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05/06/2024

ISLAM : SOMMES - NOUS ENCORE EN FRANCE ???

Immigration : et voici qu’un cardinal parle de « racines migratoires » !

 
Capture d'écran archidiocèse Brazzaville
Capture d'écran archidiocèse Brazzaville

Le dimanche 29 septembre prochain, l’Église catholique célébrera sa Journée mondiale du migrant et du réfugié (JMMR), à ne pas confondre avec celle organisée par l’Organisation des Nations unies, tous les 20 juin.

Une journée qui ne date pas d’hier, puisque ce sera la cent-dixième.

C’est, en effet, le pape Benoît XV qui l’institua en 1915.

Il s’agissait, à l’époque, de soutenir les œuvres pastorales visant à aider et accompagner les migrants italiens.

Car l’émigration (et, donc, par voie de conséquence, l'immigration) était considérée par l’Église catholique comme un mal.

En 1888, dans sa lettre apostolique Quam aerumnosa (Ô qu’elle est misérable), le pape Léon XIII fustigeait alors la migration, tant à cause des souffrances qu’elle inflige au migrant que du risque que ce migrant perde la foi.

Le souverain pontife avait bien évidemment à l’esprit ces migrants catholiques, notamment italiens, arrivant dans des pays protestants, athées ou marqués par les idées modernistes, notamment outre-Atlantique.

Décidément, les temps changent.  La preuve…

 

Comme si la migration était une sorte de patrie…

 

Aujourd'hui, cette JMMR est devenue l’occasion de promouvoir le phénomène migratoire sous couvert d’Évangile.

Le droit à l’immigration avant le droit à vivre dans la patrie de ses ancêtres.

Vous me direz que le 29 septembre, ce n’est pas demain. Non, mais c’est hier.

Car, comme le veut la coutume, le pape, à quelques mois de cette journée, délivre un message pour y annoncer le thème de cette journée à venir.

Et ça tombe bien, le pape a publié ce message le 24 mai dernier : quelques jours avant les élections européennes, alors que la question migratoire est au cœur même de cette campagne.

Son missi dominici en matière migratoire, le cardinal canadien d’origine tchèque Michael Czerny, dans les pas de celui qui l'a créé cardinal en 2019, a exhorté, nous rapporte Le Figaro, les électeurs européens à « se souvenir de leurs racines migratoires ».

Si vous voyez ce que je veux dire...

« Racines migratoires » : curieuse expression, à la limite de l’oxymore.

On est un migrant, ou descendant de migrants, ayant des racines africaines, italiennes, portugaises (que sais-je, encore), mais on n’a pas des « racines migratoires ».

Comme si la migration était une sorte de patrie.

On attendrait d’un prince de l’Église (c’est comme ça qu’on dit encore), originaire de la Vieille Europe et ayant migré avec sa famille au Canada pour fuir le communisme, qu’il invite les Européens à se souvenir de leurs racines chrétiennes.

Mais non. Trop daté, sans doute.

Tous migrants ou fils de migrants et, donc, tous citoyens d’un monde qui n’a pas besoin de frontières.

Le pape n’écrit pas autre chose, dans sa lettre du 24 mai, comparant la situation des migrants d’aujourd’hui à celle du peuple hébreu fuyant l’Égypte pour la Terre promise.

À la seule différence que le peuple hébreu, si l’on en croit la Bible, ne se sentait pas chez lui chez Pharaon.

 

Mais le cardinal Czerny, sans doute emporté par son enthousiasme immigrationniste, va encore plus loin dans sa déclaration : « Il est facile de dire "La migration est une crise mondiale".

C’est faux et stupide, mais cela fait peur. »

Sous-entendu, ces fameuses peurs sur lesquelles surfent les populistes.

Il n’y a pas d’insécurité mais un sentiment d’insécurité ; il n’y a pas de crise mondiale de la migration mais le sentiment qu’il y a une crise mondiale.

Circulez, il n'y a rien à voir.

On se demande alors pourquoi ils en font autant.

Benoît XVI n’est pas encore à l’Index, mais il ne serait peut-être pas stupide, justement, pour reprendre l'adjectif du cardinal Czerny, de revenir sur les prises de position du prédécesseur de François sur ce sujet migratoire, conformes d’ailleurs à la doctrine sociale de l’Église : certes, toute personne à un « droit à immigrer » en vue « de meilleures conditions de vie », mais « les États ont le droit de réglementer les flux migratoires et de défendre leurs frontières en garantissant toujours le respect dû à la dignité de chaque personne humaine ».

Et Benoît XVI ajoutait : « Les immigrés ont le devoir de s'intégrer dans le pays d'accueil, en respectant ses lois et l'identité nationale. » C’est clair.

Comme toujours, avec Benoît XVI.

Le cardinal Sarah, lui non plus, n'est pas encore à l'Index.

Alors, on écoutera ou réécoutera avec profit ses déclarations sur l'immigration, notamment celles faites à BV, comme celle-ci : « C’est une fausse idée de promouvoir l’immigration... »

 
Par Georges Michel  https://www.bvoltaire.fr/

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ET AUSSI

 

Une armée d’enniqabées pour accompagner une classe… c’est en France !

L’un de nos lecteurs a été stupéfié, que dis-je, épouvanté lors d’une visite au parc ornithologique de Villars-les-Dombes dans l’Ain.

Toutes les accompagnatrices voilées ou niqabées…

Il y avait aussi un barbu.

 

D’où venaient-ils ?

D’une école dite laïque, d’une école musulmane hors contrat ou sous contrat, d’une école coranique ?

L’Afghanistan s’installe chez nous, avec le halal, avec le niqab… en toute légalité !

 

On rappellera à toutes fins utiles que la loi sur le séparatisme qui interdisait les accompagnatrices voilées a été abolie grâce aux macronistes et que Darmanin a bataillé comme un fou, allant jusqu’à dire que la loi interdisant les accompagnatrices voilées serait de toutes manières retoquée par le Conseil constitutionnel !

Tous complices, tous coupables !

.

On avait failli respirer après la loi sur le voile de 2004.

Ensuite le Conseil d’État a décrété que cela ne concernait que les enseignants et non les parents, puis est arrivée la fameuse circulaire Chatel qui a permis aux laïques de surfer entre les vagues jusqu’à… l’arrivée de Macron évidemment.

 

La Circulaire Chatel datait de 2012, elle permettait de considérer les parents accompagnateurs comme exerçant une mission de service public et donc d’avoir les mêmes contraintes que les agents de l’État.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Circulaire_Chatel

 

Mais le Conseil d’État est évidemment passé par là.

Il a sorti un dossier de 35 pages en 2013 suite à une demande du “défenseur des droits ” (qui a eu un jour cette idée folle d’inventer un personnage au-dessus des lois pour défendre l’illégal ?

Sarkozy !) et en a déduit que… c’était à l’autorité compétente, rectorat, directeur d’école… de juger si l’exigence de laïcité était  respectée.

J’avais conseillé à mes adhérents directeurs d’école de se débrouiller pour avoir un staff de parents sans voile disponibles afin d’éviter d’avoir des ennuis en refusant une mère voilée…

Ou alors de faire la grève des sorties.

Mais ils ont du mal, c’est très à la mode de sortir de l’école pendant les jours d’école…

Les difficultés n’ont pas duré. Macron est arrivé, la loi sur le séparatisme permet en effet de séparer les mères voilées des mères non-voilées dans les sorties, toutes mélangées et tant pis pour les gosses à qui on apprend que les filles sont les égales des garçons et que ce ne sont pas des salopes si elles ont les cheveux libres.

 

En mars 2021, les sénateurs se sont rebiffés, pour une fois…

Par 177 voix contre 141, les sénateurs ont adopté des amendements interdisant le port ostensible de signes religieux par les accompagnateurs en sorties scolaires.

https://www.sudouest.fr/culture/religion/loi-separatisme-...

 

Mais comme voulu par Macron et prévu par la loi séparatisme telle que votée en dernière lecture, le 23 juillet 2021 l’Assemblée nationale supprimera cette disposition.

La gauche et les macronistes vent debout contre cette limitation de la liberté d’islamiser la France ont gagné.

 

Ne reste plus aux enseignants et autres directeurs d’école qu’à appliquer mon idée.

Avoir un staff de non- voilées disponibles (difficile dans les quartiers islamisés) ou ne pas faire de sorties…

Si j’étais encore en activité, je boycotterais, quoi qu’il m’en coûte, toute sortie tout projet en-dehors de l’école…

Aux grands maux les grands remèdes.

Mais si je reviens au cas qui nous intéresse aujourd’hui, il paraît vraisemblable que ce soit la sortie d’un établissement musulman, parce qu’on est bien au-delà du foulard.

On se croirait en Afghanistan en effet.

Par Christine Tasin

Source :  https://resistancerepublica

 

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