Toute la gôche prise en flagrant délit de racisme et de haute trahison

Les événements de Nouvelle-Calédonie ont le grand mérite d’éclairer le jeu et d’ouvrir les yeux de ceux qui ne veulent pas voir. Nous constatons en effet depuis une semaine que la gôche affirme, sur cette île du Pacifique, par rapport aux Kanaks, tout le contraire de ce qu’elle martèle en France avec les Gaulois.

Les Kanaks – qui ne sont pas la seule communauté non blanche à vivre sur ce territoire – pourraient bénéficier du droit du sang, quand c’est raciste sur le continent. 45.000 Français, présents depuis 1998, n’auraient pas le droit d’y voter, quand cette même gôche réclame le droit de vote, au nom de l’égalité et de l’universalisme, pour les clandestins et les immigrés.

Les référendums, réclamés pour des raisons sociales par la gôche, n’ont plus la moindre autorité quand le peuple vote majoritairement pour demeurer français, et cela à trois reprises en quatre ans.

Bien sûr, le droit du sol, accordé généreusement aux enfants d’immigrés, surtout africains et musulmans, pour en faire des Français, est refusé aux Français de Nouvelle-Calédonie, au nom du peuple soi-disant historique.

Et bien sûr, pas un mot sur les mots d’ordre racistes des Kanaks, qui ne cachent pas leur volonté de casser du Blanc, de piller du Blanc, de violer de la Blanche et même de tuer du Blanc.

La même complicité avec les racistes que celle que nous avions constaté lors des émeutes ethniques ayant succédé à la mort de la racaille Nahel Merzouk, soutenu par toute la gauche, par Macron, avec un abandon total des forces de l’ordre.

 

Racailles, Kanaks, mêmes méthodes, même vandalisme, mêmes pillages, même racisme anti-blanc, même haine de la France et des Français, même soutien par toute la gôche.

Cette gôche, qu’elle soit politique, syndicale ou associative, éternelle donneuse de leçons, peut plus difficilement cautionner le racisme le plus primaire, et tomber dans l’arbitraire le plus total.

Mais il y a pire.

 

Florian Philippot expliquait magistralement le complot qui se joue contre la France en Nouvelle-Calédonie, avec les partitions de la Chine, de l’Azerbaïdjan, de l’Australie et des États-Unis. Il évoquait notamment le rôle du nickel, et les convoitises que cela suscite chez nos rivaux.

Or, de façon très nette, en soutenant les Kanaks racistes qui veulent casser du Blanc et chasser les Français, l’ensemble de la gôche trahit les intérêts stratégiques, économiques et énergétiques de la France, et, avec un discours soi-disant anti-colonial, livre un pan de notre pays à l’étranger, mettant en danger l’ensemble des territoires maritimes encore possédés par la France.

Dans ce contexte, le seul discours que mérite la situation est celui de la fermeté, que tiendra remarquablement Sarah Knafo, invitée au Grand Jury RTL où, faut-il le remarquer, les journalistes la respectèrent, la laissant aller au bout de ses réponses, sans que, à l’image d’un roquet comme Benjamin Duhamel, elle ne soit interrompue à chaque phrase.

Tout signe de faiblesse, tout recul, même stratégique, ne pourra être compris par les émeutiers que comme une prime à la violence, et un encouragement à aller plus loin.

La plaisanterie a assez duré, le Congrès doit être réuni au plus vite, les listes électorales doivent redevenir normales en Nouvelle-Calédonie.

Les urnes ont parlé, à trois reprises, et donc le message que doit délivrer la France est clair : la Nouvelle-Calédonie, c’est la France, avec toutes les règles qui s’y appliquent.

Tout recul, dans ce contexte, ne sera que faiblesse, voire trahison, contre nos intérêts.

Quant à l’ensemble des dirigeants de gauche, ils devraient répondre devant les tribunaux du délit de racisme, et surtout de haute trahison, au service de puissances étrangères.

Mais quand on regarde cette remarquable vidéo de notre ami Pierre-Yves Rougeyron, on constate qu’aucun leader de gauche actuellement en fonction n’est dans le Top-10 des pires traîtres à la France depuis la Libération.

Tout simplement parce que Mélenchon-Panot, Roussel-Brossat, Tondelier-Rousseau ou Faure-Glucksmann n’ont pas encore exercé le pouvoir.

Mais ils sont du même moule des traîtres que les dix élus qui se retrouvent 12 : Poher, Schumann, Chirac, Ambroise Roux (CNPF), Voynet, Juppé, Balladur, Rocard, Sarkozy, Macron, Delors et Jean Monnet, bien sûr !

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