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27/05/2024

MÉDIAS : L' ARCOM , LA NOUVELLE GESTAPO DE MACRON ???

L’Arcom, c’est la nouvelle Gestapo de Macron

En 2024, la France se retrouve exactement dans la même situation que de 1940 à 1944 où il était interdit de parler en mal des Allemands sous peine de finir au gibet.


Cela avait conduit quelques célèbres écrivains à ruser avec la censure.


Ainsi d’Aragon qui publia dans la Diane française « la rose et le réséda » où il était question d’une belle à délivrer :
« Ce poème fut publié une première fois en 1943 puis de nouveau en 1944, cette fois avec la dédicace suivante : « À Gabriel Péri et d’Estienne d’Orves comme à Guy Môquet et Gilbert Dru ».

Quatre hommes. Deux communistes et deux catholiques.

Tous des résistants, tous morts fusillés par les Allemands.

Appel au rassemblement pour la liberté, hommage aux résistants emprisonnés et tombés pour la France, ce poème très célèbre est porteur aussi d’espoir : celui de retrouver un jour la joie dans les foyers ».


« En vérité, le contexte de parution est à étudier pour comprendre réellement ce texte, à savoir mars 1943. À cette époque, l’oppression des occupants allemands était réelle et la censure très importante. Louis Aragon était lui-même clandestin et se cachait.

L’apparente simplicité du poème correspond donc à une précaution nécessaire pour éviter d’être arrêté et tué.
Le thème réel du texte
Ce poème fut publié une première fois dans la revue Le Mot d’Ordre en mars 1943. Il fut ensuite publié de nouveau en 1944, dans un recueil intitulé La Diane française, cette fois avec la dédicace suivante : « À Gabriel Péri et d’Estienne d’Orves comme à Guy Môquet et Gilbert Dru ».

Or ces quatre hommes étaient tous des résistants, tous morts fusillés par les Allemands ».
https://copiedouble.com/content/analyse-de-texte-la-rose-...

 

Au cours de cette période sombre fut écrit et publié clandestinement Le silence de la mer de Vercors, allusif pour contourner la censure :
« Rédigé au cours de l’été 1941, le texte est à l’origine prévu pour la revue La Pensée Libre mais celle-ci est saisie par la Gestapo. Pierre de Lescure et Jean Bruller ont alors l’idée de l’éditer par leurs propres moyens. Le livre est achevé d’imprimer le 20 février 1942. C’est le premier ouvrage publié par les Éditions de Minuit.


Le livre parvient à Londres et le général de Gaulle en ordonne une réédition sur-le-champ aux fins de large diffusion. C’est une de celles-ci qui passera dans les mains du cinéaste Jean-Pierre Melville qui l’adaptera quelques années plus tard pour le cinéma ».
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Silence_de_la_mer

 

Le poème d’Éluard, Liberté, écrit en 1942 fut parachuté sur la France pour galvaniser les énergies de résistance :
« Le poème est publié le 3 avril 1942, sans visa de censure dans le recueil clandestin Poésie et vérité 1942. Il est repris en juin 1942 par la revue Fontaine sous le titre “Une seule pensée” pour lui permettre une diffusion dans la zone sud.

Il est à nouveau repris à Londres par la revue officielle gaulliste La France libre et parachuté la même année à des milliers d’exemplaires par des avions britanniques de la Royal Air Force au-dessus du sol français.

Le recueil est réédité en janvier 1943 en Suisse. Liberté est publié à Paris en 1945 par les Éditions GLM. À partir de 1945, “Poésie et vérité” 1942 est intégré dans “Le Rendez-vous allemand”, publié par les Éditions de Minuit ».
https://fr.wikipedia.org/wiki/Libert%C3%A9_(po%C3%A8me)

 

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En 2024 les Français subissent la même censure, à titre d’exemple Geoffroy Lejeune qui a frôlé le peloton d’exécution pour avoir asséné des vérités que les populations d’importation occupantes et leur collaborateurs français ne veulent pas laisser diffuser dans l’espace public afin qu’elles ne contaminent pas les gens qui auraient quelque sensibilité à la liberté de pensée et à la liberté tout court :
« L’Arcom, le régulateur de l’audiovisuel, a infligé une amende à la chaîne de Vincent Bolloré pour des propos du journaliste Geoffroy Lejeune, pour qui l’antisémitisme et la surpopulation carcérale sont des conséquences de              « l’immigration arabo-musulmane ». 
https://www.fdesouche.com/2024/05/23/lantisemitisme-et-la...
https://www.legifrance.gouv.fr/jorf/id/JORFTEXT000049573991

 

On le voit, tant Aragon qu’Éluard ou Vercors sont redevenus de circonstance pour tous les résistants du pays, de même que Camus et sa peste qui allégorisent à merveille l’islam et la caste kollaboratrice française contaminée par le mal avec une si rare rémission possible que la question de l’euthanasie devra être posée à la libération pour éviter les souffrances inutiles.


Il faut donc enjôler ( sic ), feindre et leurrer pour échapper aux censures, trouver les mots qui disent mais sans le dire et que les éveillés auront compris à demi-mot sans qu’il soit besoin d’ajouter, tout en étant dans le silence non de la mer mais du point de suspension qui renvoie à l’imaginaire du lecteur ou de l’interlocuteur, au stéréotype nous dit l’Arcom :
« Ces propos véhiculent plusieurs stéréotypes négatifs en ce qu’ils imputent des faits et comportements graves à un groupe de population dans son ensemble, de nature à encourager à des comportements discriminatoires à son égard en raison de son origine et de sa religion ».

Un langage-code en quelque sorte.


Au détour des faits divers relatés de-ci de-là par exemple, je relève un mot apte à remplacer tout ce qui colorise ou enturbanne les impétrants divers :
« Je recherche des témoins, car je me suis fait agresser par deux hommes d’une vingtaine d’années sur le parking de Burger King à Saint-Grégoire, le 19 mai 2024, vers 22 h 30 […].

Un des garçons portait une casquette de moto bleue. Les deux garçons étaient typés.

Pour une cigarette refusée. Je me suis fait voler des affaires [personnelles] et frapper au visage et au dos. Je recherche des personnes qui ont pu voir de loin l’agression afin de m’aider dans ma plainte ».
https://www.fdesouche.com/2024/05/22/rennes-une-jeune-fem...

 

Pas besoin de discours explicatif, de scientisme pour déterminer le taux de mélanine naturel ou par UV ou par surexposition au dieu Râ, il suffit de signaler qu’ils étaient « typés », et le résistant de comprendre tout de suite la chose et de quel type il est question.

On ne dit pas qu’ils étaient typés caucasien, celte ou scandinave, typés troisième ou typés trans, le contexte de délinquance, de notoriété des populations occupant les prisons et prétoires et des teneurs de murs dans les cités ainsi que les couleurs des individus en ombre chinoise que l’on voit régulièrement sur les vidéos en noir et blanc d’agressions de rue suffisent au besoin d’éclairement et d’éclaircissement du type osons-nous.

Notre agressée supra ne recherche ni la Rose ni le Réséda ni le silence de la mer car elle crie au monde entier son désarroi, elle recherche les « typés » qui l’ont agressée.


Il y a le stéréotype du type, puis les autres stéréotypes, comme les nomme l’Arcom, quand une femme seule se fait agresser par deux ou trois ou quatre individus : l’imaginaire comme le sang ne fait qu’un tour, c’est signé pour beaucoup.

Comme les agressions par derrière et les attaques façon hyènes en surnombre qui restent des constantes les plus constantes des typés haineux dont nos rues sont emplies ras bord.

Parmi les autres codifications qui permettent de déterminer l’origine ethnique des attaquants, le mobile de la cigarette refusée ou du putatif racisme manifesté à leur endroit : plus l’habillage-alibi est odieux, plus vous avez la confirmation de l’originaire, si un typé affirme au juge qu’il a agressé parce qu’il a été racisé supposément manière de prétendre à une sorte de légitime défense, vous pouvez signer des deux mains comme un impressionniste la couleur du déjeuner sur l’herbe de l’impétrant à une ou deux nuances près, d’ambré clair bière d’Irlande à ébène moiré case de l’Oncle Tom.


Typé certes, mais originaire d’où ? me demanderez-vous.

L’Arcom nous prohibe de l’annoncer et d’annoncer la couleur, vous avez vu supra qu’il est interdit d’évoquer seulement les Arabo-musulmans sans véhiculer un stéréotype négatif sanctionnable d’une amende et demain probablement de la chambre à gaz compte tenu de la réindustrialisation du pays, manière sibylline d’annoncer (ici aussi le langage est codé, je reste à votre disposition pour la comprenette) la relance de la production de Zyklon B, il faut vous réfugier dans l’allusif tout autant d’Aragon, d’Éluard ou de Vercors : ces attaquants, vous affirmera avec l’aplomb qui caractérise les sots Dupond-Moretti, n’existent que dans votre imagination , vous avez vécu une mauvaise impression, la variante étant bien entendu d’avoir survécu à une mauvaise impression.


Et bien abondons, ces gens sont issus de pays imaginaires et d’impressions fausses, et n’importe quel résistant aura compris de qui ou de quoi l’on cause.


Ou alors vous embrayez sur Camus, ces gens viennent du pays de la peste, nous savons tous d’où venait Camus.

Bien sûr Geoffrey Lejeune n’est pas Guy Môquet, il a passé l’âge, ni Gabriel Péri, il ne l’est pas encore, mais il faudrait qu’il se méfie, quand une trajectoire est prise dans un pays, nul ne peut prévoir jusqu’où elle peut mener.


Car il est on ne peut plus facile de montrer que les collaborateurs avec les occupants de la France sont de réel parti pris.

Geoffroy Lejeune se voit reprocher de véhiculer des stéréotypes négatifs, mais le Coran qui demande à tuer les juifs, les chrétiens et les mécréants ne véhicule-t-il pas des stéréotypes négatifs, pour reprendre l’expression de l’Arcom, « de nature à encourager à des comportements discriminatoires à leur égard en raison de leur origine et de leur religion » que l’on paraphrasera pour respecter le contexte en « de nature à encourager à des comportements génocidaires à leur égard en raison de leur origine et de leur religion » ?

 

On le voit, l’Arcom et toute la caste que ce service sert n’élèvent aucune objection quand il s’agit de l’extermination du juif, du chrétien ou du mécréant, mais ne supportent pas que l’on révèle des vérités sur les Arabo-musulmans.


Ces gens de l’Arcom et leurs commanditaires sont bien des kollabos de typés.


Des kollabos typiques en quelque sorte.

Par Jean d’Acre    https://ripostelaique.com/

 

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