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31/05/2024

VOUS N' AVEZ PLUS LE DROIT DE DÉFENDRE LES VALEURS SOCIÉTALES EN FRANCE !

LU, VU ET ENTENDU !

 

La Transphobie va-t-elle amener des hommes à devenir des femmes pour aller en prison ?

[L’Agora]

Depuis des années, la droite molle comme la droite dure ont laissé faire la gauche, en matière de répression de la parole et de l’écrit.

Ainsi, les lois réprimant lourdement la liberté d’expression en France se sont multipliées.

Depuis plusieurs décennies, vous pouvez vous retrouver en prison si vous remettez en cause l’Histoire officielle, certains en ont fait les frais récemment (Vincent Reynouard).

Vous pouvez également vous retrouver devant les tribunaux, et condamnés à de la prison, si vos paroles sont jugées comme étant « de l’incitation à la haine raciale ».

En réalité, toute critique de l’immigration en France est, potentiellement devenue de l’incitation à la haine raciale aux yeux des tribunaux français aujourd’hui.

Vous n’avez plus le droit de parler librement de la seconde guerre mondiale, du génocide arménien, de l’esclavage.

Vous n’avez pas le droit de parler librement d’immigration.

Et désormais, voici que vous n’avez plus le droit non plus, sinon amendes, condamnations, prison, de défendre les valeurs sociétales qui sont partagées par la majorité des habitants de la planète et cela depuis la naissance de l’homme.

Ainsi Marion Maréchal trainée devant les tribunaux pour avoir dit une vérité scientifique : l’espèce humaine est composée d’hommes, et de femmes.

Point final.

 

Ainsi, les cabales « anti transphobes », qui sont actuellement lancées par de petites minorités qui ne représentent personne (pas même les homosexuels qu’elles prétendent défendre), mais qui bénéficient de suffisamment de soutien et de poids médiatique et politique pour faire la pluie et le beau temps dans ce pays comme globalement dans tout l’Occident.

Hier, vous pouviez dire que vous trouviez anormaux ou malades les transexuels.

Aujourd’hui, vous risquez de lourdes amendes, la mort sociale, et même la prison si vous l’affirmez en France ou au Royaume-Uni. Hier, vous pouviez dire que vous ne trouviez pas normal que deux hommes ou que deux femmes se marient et aient des enfants (via PMA, GPA, etc).

Aujourd’hui, le dire peut relever de l’homophobie.

Et vous conduire à nouveau devant les tribunaux, et, si vous insistez, en prison ou au devant d’une mort économique et sociale assurée.

Les forces politiques dites d’opposition ferment littéralement les yeux sur ce qui constitue un massacre de la liberté d’expression, digne des pires systèmes totalitaires.

Jamais le RN de Madame Le Pen ou de M. Bardella, pourtant parti n°1 d’opposition, n’a proposé d’abolir les lois scélérates (Pléven, Fabius, Gayssot, Taubira, puis lois dites sur l’homophobie, sur la transophobie, etc…) pour permettre, enfin, de pouvoir s’exprimer librement.

En ne réclamant pas ces abrogations, ce parti, ainsi que tous ceux qui ferment les yeux ou ont fermé les yeux, creusent leur propre tombe.

Un jour, un individu de 2mètres se proclamant nain et poney vous trainera devant les tribunaux car vous avez exprimé qu’il était grand.

Un obèse se définissant comme personne anorexique demandera à ce qu’on vous jette en prison parce que vous lui aurez fait remarqué que ça n’est pas vrai.

Avec la société folle que de petites minorités agissantes et que d’individus gavés au « Moi je » sont en train d’enfanter, tout sera possible.

Les camps de rééducation, la prison, les lynchages médiatiques, économiques, sociaux, physiques.

Sous les yeux consternés de prétendus responsables politiques qui n’auront pas levé le petit doigt pour traiter le problème à la racine.

 

Et traiter le problème, c’est abolir TOUTES les lois qui visent à réprimer (sous le prétexte d’encadrer) la liberté d’expression.

Plus rien, nada.

Faire le vide avec ça dans le code pénal.

Arracher les pages écrites par les gauchistes aux relents totalitaires, avec l’appui d’une droite qui fait dans son pantalon au moins hurlement hystérique.

 

En attendant que M. Bardella, que Madame Le Pen, que Madame Maréchal, que M Zemmour, que M. Bellamy fassent preuve d’un brin de courage politique en réclamant cette abolition qui conditionne quasiment tout le reste, il devrait y avoir tout de même des scénarios cocasses.

 

Imaginons que j’écrive chaque jour, jusqu’à énerver des activistes LGBT, des tirades jugées transphobes.

Les tribunaux, très réceptifs à ces activistes qui ont bien compris le théâtre victimaire dans lequel nous évoluons, finiront par me condamner. Amendes d’abord, puis prison avec sursis, et si j’insiste, prison ferme.

Tout cela pour des écrits.

 

Mais alors, Julien Dir condamné à de la prison, d’accord, mais qui vous dit vraiment que je suis un homme ?

Quelle autorité pourrait décider de me placer dans une cellule avec d’autres hommes, mettant ainsi mon ressenti, et la personnalité que je suis, en danger, puisque d’ici là, j’aurai effectivement compris, sous l’influence de mes bourreaux, à quel point j’avais raté qu’au final, Julien Dir n’aspire juste qu’à être une femme libérée.

Une femme libérée, avec un pénis, mais libérée quand même.

Une femme qui dès lors, demandera à faire sa peine de prison pour transophobie à la prison pour femmes de Rennes.

Quel transphobe osera donc me refuser ce droit, si demain, je décide de me prénomme Julienne à l’Etat civil ?

Quel horrible réactionnaire osera venir me chercher, chez moi, et me jeter dans une cellule pleine de mâles qui voudraient attenter à mon postérieur désormais féminisé ?

 

Tout cela est absurde.

Mais ou bien on abolit les lois qui nous ont fait plonger dans un asile psychiatrique à ciel ouvert, ou bien il faut pousser l’absurde jusqu’au bout. 

Soyons tous prêt.es à le faire.

Cessez de vouloir être des hommes virils et des femmes féminines.

Acceptez d’être l’éléphant que vous vous étiez toujours refusé à être par convention sociale.

Acceptez d’être la femme sexy que vous sentiez au fond de vos 1m90 de barbe, de muscles et de téstostérone.

Acceptez d’être le premier homme licorne, ou la première étoile filante à devenir professeur des écoles. Appréciez de découvrir chaque jour, votre femme devenue tracteur agricole.

Ou soyez maudits à jamais par toute la communauté LGBTQ+ !

 

Et finissez dans une prison (pour femmes, ou hommes trans, ou non binaires, ou tout simplement mes couilles en ski).

Par Julienn.e Dir.

Précision : les points de vue exposés n’engagent que l’auteur de ce texte et nullement notre rédaction.
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Ce qui implique tout naturellement que des opinions diverses, voire opposées, puissent y trouver leur place.
 
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