caledonie-soudain-lextreme-gauche-tient-un-discours-dextreme-droite/

https://www.fdesouche.com/2024/05/17/nouvelle-caledonie-la-gauche-contre-le-grand-remplacement-des-kanaks-ne-vous-inscrivez-pas-dans-un-procehttps://la1ere.francetvinfo.fr/mayotte/appel-des-habitant...ssus-de-colonisation-qui-consiste-a-mettre-en-minorite-un-peupl/

Mayotte : lassés de l’impuissance de Darmanin et de l’Etat-Macron, certains envisagent de prendre les flingues.https://la1ere.francetvinfo.fr/mayotte/appel-des-habitant...

 

STRATÉGIES, TACTIQUES ET CONTORSIONS

Le RN, qui a voté la loi mardi, explique à présent qu’il était irresponsable d’engager la procédure avant les Jeux Olympiques. Et l’idée de référendum dans 40 ans ne va pas aider Bardella, dans son débat contre Attal, le 23 mai. https://x.com/BFMTV/status/1791160376106668158

Le traitre Mélenchon, depuis l’Afrique, encourage les Africains à venir submerger la France, expliquant à son auditoire qu’on a besoin d’eux. En temps de guerre, c’est 12 balles dans la peau. https://x.com/JLMelenchon/status/1791533067007365314

Autre registre, Thomas Portes voit dans la relaxe des gendarmes, sur l’affaire Traoré, une justice de classe, voire raciste, et donc souffle sur les braises pour que les jeunes haïssent un peu plus encore la France. https://x.com/Portes_Thomas/status/1791124020546482179

ÉCHOS DU CHAOS

Si on voulait, on en ferait des économies…encore faut-il vouloir…https://www.laprovence.com/article/france-monde/1574647619836315/secu-la-cour-des-comptes-pointe-5-5-milliards-deuros-derreurs-dans-la-branche-famille

Paris pré JO, gros embouteillages et holdup de bijouterie, de quoi allécher le touriste : https://www.leparisien.fr/jo-paris-2024/jo-2024-premieres-routes-fermees-a-paris-et-premier-embouteillage-gigantesque-17-05-2024-6N7IUOUA5JA4JKFRX3N3H6LDVY.php

et : https://www.leparisien.fr/faits-divers/braquage-dans-une-bijouterie-de-lavenue-montaigne-les-individus-fuient-en-tirant-en-lair-18-05-2024-BKKF7CBEXJFYDH25ADJ7LKHTII.php

JO 2024 : Le Vrai Coût Révélé – Qui Va Payer l’Addition ? https://www.youtube.com/watch?v=DTwGVLXUieQ&ab_channel=MoneyRadar

 
 

♦️ La croissance économique russe explose ! 5,4% en rythme annuel désormais !

Très très au-dessus de la France et l’UE !

« Prends ça Poutine » ! « L’économie russe à genoux » !

Vous vous souvenez ?!…
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LA FRANCE A REJOINS LE RÉGIME SOVIÉTIQUE .....OPINION !

 TRIBUNE LIBRE !

 

Jacques Myard

« L’inertie bureaucratique est l’un des héritages du tsarisme que le régime soviétique a fait fructifier  merveilleusement. »

Olivier Rolin.

L’administration française sous la férule des technocrates qui ont pris le pouvoir est effectivement dans la ligne et tradition soviétiques.

« Bureaucrates du monde entier, unissez-vous ! », telle est la réalité !

La démonstration, sur la base de dossiers bien connus des élus et des Français, vaut mieux que de longs discours.

 

La loi SRU et celles qui suivent, lois Duflot et ELAN, sont de petits chefs-d’œuvre idéologiques

Ces lois exigent que toutes les communes de France et de Navarre – ou presque – aient 25 % de logements sociaux, quelles que soient les contraintes locales, absence de terrains à bâtir ou autres.

A défaut, les contribuables devront payer des amendes, un véritable racket de l’État qui a ainsi transféré aux communes ses obligations de bâtir.

Le summum de ces lois absurdes, au-delà des contraintes matérielles et financières, est en fait la philosophie politique qu’elles sous-tendent : au nom de quoi des Français doivent vivre dans des logements sociaux, de manière assistée ?

Où est la politique des revenus de la Nation pour permettre à nos concitoyens de bénéficier de revenus suffisants pour se loger ?

Bien pire, ce système est géré par une flotte de fonctionnaires au ministère des affaires sociales qui défendent mordicus ce système aliénant qui justifie leur existence ; la boucle est bouclée !

Sans oublier les centaines de milliers de logements vides en province qui n’attendent qu’à être réhabilités pour accueillir des familles pourvu qu’on incite les entreprises à s’y installer : où est l’aménagement du territoire ?

 

Fiscalité, juste un peu orientée à la mode soviétique !

Savez-vous que depuis l’abolition de la taxe d’habitation par le Grand Timonier, les ressources des collectivités locales (communes, agglomérations, régions) ne pèsent que sur les vilains propriétaires.

Cela me rappelle la fameuse phrase du camarade Marchais : « Il faut prendre l’argent là où elle est ».

Est-il légitime que des locataires riches ne payent rien à leur commune de résidence où ils bénéficient des écoles, des crèches, des équipements sportifs et culturels ?

Non, c’est une violation constitutionnelle de l’égalité devant l’impôt établie pas la Déclaration des droits de l’Homme et du citoyen à l’article 13 ; il est vrai, cette injustice fiscale de date pas d’hier…

Pis encore, les départements n’ont plus de ressources fiscales et ne peuvent boucler leur budget que grâce aux honoraires sur les mutations immobilières, aujourd’hui en chute libre, en raison de la hausse des taux bancaires de la BCE sous la pression de l’Allemagne !

Ainsi, le Département des Yvelines fait face à une diminution de 150 millions d’€ de ses ressources alors qu’il doit assurer des aides sociales croissantes.

UBU est ROI !

 

Médias sous contrôle

La Pravda est bien vivante, et attention pour le journaliste travaillant dans un média étatique dit du « service public » à ne pas franchir la ligne rouge, en passant outre la doxa officielle.

Un journaliste de France Info vient de se faire licencier pour avoir osé prendre l’attache de Jordan Bardella, président du RN, afin d’écrire son autobiographie.

Le journal Le Monde dans un grand élan de solidarité a tout simplement dénoncé ce journaliste coupable d’entretenir des liens sulfureux avec le RN.

Pour Radio France, la ligne officielle ne peut souffrir de faiblesses de journaliste dont le métier est de s’informer avant d’informer.

Quant au journal Le Monde, le grand Pierre Viasson-Ponté ancien directeur vient d’être enterré une nouvelle fois à cent pieds sous terre ! Il est vrai que nous n’avions plus guère d’illusions sur ce quotidien du soir …

Mais il y a encore mieux sur le contrôle de l’information et même de la science :

Nos chers médias refusent l’antenne à tous les scientifiques qui émettent de doutes sur la vérité révélée du GIEC.

Les rédactions ont à ce titre écrit à leurs journalistes un texte incroyable : « La Charte pour un journalisme à la hauteur de l’urgence écologique. »

 

Cette Charte de Septembre 2022 dispose :

« Le consensus scientifique est clair : la crise climatique et le déclin rapide de la biodiversité sont en cours et les activités humaines en sont à l’origine…

Dans son sixième rapport, le GIEC insiste sur le rôle crucial des médias pour « cadrer et transmettre les informations sur le changement climatique »

Il appartient à l’ensemble des journalistes d’être à la hauteur du défi que représente l’emballement du climat pour les générations actuelles et à venir. Face à l’urgence absolue de la situation, nous, journalistes, devons modifier notre façon de travailler pour intégrer pleinement cet enjeu dans le traitement de l’information. …

Nous invitons donc la profession à (…) »

 

Suivent 12 articles dont le 7e s’intitule : « Révéler les stratégies produites pour semer le doute dans l’esprit du public. »

Et cet article ajoute : « Certains intérêts économiques et politiques œuvrent activement à la construction de propos qui trompent la compréhension des sujets et retardent l’action nécessaire pour affronter les bouleversements en cours. »  

En d’autres termes, faites taire tous les scientifiques qui mettent en doute les vérités révélées du GIEC, véritable gourou, et interdisez-les d’antenne !

Cette démarche rappelle étrangement la science officielle de l’URSS, le Lyssenkisme, d’après le Héros de l’URSS Trofim Lyssenko, ami de Staline, « inventeur » de la « vernalisation » qui augmenterait grandement la production du blé, à un moment où la collectivisation des terres ruinait l’agriculture soviétique.

Le Lyssenkisme est l’exemple de la science corrompue par l’idéologie politique.

Cette démarche rappelle aussi le procès de Galilée en 1610 par l’inquisition qui accuse le génial savant de remettre en cause le géocentrisme, la terre au centre de l’univers, une vérité biblique !

Empêcher le nécessaire débat sur les vérités révélées du GIEC est une faute. Le propre de la science est d’être toujours en débat, remise en cause .

La science officielle est la négation de la science.

 

Le règne et le diktat des technocrates, véritable nomenklatura

Les élus, députés ou maires, n’ont plus de pouvoir, ils obéissent aux multiples normes que les politiques ont votées et confiées à la technocratie qui a désormais pris le pouvoir et l’exerce avec le renfort de la Justice saisie par les ONG notamment.

A cet égard, l’urbanisme échappe désormais de plus en plus à la maitrise d’élaboration de son cadre réglementaire par les maires.

Le « Porter à connaissance » de l’État adressé à la Région Ile- de- France, document que j’ai analysé en détail, démontre que la Région n’est devenue qu’un niveau déconcentré de l’action de l’État, aux ordres !

 

Le démembrement  de la France soviétique

Ce n’est pas un paradoxe ou une pirouette, on assiste au démembrement de la France soviétique résultant de la montée en puissance de nouveaux acteurs qui se substituent au pouvoir régalien.

Il s’agit des ONG qui ont désormais accaparé le pouvoir à leurs fins et sont tout entières attachées à faire prospérer leurs fonds de commerce.

L’ONG Anticor est un exemple topique de la reprise de l’action publique pour lutter contre la corruption, possibilité dévolue normalement au parquet par le code de procédure pénale.  

Même si des décisions de justice viennent de contester l’action de cette ONG, le pouvoir accordé à Anticor en dit long sur le délabrement de l’État dont la justice est un service public régalien !  

Ces organisations n’ont de cesse d’agir en politique et de se propulser dans les tribunaux pour faire plier les gouvernements et les autorités élues.

Elles agissent très largement avec le soutien de l’opinion publique qui n’a plus confiance dans la parole des gouvernements.

« Le régime de l’Union soviétique est en réalité celui de l’État sans le peuple »

Par Jacques Huntziger, ambassadeur

Il n’y a plus d’interrogations à avoir : la France a rejoint la Russie soviétique !

 

18/05/2024

ESPÉRONS NE PAS PARTIR EN GUERRE ! ( NANOUCHE )

« J’espère de toutes mes forces qu’on n’aura pas à partir en guerre



« Et en même temps » Vatenguerre fait de toutes ses forces l’inverse ! Réponse de Sergueï Lavrov qui lui n’est pas dans une série Netflix : « si les pays occidentaux veulent résoudre la crise ukrainienne en envoyant leurs troupes, c’est leur droit. La Russie est prête, alors ce sera sur le champ de bataille ». Voilà où mène l’instrumentalisation par la peur de L’Enlysée dans son « ambiguïté stratégique ».


Faire peur aux Français, comme moyen de pression à chaque consultation électorale. ManuMilitari serait le garant de la paix en Europe « et en même temps » s’autoproclame chef de guerre à la place de tous les dirigeants européens.

Mais qu’il aille se faire soigner, ce malade !

Sans prise sur le présent, sa parole est confinée dans sa folie ! Le 7 mars « il nous faudra être à la hauteur de l’histoire et du courage qu’elle implique » dixit Mégalo1er qui se prend pour Napoléon, quant au courage il est le premier qui se planquerait dans son bunker !

Son instrumentalisation quotidienne, dure depuis le mois de février répétant encore au mois de mai dans ‘The Economist’ qu’il envisage l’envoi de troupes au sol. Il veut gagner à lui les pires bellicistes en France, ceux qui font la guerre avec la vie des autres! Il entretient une psychose guerrière afin de figer les esprits dans une peur à grand renfort de postures jusqu’aux plus dangereuses via la propagande des médias comme LCI qui se fait son porte-voix.


La France serait au bord de la guerre ?

Rappel, c’était le 19 mars : « il faut être prêts à défendre la République », la République » n’est menacée que dans son cerveau de malade ! Notre p’tit coq monté sur ses ergots, n’avait « aucune limite » et plus de « lignes rouges » contre « la Russie qui est une menace pour la France et un adversaire », « notre devoir est de se préparer à tous les scénarios (…) pour contrer les forces russes ». «

La force de la France, c’est que nous pouvons le faire… » et non, nous ne pouvons pas le faire. C’est Moi le chef n’en a pas les moyens !

Et blablabla. Il estimait que Poutine « entretient un discours de la peur », mais inversion, alors que le Ministère de la Vérité en France c’est chaque jour.

Lui-même appelait les Français «à ne pas céder à la peur, mais ne pas avoir peur de la lucidité», mais la peur qu’il entretient à dessein, cela vise à faire quoi ? Lucidité qui lui fait totalement défaut depuis des années.

Donc, rebelote. Il se voit en grand guerrier, mais aucun autre pays ne se mettra en ordre de bataille derrière lui, même après avoir accusé les autres dirigeants de faibles, et pour cause, tous sont sous le parapluie de l’OTAN.

Même si l’OTAN qui n’a pas respecté la promesse faite à Gorbatchev et à Eltsine de ne pas s’étendre vers l’est, Biden n’entrera pas en conflit direct avec Poutine, parce qu’il a le souvenir de la Seconde Guerre mondiale.

Une logorrhée devenue incontrôlable.

Samedi, TikTokard1er dans une énième mise en scène grotesque sur X qui se voulait ‘cool’ en tant que chef de clan de Renuisance pour les Européennes répondait à une question d’un internaute lui demandant si la France va s’engager dans le conflit opposant l’Ukraine à la Russie.

« Non, j’espère de toutes mes forces qu’on n’aura pas à partir en guerre. L’Ukraine a été attaquée par la Russie et, à un moment donné, il faut qu’on arrive à dissuader la Russie de continuer à avancer », dans cette guerre « se joue la souveraineté et l’intégrité du territoire [de l’Ukraine], mais aussi l’État de droit, nos règles communes, et si on laisse faire en Ukraine, c’est la loi du plus fort. »


Pour contrer l’expansion, comprendre que les USA ne sont pas expansionniste, de la Russie, il ‘veut’ l’implication des autres pays du continent.

« Il faut dire aussi que, nous tous, Européens, on doit être prêts à agir pour les en dissuader ». « Il faut être dissuasifs et crédibles vis-à-vis de nos adversaires, en leur disant : ‘si vous allez trop loin et que vous menacez mes intérêts, ma propre sécurité, alors je n’exclus pas d’intervenir. […]

La France n’est pas une puissance de guerre, mais une puissance de paix. Mais oui, si on veut avoir la paix, il faut la protéger ».

La paix, mais « en même temps » on, moi, je n’exclus pas d’intervenir ? «Nous ne permettrons pas que l’on nous menace» voilà c’était la mise en garde de Poutine lors de la cérémonie militaire du 9 mai.

Cinglé1er s’efforce par tous les moyens de nous entraîner dans une hostilité croissante vis-à-vis de la Russie.

Non, la Russie ne va pas nous envahir : elle souhaite seulement garantir sa sécurité, car les Russes n’admettent pas que Washington fasse à leurs frontières ce que les États-Unis n’ont jamais accepté aux leurs. La guerre et la lutte contre l’extrême droite comme seuls arguments de campagne pour nous vendre son Europe, mais la guerre est en France et ce n’est pas l’extrême droite qui tue et assassine !!


Après les « nationalistes européens qui ne sont que des brexiters cachés » le chef de clan dénonce «l’hypocrisie» des partis d’extrême droite qui «avancent masqués».

L’inversion accusatoire est une tromperie très grave, car elle porte sur la distinction entre le Bien et le Mal.

Car avec cette inversion le Mal se pare des couleurs du Bien et du Juste. Il accuse en réalité les autres, de ce qu’il fait et a l’intention, lui, de commettre.

« Je m’impliquerai dans les Européennes », qu’il avait dit Manu1er croyant pouvoir retourner la situation à son avantage. Mais beurk les ‘populistes’ qui joueraient sur les peurs ce qui ne serait pas bien.


« Il y a une forme d’hypocrisie, de projet caché aujourd’hui des extrêmes droites qui les fait progresser, c’est qu’elles avancent masquées.

Là où les extrêmes droites il y a encore cinq ans, six ans, disaient ‘Brexit’, ‘Frexit’, ‘sortie de l’euro’, ‘sortie de l’Europe’, elles n’osent plus le dire, mais au fond le projet qu’elles portent, c’est la même chose ».

D’ajouter qu’il n’y a « pas de fatalité face à l’extrême droite », exhibant sa carte d’électeur à la main toujours sur X, pour inciter à se rendre aux urnes le 9 juin.

« Ce que vous pouvez faire pour l’Europe c’est d’aller voter et ne pas laisser à d’autres la possibilité de choisir votre Europe ». Notre eurolâtre tente de faire « un référendum pour ou contre l’Europe ».

L’idéal serait que ce vote se transforme en référendum contre Sa Saigneurie.

Que toute cette colère accumulée depuis des années lui soit renvoyée comme une baffe monstrueuse. Il faut le stopper !

Et pour sa propre propagande, le 9 mai au soir, sur l’Arc de Triomphe que notre autocrate vénéré n’a pas hésité à privatiser était projeté « c’est dans un mois.

Élections Européennes le 9 juin. Utilisez votre voix ».

 

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Autre exemple, l’accusation portée à l’encontre des ‘mouvements populistes’ de menacer la démocratie, voire de vouloir imposer un régime dictatorial…

Alors que nous vivons au Macronistan et c’est bien Macronéron qui détruit la démocratie. Comme si brandir ce mot avait un effet magique sur la réalité.

Brader notre souveraineté dans tous les domaines mais hurler souveraineté alimentaire, souveraineté énergétique, censurer à tout va mais au nom du Bien pour « protéger » les Français, s’asseoir sur les institutions, etc.

Démocratie signifie seulement la soumission du peuple français à l’idéologie et aux intérêts de son oligarchie européenne corrompue, se comportant comme un agent de l’étranger auquel il est redevable.


Il est significatif que nos ‘élites’ politico-médiatiques choisissent de donner un sens péjoratif au mot populiste : car dans leur esprit il ne faut surtout pas faire les volontés du peuple, pouah la plèbe, ni le protéger, mais au contraire le soumettre! Et le complotisme serait une maladie d’extrême droite consistant à voir des complots partout.

Mais en réalité c’est bien le traître à la France qui complote en permanence contre les Français, et renverse la charge en parlant de projet caché, alors qu’il vomit tout ce qui fait la France. Le peuple ne comprend rien, contrairement à Jupéteux, il n’est qu’un ignare. Un exemple, concernant le ‘Brexit’ on a pu mesurer l’étendue de l’esprit « démocratique » de notre autocrate vénéré.

Qu’affirmait-il ? Que l’économie anglaise allait s’effondrer, que les marchés allaient s’affoler et que, bien sûr, cela coûterait à la France une diminution de sa croissance, aucun rapport ! Brexit = 4.2% de chômage !


Et le 1er mai, le PremierSinistré a déclaré : « une France qui sortirait de l’Union européenne, ce serait un appauvrissement économique total » !

L’appauvrissement total, il est organisé depuis 2017 par Fossoyeur1er qui désindustrialise massivement notre pays, le vend à des investisseurs étrangers, etc.

Mais après sept ans, Gloire à Moi se félicite de son travail. Il trouve qu’il a été génial, bah oui, un exemple de son génie : après avoir, vendu Alstom et bradé les turbines Arabelle à General Electric, Vulcainéron n’arrive pas malgré ses promesses, à les racheter aux Américains.

Un sabotage de plus de notre industrie nucléaire

L’hypocrisie qui avance masquée continue avec ses sommets narcissiques ‘Choose France’ : esbroufe et déclin. Contraste saisissant, exubérance, gesticulation, fanfaronnade inversement proportionnelle à la réussite d’une vraie politique dans l’intérêt du pays.

Une France qui serait forte n’a pas besoin de s’afficher ni de pérorer quotidiennement. Énième tentative de compensation, qui signe en creux l’effondrement économique du pays.

Le paraître pour camoufler ses dégâts. Son Choose France pompeux ou la frime est l’expression du désastre.

Confit dans sa vanité qui dépasse l’entendement qui n’a d’égal que son irresponsabilité, nous pensions que grâce aux réformes de Jupéteux « ambitieuses, historiques », nous avions une croissance inédite, une économie solide, que le plein-emploi est là, etc., que ses résultats sont tellement extraordinaires que cela valait bien un article à sa gloire dans l’officine de propagande ‘La Tribune du Dimanche’.

« Et en même temps » sans son ‘Choose France’ qui coûte un pognon de dingue aux contribuables, la réalité ? 2023 : 2000 emplois VS nouveau record : 60 360 sociétés françaises défaillantes ont été relevées entre février 2023 et février 2024 !

Mais Kéké1er nous a dit qu’IBM va recréer des emplois, youhou, après en avoir supprimé des milliers : gain 0 ! Dimanche soir, France Télévision en mode propagande a fait un reportage sur l’usine McCain qui va investir 25 millions, et, patatras, via Dimitri Pavlenko on apprend que la patate française va se faire dorer la pilule en Belgique et que cette usine prévoit la création de cinq emplois…

En 2028 ! Son show narcissique est avant tout une opération destinée à convaincre les Français que « tout va bien » alors que ce n’est pas le reflet de la situation actuelle.

Sa réindustrialisation est inexistante, mais en plus elle devrait se faire prioritairement avec des entreprises françaises dont il a alourdi les charges tout en avantageant les étrangères.

Dernier délire : Logorrhéer1er a donné une interview à Bloomberg dans laquelle il ne voit pas d’inconvénient à ce que la Société Générale soit rachetée par une banque d’un autre pays européen !

Voilà pour SON Europe. Les intérêts des autres passent avant les nôtres. Après Alstom, Lafarge, Technip, etc., une obsession anti-française à détruire. 2.

Notre ‘Mozart des Finances’ veut augmenter le budget de l’UE de « 1000 milliards d’euros » !

Ce qui coûterait à la France des dizaines de milliards en plus chaque année, comme contributeur net ! 3.

Il redit son souhait de faire « l’union des marchés de capitaux » : moyen de pouvoir piocher tranquillement dans l’épargne des gens ! Mais non, ce type n’est toujours pas dingue !

Et la France dans tout ça ?

Mais tout va tellement bien, que Fossoyeur1er fanfaronnant sur X n’en que pour son « Europe du climat, de la décarbonation et de l’IA », se vantant de ses réformes qui ont ‘redressé’ la compétitivité de la France en concluant son ‘Choose France’: « c’est le fruit des réformes opérées depuis 2017 (…) les Français ne voient pas les bonnes choses » dixit notre affabulateur sous poudre de perlimpinpin s’inventant des résultats extraordinaires…

Allez, de nouveau vous êtes sommés de « penser printemps »!

Mais « en même temps » il est plus que temps de partir en guerre de toutes nos forces contre ce traître à la France  !

 

Par Nanouche

Attention ce texte est un pamphlet n’engageant que son auteur. Observatoire du MENSONGE défend la liberté d’expression ! Faîtes de même en le partageant et/ou en nous suivant. MERCI !

 

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VERS L' INTERDICTION DE LA CROIX CELTIQUE ??? ( RIVAROL )


Rivarol n°3614 du 15/5/2024 (Papier)

Editorial

Vers l’interdiction de la croix celtique ?

SE DIRIGE-T-ON vers l’interdiction pure et simple de la croix celtique en France ?

Cela paraît délirant mais ce n’est pas hélas improbable compte tenu de la folie répressive actuelle.

Après le succès de la manifestation organisée par le Comité du 9 mai en hommage au militant nationaliste Sébastien Deyzieu, mort il y a trente ans en tombant d’un toit alors qu’il était poursuivi par la police de Charles Pasqua, alors ministre de l’Intérieur du gouvernement de cohabitation dirigé par Edouard Balladur, à la suite de sa participation à une manifestation interdite contre l’impérialisme américain, le député socialiste du Calvados, Arthur Delaporte, propose dans Libération daté du lundi 13 mai d’interdire purement et simplement l’usage de la croix celtique dans notre pays.

Il faut dire que le Système a été ulcéré par la réussite d’un rassemblement pacifique se déroulant sans que se produisît le moindre incident (cela change des manifestations de gauche et d’extrême gauche ou des défilés syndicaux qui ont presque toujours leur cortège de casseurs !) réunissant près d’un millier de jeunes participants en plein Paris le samedi 11 mai après que le tribunal administratif eut cassé la décision préfectorale d’interdiction de la manifestation au motif que l’arrêté du préfet portait une atteinte grave et disproportionnée à la liberté de manifester.

Cet acte d’indépendance de la justice administrative étonne positivement quand on sait que cette dernière se fait trop souvent la simple chambre d’enregistrement des décisions gouvernementales ou préfectorales, on l’a vu notamment au moment des crises covidesques où elle a validé toutes les décisions liberticides de l’Exécutif portant atteinte à la liberté de circulation, de manifestation, de réunion et de culte et on s’en est également aperçu lorsqu’elle a validé à deux reprises, d’abord en référé à l’été 2022, puis sur le fond au printemps 2024, la décision de la CPPAP (commission paritaire des publications et agences de presse) de nous exclure de ses registres.


Cette décision du tribunal administratif est une victoire pour les organisateurs du défilé en hommage à Sébastien Deyzieu qui ont su trouver les arguments juridiques de nature à convaincre les juges. Mais elle est aussi et surtout un camouflet pour le préfet de police de Paris,

Laurent Nunez, et plus encore pour le ministre de l’Intérieur, Gérald Moussa Darmanin.

N’oublions pas en effet que c’est après le défilé du 6 mai 2023 en hommage à Sébastien Deyzieu qui avait indisposé la gauche que le locataire de la Place Beauvau avait pris une circulaire ahurissante interdisant de manière systématique, à Paris et sur tout le territoire national, toute manifestation « de l’ultra-droite et de l’extrême droite ».

Toute manifestation, c’est-à-dire des défilés, des colloques, des banquets, des offrandes florales à la sainte de la patrie, un hommage à un défunt dans un cimetière. Cette décision du tribunal administratif prise le samedi 11 mai 2024 au matin, quelques heures seulement avant le début du défilé pour Sébastien Deyzieu, marque-t-elle un coup d’arrêt à cette dérive liberticide du gouvernement désireux de complaire à de puissants groupes de pression, toujours les mêmes, ou est-elle seulement une victoire à la Pyrrhus qui ne changera rien sur le fond dans la durée ?

Il est encore trop tôt pour le dire mais saluons pour l’heure cette humiliation pour le sinistre Darmanin.

On se réjouira également que les défilés et manifestations en l’honneur de sainte Jeanne d’Arc aient pu avoir lieu normalement cette année, le dimanche 12 mai, qu’ils aient pu se tenir sans encombre et n’aient pas été interdits en amont.

LA GAUCHE étant connue pour son esprit sectaire voire totalitaire, elle ne saurait bien sûr accepter que les nationalistes et identitaires puissent eux aussi défiler dans la capitale pour rendre hommage à l’un de leur camarade décédé dans des conditions dramatiques.

C’est pourquoi elle propose d’aller encore plus loin dans la répression. Il n’est donc finalement pas si surprenant qu’un député socialiste ose proposer l’interdiction de la croix celtique alors même que cet emblème immémorial est au cœur de nos traditions et de nos civilisations et que, si on le voit dans tous les cimetières d’Irlande, il est aussi présent en France dans nombre de monuments, de peintures et de sculptures et notamment au faîte de certaines églises.

Thierry Bouzard a précisément consacré il y a quelques années un très intéressant ouvrage à la croix celtique qui démontre de manière documentée, précise et indiscutable à quel point ce symbole est ancré dans notre histoire et répandu dans notre civilisation.

L’ élu socialiste Arthur Delaporte, qui se comporte en cloporte, annonce donc à Libération — qui recueille religieusement son initiative — le dépôt rapide d’une proposition de loi destinée, tenez-vous bien, à pouvoir « interdire tout symbole utilisé par des associations reconnues comme anticonstitutionnelles et contraires aux principes d’amitié contre les peuples ».

Rassurez-vous, le député ne vise pas là les associations communautaires juives, de la LICRA à l’OJE (Organisation juive européenne) en passant par l’Observatoire juif de France (OJF) qui ne trouvent rien à redire, mais vraiment rien, au génocide en cours des Palestiniens à Gaza et à la famine organisée par l’entité sioniste désireuse de se débarrasser des « animaux humains » que seraient les Gazaouis selon les propos publics du ministre de la Défense israélien. Non, le député Delaporte, que les électeurs auraient dû mettre à la porte, vise là exclusivement les associations et groupements nationaux et nationalistes.


« Il faut, gémit-il dans Libé, nous protéger contre les ennemis de la République et de la démocratie. Aujourd’hui l’article R645-1 de notre code pénal interdit le “port d’un insigne ou un emblème rappelant les uniformes, les insignes ou les emblèmes qui ont été portés ou exhibés soit par les membres d’une organisation déclarée criminelle” à l’issue de la Seconde Guerre mondiale par le très contestable tribunal militaire international de Nuremberg, “soit par une personne reconnue coupable par une juridiction française ou internationale d’un ou plusieurs crimes contre l’humanité”.

Donc les nazis. Et uniquement leurs organisations reconnues comme telles. Résultat : on interdit la vente de drapeaux avec une croix gammée mais on peut se balader dans Paris avec une croix celtique alors que c’est aussi un symbole suprémaciste blanc, ethnodifférentialiste. Je propose donc de nous inspirer de ce que font les Allemands : interdire tout symbole utilisé par des associations reconnues comme anticonstitutionnelles et contraires au principe d’amitié contre les peuples. En changeant la loi, on pourrait interdire l’utilisation de la croix celtique puisqu’elle a été l’emblème de plusieurs groupements dissous en France. […] Il faut d’urgence muscler notre droit pour renforcer notre arsenal juridique.

Pouvoir interdire ces manifestations et ces emblèmes qui participent de l’usage d’une symbolique tout en garantissant nos valeurs fondamentales. Ce qui a fait la force du nazisme, c’est aussi l’usage des symboles sur les masses. »

CE QUE le député Delaporte ne dit pas, c’est que la croix celtique n’a jamais été utilisée comme emblème par l’Allemagne nationale-socialiste et tout ramener au nazisme est grotesque et prouve de surcroît une certaine forme d’inculture, hélas très courante aujourd’hui, même chez les élus de la République.

Et pour justifier cette nouvelle mesure liberticide, le député convoque sans surprise l’histoire (écrite par les vainqueurs) et la Mémoire : « Nous allons entrer dans une séquence de commémorations des 80 ans du Débarquement en Normandie. Je rappelle que la manifestation interdite du 7 mai 1994, au cours de laquelle meurt accidentellement le militant de l’Œuvre française à qui rendent hommage ces néofascistes chaque année, avait été organisée contre l’organisation des 50 ans du débarquement des Alliés, parce qu’ils ne voulaient pas que l’on commémore la fin du régime hitlérien !

Dans trois semaines, on rendra hommage à ces combattants qui nous ont libérés du nazisme. Comment accepter qu’on laisse s’afficher des symboles en plein Paris accompagnés de saluts hitlériens ? » On se demande où le député a vu dans ce défilé pacifique et remarquablement organisé des « saluts hitlériens » (il serait d’ailleurs plus juste historiquement de parler de saluts romains ou olympiques) mais, qu’importe, l’essentiel pour ces gens n’est pas de dire la vérité mais d’asphyxier sans cesse nos libertés.

Alors que les crimes et les délits, y compris les plus barbares, explosent dans notre pays, le Parlement n’a donc pas d’autre priorité que d’interdire la croix celtique.

Et également d’euthanasier les vieux (et à terme aussi les autres) puisque le projet de loi appelé pudiquement sur la fin de vie va être examiné à partir de cette semaine par l’Assemble nationale.

Le Parlement se garde bien également de condamner les crimes perpétrés par l’entité sioniste

. Lors du dîner annuel du CRIF le 6 mai dernier, le Premier ministre Gabriel Attal, rappelant explicitement sa judéité, a justifié sans réserve l’action meurtrière de Tsahal à Gaza et n’a pas eu un mot de compassion, pas un seul, pour la population civile palestinienne martyrisée.

Quant à l’Eurovision, où l’on exclut la Russie mais où Israël est membre de plein droit (l’entité sioniste serait-elle géographiquement en Europe ?), ce qui a suscité fort heureusement en Suède où se tenait cet événement certaines réactions outrées compte tenu des crimes commis par un Etat sioniste, terroriste, assassin et voyou, elle a fait étalage de mauvais goût, de pornographie, de satanisme (la chanteuse irlandaise était ainsi grimée en sorcière avec un accoutrement effrayant) et d’homosexualisme, le chanteur suisse qui a gagné la compétition, Nemo, se définissant comme non binaire (Libé salue avec enthousiasme « le monde queer de Nemo »). Pauvre Europe ! Jusqu’où est-elle tombée ?


Face à toutes ces immondices, recommandons-nous de sainte Jeanne d’Arc, fêtée dimanche dernier, et de la Vierge Marie, la vraie première Dame de France célébrée tout particulièrement en ce mois de mai qui lui est consacré, « le mois le plus beau » comme nos pères le clamaient dans un cantique populaire, simple et attachant. […]

RIVAROL,<jeromebourbon@yahoo.fr>.

 

 

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ET AUSSI

Billet hebdomadaire

Flamme olympique et imbibition arc-en-ciel

La révolution arc-en-ciel est une révolution synodale. Emmanuel Macron, révolutionnaire-né, l’a bien compris lorsque, jeune homme avide d’Élysée, il nomma le mouvement de ses premiers affidés

 En Marche : les arcs-en-ciel marchent ensemble, scandent ensemble leurs slogans et leurs mantras, c’est leur lex orandi qui devient credendi, cette marche ensemble secrète en marchant leur pensée.

Greta Thunberg n’a pas carotté la glace des pôles ni pénétré la chimie de la stratosphère, elle a marché autour de la planète, infatigable globe-trotteuse du climat, appelant ses fidèles à marcher avec elle, inlassablement, à rendre un culte enthousiaste, par cette procession de bacchantes, à Gaïa, la déesse mère.

Lesbiennes, Gays, Bissexuels, Trans, Queers, non binaires et autres fétichistes de l’identité ne font pas autre chose lorsqu’ils promènent leur fierté, leurs cuirs, leurs talons, leurs accessoires par les rues des mégapoles du monde entier.

Ainsi font aussi les syndicats, les étudiants, les militants, les radicaux, les libéraux, les activistes comme on dit maintenant à la manière anglaise, non parce qu’ils agissent à proprement parler, mais parce que par leur marche ils manifestent leur volonté de révolution, leur essence révolutionnaire.


Mais la révolution dépasse la volonté des révolutionnaires.

C’est une foule en marche qui se nourrit de son propre mouvement, dans l’hypnose et la transe. Un phénomène panique, comme la guerre.

Elle abolit les lois de la raison et de la morale ordinaire. Elle a ses fantasmagoriques extases. Nous en avons connu deux voilà vingt ans, la Fatwa de George W Bush contre Saddam avec la petite fiole du gros Colin Powell à l’ONU, et le second tour de 2002, quand la France joua à No Pasaran avec Le Pen, Chirac officiant en grand Chaman de l’antifascisme.

Je rappelle ici ce grand moment de rigolade pour bien éclairer la méthode révolutionnaire : pour que l’illusion soit souveraine, il faut qu’elle soit totale, il faut que les sceptiques, ceux qui entendent garder la tête froide, les yeux ouverts, la parole critique, soient très peu nombreux, qu’ils ne pèsent rien.

Cela implique que toute la société marche dans la combine, que tout le monde participe au mensonge, presque de bonne foi, et c’est ce qui s’est passé pendant deux folles semaines du printemps 2002 : tous les corps constitués, toutes les institutions ont participé à la mise à mort magique du mal.

Quand je dis tout le monde, ce fut vraiment tout le monde. Les médias, les politiques, tous les professionnels du mensonge, en premier, bien sûr. Tous leurs assistants ordinaires aussi.

Les défenseurs des droits de l’homme et de l’inclusion, les associations antiracistes ou antisexistes.

La Ligue des droits de l’homme. La commission nationale des droits de l’homme sortait « exceptionnellement de sa réserve » pour « barrer la route » à l’inacceptable.

Ainsi la réserve mène-t-elle à tout, à condition d’en sortir. Vinrent ensuite le Comité d’action de la Résistance, les Anciens volontaires en Espagne (AVER) et leurs amis (ACER), l’Interassociative lesbienne, gaie, bi et trans, l’UEJF, la LICRA, le MRAP, le CRIF, le Gisti, la Cimade et tant d’autres, la grande kyrielle des pompeuses pleureuses impérieuses.

N’oublions pas les églises et les loges. Toutes les autorités morales

. Suivirent les syndicats, tenus en principe par leur statut à l’apolitisme, mais poussés par l’urgence à sortir eux aussi de leur réserve. Tous, y compris le SNIP, syndicat national indépendant de la police majoritaire chez les CRS, et le SNJ, syndicat national des journalistes. Comme ça, on était sûr que l’information serait au petit poil.


Le Syndicat national des producteurs, diffuseurs et salles de spectacles envoya une lettre à ses adhérents qui commençait ainsi : « C’est la première fois que le syndicat vous demande d’intervenir par rapport à un problème politique. » Pour la première fois les apolitiques faisaient de la politique.

Pour la première fois les muets parlaient. Pour la première fois les comiques étaient sérieux.

Pour la première fois, toutes les forces du système donnaient ensemble contre un homme — un diable, plutôt : Le Pen. Même la société des gens de lettres qui se vantait de s’être « toujours tenue à la stricte neutralité » accepta de perdre pour l’occasion sa virginité.

Cette exception devint la règle civique. Tous les corps professionnels prirent au pas cadencé le maquis anti-Le Pen.

Le Syndicat national de l’édition, la Confédération des vignerons de France, le Syndicat des avocats de France, l’Union des jeunes avocats, le Syndicat des praticiens libéraux, le SASUB (syndicat national des administrations scolaires et universitaires et des bibliothèques).

Plus de mille bibliothécaires assuraient que le Pen et le FN étaient « des ennemis déclarés de la lecture publique ».

Les syndicats des médecins des centres de santé (USMCS et USMSF) affirmaient que « les idées du FN sont diamétralement opposées à la déontologie médicale ».

Le SNMPMI, syndicat national des médecins de protection maternelle et infantile, approuvait.

L’Association nationale de l’insémination artificielle et les pupilles de l’enseignement, l’école de voile des Glénans, se joignirent au mouvement, l’Association nationale des victimes de l’amiante (Andeva) ne fut pas en reste. Les maires morigénèrent leurs administrés qui avaient mal voté.

Un club de foot près d’Angoulême décida de se dissoudre pour ne « plus représenter une ville où Le Pen cartonne ». Les postiers décidèrent de ne plus distribuer les plis électoraux du FN.

La culture monta au créneau, de Beaubourg au Zénith.

L’Association française des orchestres, les directeurs d’école d’art, le Centre français de formation lyrique, la Chambre professionnelle des directeurs d’opéra, le Syndicat des producteurs de films d’animation et l’Union syndicale de la production audiovisuelle se mobilisèrent.

Un collectif d’acteurs et de chanteurs nommé Vive la France entonnait une Marseillaise Anti-le Pen sur le parvis des droits de l’homme au Trocadéro. Roberto Alagna, réquisitionné, se mit à chanter faux.

Bruno Solo et Élie Semoun hurlaient d’émotion : « La Marseillaise est à nous » !

J’ai été long mais il faut rappeler, encore, toujours, en long, en large, en travers, que la révolution arc-en-ciel se propage par l’imbibition permanente de tout l’individu et de toute la société dans un bain que préparent et chauffent synergiques toutes les forces de la révolution.

Ce bain nous caresse, nous imprègne, pénètre, nous colore dans la masse, nous forme. Dans le moindre détail, du politique à l’intime et de l’alimentaire au religieux. Le totalitarisme de papa, celui d’Hitler et de Staline tel que l’avait étudié Hanna Arendt, est dépassé.

Le nôtre est plus simple et plus large : il s’occupe de tout, point barre, jusqu’à nos goûts et désirs. La révolution en marche n’épargne rien. Elle régit notre grammaire, sanctionne un député qui dit : « Madame le président ».

Elle interdit de donner la fessée. Elle s’inquiète de nos opinions en matière d’histoire. Elle définit la courbure de la poire Conférence et normalise la mayonnaise.

Et bien d’autres choses en bien d’autres lieux découvrant à marée basse. L’imbibition passe par toutes les images, les moyens de communication, les occupations familières des masses, publicité, sport, mode, commerce, alimentation, téléphone, théâtre, cinéma, livres, chanson, réseaux sociaux et bien sûr l’école.

Cette immense matrice sécrète en permanence l’éloge de la diversité, diversité de couleurs, de religions, de nations, de comportements, d’orientations sexuelles, l’éloge du vivre ensemble heureux sur une terre protégée par ses enfants et adorateurs.

Le sport se taille bien sûr une belle part dans ce versicolore gâteau du bien.

Il est temps d’en parler, le sport a été officiellement choisi comme moyen de l’unité arc-en-ciel. En mai 2014, l’ONU rassemblait à son siège new-yorkais jeunes et athlètes renommés afin de « mettre en avant les valeurs que le monde du sport veut promouvoir », à savoir « la diversité l’inclusion, la construction la paix et le développement ».

A cette occasion, un ponte de l’alliance des civilisations des Nations Unies, Nassir Abdulaziz Al-Nasser, s’est écrié : « Imaginez que le monde entier soit ainsi : une communauté globale dans laquelle chacun puisse jouer le jeu » !

Quatre ans plus tard, lors du match d’ouverture du mondial de foot à Rio, avant d’échanger leurs fanions, les capitaines de la France et de l’Allemagne ont récité chacun dans sa langue un petit discours contre le racisme et pour le vivre ensemble. […]

HANNIBAL. 

 

Source et Publication :     https://rivarol.com/