Les démocraties, otages de la confrérie musulmane

C’était prévisible. Même un enfant pouvait le deviner.

Le monde libre a perdu sa liberté, son libre choix, sa démocratie, tant chérie.



C’était prévisible. Même un enfant pouvait le deviner. Le monde libre a perdu sa liberté, son libre choix, sa démocratie, tant chérie.

Il a été ébloui par la richesse du Qatar et des pétrodollars et a mordu à l’hameçon.

Il s’est gavé jusqu’à suffoquer.

Tout ce qui brille n’est pas forcément de l’or, nous dit le fameux proverbe.

L’homme, cet insatiable animal, s’est vautré, s’est goinfré, s’est oublié, et maintenant il se voit contraint de payer la facture. Elle est dure cette facture.

Il doit abandonner les rênes de son pays et les offrir, les yeux pleins de larmes, à l’acheteur qui n’est autre que ce musulman en burnous auquel il se voit forcé de lécher les babouches.

Quel est le prix de la liberté ?  Elle n’a aucun prix.

Sans elle, c’est la servitude, la dépendance, l’assujettissement, l’asphyxie jusqu’à perte des sens