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24/05/2024

JUSTICE ET SINISTROSE ....;

 
Puis-je vous donner le nom d’un juge laxiste ?
 
 

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Cher(e) ami(e) de la Justice,

Il y a 1 an, le juge Tony Skurtys était jeté en pâture publiquement car il était considéré comme “trop ferme”.
 

Attaqué par des centaines d'anonymes sur les réseaux sociaux et par une certaine presse, il a été “muté d’office”. Une décision rarissime.
 

Mais à l'inverse, que se passe-t-il si un juge considéré comme trop laxiste est attaqué ?
 

Alors là, c’est tout à fait différent
 

A Mayotte, le Syndicat de la Magistrature fait la loi

 

Souvenez-vous, en octobre 2023, le ministre de l’Intérieur lance l’opération “Wuambushu”.
 

Le but : détruire les bidonvilles à Mayotte, expulser les clandestins et lutter contre la criminalité. 

 

1 an après son lancement, on peut dire que l'opération est un échec.
 

Il faut dire qu'elle a trouvé un adversaire de taille : la justice...
 

En effet, 1 an avant même le début de l’opération, le tribunal de Mayotte a ordonné à l’Etat d’organiser le retour de clandestins expulsés !
 

Le tout “aux frais de l’Etat français” (donc de vous et moi) selon les mots exacts du jugement… Hallucinant !!
 

Puis, les choses vont plus loin. Au moment du lancement de Wuambushu, le Syndicat de la Magistrature entre en piste.
 

Selon Europe 1, quelques jours avant le début de Wuambushu, le SM a envoyé un courriel aux magistrats de Mayotte leur demandant de s’opposer à l’opération : “les collègues ne sauraient être la caution utile d’un gouvernement s’apprêtant à mener une opération qui, par son envergure et ses objectifs, amènera très certainement des violations massives des droits humains.”

 

Hasard ou pas, quelques jours plus tard, le tribunal judiciaire prend une décision qui fait scandale.

 

Le tribunal arrête toute l'opération ! Selon lui, la destruction des bidonvilles mettrait en péril la sécurité des occupants…

 

Et qui est la présidente du tribunal ?

 

Catherine Vannier, ancienne vice-présidente du Syndicat de la Magistrature. Elle présidait le tribunal ce jour-là.

 

Une décision de justice politique, clairement idéologue. Mais a-t-on eu le droit de la critiquer ?

 

Interdit de critiquer certains juges !

 

A cette époque, plusieurs élus de Mayotte critiquent cette décision et mettent en cause l'indépendance de Catherine Vannier.

 

Plus grave encore, un ancien magistrat, très respecté et expert de l’Institut pour la Justice, Jean-Claude Magendie, donne une interview dans une revue juridique.

 

Dans cette interview, il émet des doutes sur l’impartialité de cette magistrate.

 

Alors, c’est le branle-bas de combat. Le Syndicat de la Magistrature et ses amis sortent les griffes !

 

Dès le lendemain de l’interview de Jean-Claude Magendie, le Conseil supérieur de la magistrature (les juges des juges) publie un communiqué, pour interdire la critique des magistrats !

 

Les élus de Mayotte sont critiqués et moqués sur les réseaux.

 

Tout comme le journaliste d’Europe 1 qui a dévoilé l’information, mis au ban de la communauté journalistique…

 

Il est tout simplement interdit de critiquer un juge du Syndicat de la Magistrature. 

 

Mais attendez, de voir une autre preuve encore plus choquante…

Un autre juge fait encore pire…


Restons à Mayotte, mais avançons dans le temps.

 

Nous sommes en novembre 2023, 6 mois après le début de l’opération Wuambushu. Celle-ci ne s’est jamais remise de ces obstacles judiciaires.

 

Mais voilà que nous découvrons un autre scandale.

 

Le Figaro révèle que le vice-président du tribunal de Mayotte, un certain Benoît Rousseau, est un militant politique avéré.

 

Selon Le Journal de l’Ile de la Réunion, il publie des critiques acerbes, à la limite de l’insulte, contre des élus LR, ou contre les responsables de Wuambushu, sur le réseau social Twitter.

 

Il relaie des appels à manifester contre Wuambushu et des articles selon lesquels il n’y a pas de lien entre immigration et délinquance.

 

Pire, sur Facebook, il appelle tout simplement à faire barrage à Marine Le Pen. Il a le droit de le penser, mais est-ce digne d’un magistrat ?

 

Selon Le Figaro, Benoît Rousseau a depuis été muté “à sa demande” après ses 3 ans habituels au tribunal de Mayotte. 

 

Cela n’a rien d’une punition… et a même tout l'air d'une promotion...

 

Et Tony Skurtys ?

 

Au début de l’année 2023, le juge Tony Skurtys, a été critiqué sur les réseaux sociaux et dans le journal Libération.

 

Cette fois, aucun engagement politique ou idéologique. Il était simplement accusé d’être “trop ferme”.

 

Suite à d’intenses pressions, le président du tribunal judiciaire de Paris décide donc de “muter d’office” Tony Skurtys, au sein du même tribunal.

 

Une décision extrêmement inhabituelle, pour un magistrat très bien noté par ses supérieurs.

 

Mais, à l’époque, qui a défendu Tony Skurtys ?

 

Personne. Dans le monde de la Justice, absolument personne.

 

Le Syndicat de la Magistrature s’est-il plaint de voir un juge attaqué ?

 

Absolument pas.

 

Au contraire, le seul magistrat qui a critiqué Tony Skurtys dans la presse est un responsable du Syndicat de la Magistrature !!

 

Cette attitude est honteuse. En l’écrivant, j’en ai la nausée. 

 

Ces gens n’ont aucune honte. Ils brandissent des grands principes pour se protéger eux-mêmes, mais s'assoient dessus pour attaquer ceux qui ne pensent pas comme eux...

 

Ne laissez pas Tony Skurtys seul


Il n’y a que l’Institut pour la Justice et ses membres, qui ont publiquement dénoncé l’éviction du juge Tony Skurtys.

 

Il y a un an, je vous alertais sur ce scandale et je vous demandais de signer une pétition de soutien à ce juge.

 

Près de 12 000 personnes ont signé cette pétition, que j’ai personnellement envoyée à Tony Skurtys (il m’a d’ailleurs courtoisement remercié).

 

Le juge Tony Skurtys a attaqué en justice ceux qui l’ont injustement sali et qui ont mené à la destruction de sa carrière professionnelle. Il a plusieurs actions en justice en cours…

 

Mais aujourd’hui, il est seul. Tout ça parce qu’il a voulu défendre la tranquillité des citoyens français.
 

Ne le laissez pas seul. Signez dès maintenant la pétition de soutien au juge Tony Skurtys en cliquant ici.

JE SIGNE

Il est temps de s’élever contre le deux poids, deux mesures qui va en permanence contre vous. Vous avez le droit de demander une justice protectrice. 

 

C'est même votre droit le plus strict ! 


Un immense merci d’avance,


Avec tout mon dévouement,

Pierre-Marie Sève 

Directeur de l'Institut pour la Justice

 

 

 
 
ET AUSSI
 
 
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@Dosinda961308
 
SINISTRE DE L'INJUSTICE !
 
On apprend donc aujourd'hui, dans les colonnes du journal Le parisien, que Mohamed Amra, racaille condamnée à cause de qui, deux agents pénitentiaires ont perdu la vie, vivait en prison comme un nabab et comme un petit chef d'entreprise, régnant sur son petit business de droguerie !
 
Téléphone portable dans sa cellule, une chicha pour se détendre, livraison de nourriture et de colis en prison afin d'être ravitaillé en téléphones de rechanges, en carte bancaire, en cannabis.
 
Depuis sa cellule, il pouvait commanditer l'organisation d'enlèvement et des séquestrations, commander des armes de guerre, des menaces sur les mauvais payeurs et ont même organisé une commande d'armes de guerre, 6 000 euros pièce.
 
Des pistes de karting et des piscines dans les prisons, des visites du château de Versailles organisées pour des détenus condamnées pour mœurs, des prisons qui deviennent des petits hôtels de luxes d'où le trafic de drogue, des enlèvements et des commandes d'armes de guerre sont gérés, y a-t-il encore un ministre de la Justice en France ?
 
Il est où le temps où les ministres de la Justice remettaient leur démission dès la première évasion d'un prisonnier ?
 
La libre pensée patriote
 
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JEAN-MARIE LEBRAUD
 
 
 
 

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