Pour paraphraser cette phrase connue, ils veulent le beurre, l’argent du beurre et la fermière avec… j’ajoute : et encore le beurre, l’argent du beurre, ce n’est rien, ils veulent tout, en fait.
C’est un hold up.
Main basse sur la France ! Sans aucune honte. Sans aucun scrupule.
Pourquoi en auraient-ils ? Ils profitent de notre c…., pardon, phénoménale stupidité.
Qui « ils » ? Les clandos.
Ceux qui arrivent sur le sol français sans notre permission.
Sans la permission du peuple légitime, propriétaire de la France. Sans papiers.
En violant nos lois.
Nous, les « gens normaux », quand nous voyageons nous avons nos papiers en règle. Nous nous sommes préparés longtemps.
Quand nous les montrons à qui de droit, c’est tout juste si nous n’avons pas un petit pincement d’inquiétude.
Et si quelque chose clochait ? Si un tampon manquait ?
Et quand nous séjournons à l’étranger, nous autres Français, nous ne le mettons pas à feu et à sang, nous ne violons pas, n’égorgeons pas… nous respectons ce pays étranger.
Mais eux, rien ne les gêne.
Et maintenant, le Conseil constitutionnel, présidé par Laurent Fabius, de triste mémoire et qui continue ses exploits, vient de décider, le 28 mai, d’accorder l’aide juridictionnelle aux étrangers en situation irrégulière sur le sol français, au nom d’une pseudo-égalité devant la justice.
On pouvait espérer que le Conseil constitutionnel aurait une meilleure connaissance de ce qu’est l’égalité.
Non, Laurent Fabius, un étranger en situation irrégulière ne peut pas avoir les mêmes droits qu’un Français, n’est tout simplement pas l’égal d’un Français.
Vous pouvez, Laurent Fabius, avoir de la compassion pour lui, puisque la fausse compassion est à la mode, mais le mieux que vous puissiez faire, c’est de le renvoyer dans son pays quel qu’il soit.
Par compassion, justement. Et vite.
Sans attendre que les Français s’arment pour le faire.
François-Xavier Bellamy fustige cette décision du Conseil constitutionnel : « il faut refuser que M. Fabius, que le président du Conseil constitutionnel, soit le porteur de cet agenda que la gauche a toujours voulu pour détruire de l’intérieur le principe même des distinctions entre étrangers et Français, entre étrangers réguliers et étrangers irréguliers. »
L’égalité entre l’étranger qui a violé nos frontières et nous provoque tous les jours, et l’étranger qui les a respectées et est en règle, c’est choquant.
Les étrangers vont donc de moins en moins respecter nos lois et de plus en plus forcer nos portes, pourquoi se gêneraient-ils ?
C’est un braquage institutionnel.
Et l’égalité entre nous, Français, et les étrangers qui ont violé nos frontières, cela dépasse les bornes.
François-Xavier Bellamy insiste : « Comment les Français qui travaillent peuvent-ils comprendre que l’impôt qu’ils paient va être utilisé pour financer les procédures judiciaires intentées parfois contre l’État par des gens qui violent nos lois ? »
Ajoutons : comment les Français peuvent-ils accepter que des étrangers en situation irrégulière soient défendus par nos impôts ?
Que des étrangers luttant contre des OQTF puissent le faire avec nos sous ?
C’est le summum de la bêtise française, de l’abrutissement français.
C’est l’application pratique du proverbe « donner des bâtons pour se faire battre. »
Le Conseil constitutionnel avait été créé par de Gaulle pour défendre l’intérêt des Français.
Le Conseil constitutionnel déserte. Il abandonne la défense des droits des Français.
Il a déjà annoncé la couleur, en interdisant le référendum sur l’immigration.
En introduisant le principe de fraternité, qui empêche désormais de poursuivre ceux qui viennent en aide aux illégaux.
Résultat : Cédric Herrou et ses semblables nous narguent tous les jours.
Fabius est le dernier des imbéciles, qui scie la branche en or massif sur laquelle il est assis. 18 000 euros par mois pour sa fonction anti-France !
Le Conseil constitutionnel devrait être rayé, d’un trait de plume, de nos institutions.
Car à quoi sert-il, sinon à faire la politique de la gauche la plus bête du monde ?
Quand les Français cesseront-ils d’être stupides ? Il y a urgence.
Et nous le remarquons tous, pendant que nous parlons des migrants en situation irrégulière, nous ne regardons pas les étrangers en situation régulière, qui se multiplient comme des petits pains.
Leur nombre, leurs flux croissent sans cesse. Jusqu’à dit-on former le quart des Français.
Marion Maréchal a déclaré : « si vous êtes agressé par un clandestin, vous paierez ainsi votre avocat et le sien ».
Jordan Bardella a déclaré que cette décision aller aggraver le désordre migratoire en France.
Il a dit aussi que la France, à force d’être le pays de tout le monde, ne sera plus le pays de personne.
Ce sera un non-pays, un fantôme vide de sens mais empli de tronches grimaçantes, revendicatrices et guerrières.
Toujours plus prêtes à profiter de notre système sans jamais rien payer.
Toujours prêtes à nous faire la guerre.
Est-ce cela, ce que nous voulons pour notre pays ?
Par Sophie Durand https://ripostelaique.com
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